Vízügyi Közlemények, 1956 (38. évfolyam)

2. füzet - VII. Kisebb közlemények

(70) nis der Zunahme des jährlichen MW, sondern es machen sich auch die guten Wirkun­gen der durchgeführten Regulierungsarbeiten fühlbar. Es kann also festgestellt werden, daß solange die Regulierungs- und Erhaltungs­arbeiten systematisch vor sich gehen, die Furten sich allmählich verbessern, sogar verschwinden. Werden aber diese Arbeiten aus irgendeinem Grunde unterlassen, verschlechtern sich die Furten von neuem und die Arbeiten können wieder von vorne begonnen werden. LES CONDITIONS DES GLACES ET DES SEUILS DES VOIES NAVIGABLES DE HONGRIE Par К. Tőry (Voir figures et tableaux pp. 300—316. du texte hongrois) CDU. 627.15 (282.243.7) I. Les conditions des glaces Des 1838 Paul Vásárhelyi a donné une étude détaillée des conditions des glaces du Danube. Le compte-rendu de J. Arenstein, professeur de mathématique à l'École Polytechnique de Budapest, au sujet des conditions des glaces à Budapest durant les hivers 1847/48 et 48/49 servait de modèle à la collecte des données ordonnée pour tout le territoire de la Monarchie Austro-Hongroise (2). A Budapest la glace se forme en moyenne 4,2 jours après l'apparition des niasses d'air froid, à cette période correspond une température moyenne de —3,4 C°. La durée de cette période et sa température moyenne varient naturellement beaucoup, surtout en fonction de la température de l'eau au moment où la gelée fait son entrée. La débâcle commence en moyenne 4 jours après le dernier jour dont la température moyenne est inférieure à zéro. L'arrêt des glaçons dépend surtout de la formation du lit donc de conditions morphologiques. Il est susceptible de se produire aux endroits où les facteurs hydrauli­ques du lit se modifient brusquement. Au contraire, le rythme du développement de la couverture de glace se détermine par des facteurs météorologiques, car elle ne se prolonge vers l'amont qu'aussi longtemps que le temps froid persiste. Enfin la débâcle résulte de l'effet combiné des facteurs météorologiques et morphologiques. Depuis quelque temps l'examen des conditions des glaces ne s'effectue plus par profils mais pour des secteurs de fleuves fig. 1. Des graphiques suivant fig. 2 présentent la fréquence et la probabilité d'occurence des phénomènes de glace sur les différents secteurs. La fig. 3 renseigne au sujet de l'ensemble des secteurs de ce fleuve entre Devin et Soulina en indiquant par secteurs la probabilité de la présence de la glace, resp. de la prise du fleuve. Sur le Moyen-Danube le coefficient de prise, exprimant en pourcents le rapport entre la durée de la prise et le nombre total des jours avec glace, est le plus grand entre Mohács et le confluent de la Drave, soit 65,5%. Sur le Danube moyen et inférieur le nombre de jours exempts de glace est en moyenne 316 — 333 jours. La durée la plus courte de la saison de navigation varie entre 265 — 282 jours. Grâce aux travaux de régularisation le fleuve est plus rarement pris et la fré­quence d'embâcles est beaucoup moindre, mais en ce qui concerne le secteur du Danube hongrois en aval de Budapest, la défense contre les crues dues aux embâcles y constitue toujours un problème brûlant. Tandis que le Danube n'est pris par les glaces que dans 40% des années, chaque année la Tisza est prise quelques jours après l'apparition de la glace. Toutefois généralement il ne s'y produit pas d'embâcles, car le lit de la Tisza est plus uni et mieux encaissé que celui du Danube. Mais cette différence dans l'allure des glaces sur les deux fleuves s'explique surtout par l'incidence des conditions météorologi­ques. En effet des embâcles peuvent se produire sur le Danube à la suite d'une hausse de la température venant de l'Ouest, tandis que celle arrivant du Sud fait générale­ment partir la glace sans causer d'ennuis. Pour ce qui est de !a Tisza, de quelque

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