Drăgan, Ioan (szerk.): Mediaevalia Transilvanica 2000 (4. évfolyam, 1-2. szám)

Cruciada Târzie

Les expéditions de Nicopolis (1396) et de Varna (1444): une comparison 37 surveillait semble-t-il, le Bosphore, Jean VIII mit â la disposition de la flotte deux galéres byzantines19. On observe â nouveau la participation des Bourguignons, des Vénitiens et des Byzantins. L’armée terrestre était composée de:- 5.000 Transylvains (Hongrois, Roumains, Szeklers, Saxons) amends par Jean Hunyadi20.- la cavalerie lourde et légére qui réunissait les banniéres de certains magnats hongrois (Emeric Tamási, Etienne Báthory, Michel Szilágyi, etc.)21, des évéques du royaume (Jean Dominic évéque d’Oradea, Simion Rozgonyi évéque d’Eger (Erlau), Raphael Herczeg évéque de Bosnie)22 ainsi que les Croates et les Bosniaques de Franko Tálloczi le gouvemeur de ces provinces (3-4.000 hommes).- 500 chevaliers hongrois et polonais qui formaient la garde du roi Vladislav, parmi lesquels l’humaniste Nicolas Lasocki, Jean Koniecpolski et Pierre Szczekociny, respectivement le chancelier et le vice - chancelier du royaume polonais23.- un contingent de volontaires croisés amends par le cardinal Cesarini environ 1.000 chevaliers, écuyers, aventuriers : des Hongrois, des Allemands, des Autrichiens, des Italiens24.- les mercenaires enrölés de Pologne (cavalerie et infanterie sous les ordres de Lesko de Bobricz), de Bohémé et de Slovaquie (commandés par Adam Budovec de Budova Roztokách, Jean Capek de San et Jenik de Mechova et mérne des combattants appartenant â Jean Jiskra de Brándys) un total de 5-6.000 hommes25.- un contingent de 4.000 cavaliers de Valachie commandés par Mircea II le fils aíné du prince Vlad Dracul (1436-1442 ; 1443-1447). Son vieux percepteur avait participé á la bataille de Nicopolis et il est possible qu’il accompagna aussi Mircea â Vama26. canons quy passoient par dessus les gallees”, Anchiennes Cronicques d’Engleterre, p. 89-90, dont le témoignage de Walerand de Wavrin est essentiel pour l’histoire des opérations de la flotte en 1444. 19 Widern, p. 60. 20 M. P. Dan, Cehi, slovaci şi români în veacurile XIII - XVI, Sibiu, 1944, p. 126; Şt. Pascu, Rolul cnezilor din Transilvania în lupta antiotomană a lui lancu de Hunedoara, in SCI, VIII, 1957, nr. 1-4, P- 51-21 Beheim, op. cit., p. 28-29; Chasim, op. cit., p. 308; L. Elekes, Armiia Guniadi, in Acta Historica Academiae Scientiarum Hungaricae, I, 1951, nr. 1, p. 42. 22 Beheim, loc. cit.: M. Chasim, loc. cit. 23 Ducas, p. 276; Beheim, p. 42, nous dit qu’il s’agissait de l’élite de l’armée. Quant â Palatio, p. 465, il écrit au sujet de la chevalerie de Vladislav: “postque et rex ipse cum suis vexillis et aciebus electorum ex Polonis et Hungária militum cordibus magna splendore dignitateque fremebat”. 24 Iis ne pouvaient étre que ceux mentionnés par les chroniqueurs ottomans: Italiens (Latin), Allemands (Aleman), Autrichiens (Nempe), Orujd bin Adii, Tevârîh-i âl-i Osman, Les chroniques anonymes, Tevărih-i âl-i Osman, sa’adeddin, dans Cronici turceşti privind (ările române. Extrase, p. 55, 182-183, 314. 25 Callimachus, p. 508-509; Urbánek, p. 96-97, 134, nr. 102; Dan, Armata şi arta militară, p. 71, avec bibliographic; Thúry, p. 20-23. 26 Palatio, p. 463, et Callimachus, loc. cit. Beheim, loc. cit., nous dit que le contingent valaque était fort de 7.000 hommes. II s’agit bien de 4.000 car dans l’année suivante, le voivode valaque rassembla ä peine 6.000 cavaliers pour combattre Ies Turcs sur le Danube. Pour le fils de Vlad Dracul voir M.

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