Károlyi Zsigmond - Nemes Gerzson: Szolnok és a Közép-Tiszavidék vízügyi múltja III. rész, A vízgazdálkodás eredményei 1945-1975-ig. (Vízügyi Történeti Füzetek 10. Budapest, 1976)

6. Összefoglalás (Tanulságok és feladatok)

vient d'être dit, même jusqu'à la fin de cette époque, lie stade des préparations. (La situa­tion du Services Hydraulique était en ce temps là partiellement aggravée par le fait qu'avec l'année 1940 commançait une période trè humide provoquant des dégâts non constatés de­puis un demi siècle). (Cahier 2. Fig. 36.) Partie III. Les résultats de l'économie hydraulique entre 1945—1975 C'est dans ces conditions, avec ce lourd héritage, aggravé par les destructions de la guerre que le Service Hydraulique réorganisé a commencé son travail. Celui-ci a écarté en 1945 et 1946, grâce aux efforts remarquables par la reconstruction rapide des ouvrages de de protection endommagés au détruits pendant la guerre, les très graves dangers des crues de la Tisza, qui n'est comparable qu'à la lutte mémorable effectuée en 1919 dans la pro­tection contre les inondations. (Les résultats sont d'autant plus remarquables, que l'évacua­tion forcés a privé les services locaux de leur direction technique, juste dans le moment le plus critique.) Dans les dernier temps, des travaux de protection plus importants ont été exécutés dans la région de Szolnok, le long de la rivière Zagyva et sur la rive droite de la Tisza. Ces travaux, parallèlement aux décisions prévoyantes et à l'organisation efficace, ont contribué dans une large mesure à ce que la grande crue de 1970 n'a pas causé de dégâts sur notre territoire. (Cahier 3. Fig. 20—22.) Le partage des terres et l'émination des grandes propriétés féodales ont écarté les obstacles les plus importants de la réalisation des cultures par irrigation, l'introduction de la planification a ouvert la voie vers la réalisation des anciennes aspirations. Mais les diffi­cultés de la reconstruction et les tendances voluntaristes qui se manifestaient dans la poli­tique économique ont dévié le développement dans une direction qui n'était bien fondé ni techniquement ni économiquement, Mais le travail animé par les possibilités attendues depuis bien longtemps, a abouti, malgré des détails troublants, à des résultats remarquables. Le travail du Service Hydraulique s'est toujours accomodé, d'une manière souple, aux exigences et aux devoirs imposés par le développement et a assuré les conditions de leur réalisation. Parmi les innovations techniques les plus remarquables de la période transitoire, il faut citer outre les pompes portatives, indispensables aux travaux d'évacuation des eaux stagnantes et à l'irrigation (pompes Kienitz), la mis ou point des stations de pompage flot­tantes (1948) ainsi que les charrues sapeuses (charrue Kund) utilisées dans l'aménagement des périmètres d'irrigation. Mais la surcharge du réseau d'évacuation des eaux stagnantes par son utilisation comme réseau d'irrigation simultané (l'ajournement par négligence de la séparation des deux réseaux) ainsi que la favorisation forcée des monocultures du riz — en liaison avec la mise en exploitation des terres sodiques — ont rapidement frainé le rythme du développement. Cette époque »heroi'que« du développement de l'irrigation a conduit, malgré les er­reurs pratiques, à des résultats décisifs: de nos jours, de développement économique de la région serait littéralement impossible sans l'extension extrême de l'économie par irrigation. En même temps on a accepté en général la nécessité du développement des pisciculture de forte tradition en exploitant raisonablement les conditions de la région en étroite liaison avec l'utilisation des lacs comme des bassins de terention pour les eaux stagnantes et des réservoirs des eaux d'irrigation. (Jusqu'en 1975, 25 lacs ont été construit sur 1884 Ha). La plus importante et la plus grande réealisation de la canalisation de la Tisza et en même temps de toute l'économie hydraulique hongroise destinée a créer les bases de l'éco­nomie des ressources en eau, de l'utilisation de l'eau dans l'agriculture, en premier lieu dans le développement de l'irriaation est la Chute de Kisköre (Tisza II.) et sa retenue. (Cahier 3. Fig. 54.) La retenue de la chute, de 127 km 2 de superficie, aura, après l'achèvement de la deuxième phase en cours, une capacité utile de retenue de 300 millions m 3 qui seia étendue dans le futur à 400 millions m 3 , correspondant respectivement à un débit de 144 m 3 /sec et 175 m 3 /sec, permettant l'irrigation de 300 OOOHa et l'alimentation de 12 000 Ha de pisci­culture.

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