Műemlékállományunk bővülése, új műemlékfajták (Az Egri Nyári Egyetem előadásai 1987 Eger, 1987)

Nováki Gyula: Őskori és középkori földvárak Magyarországon

1810, le bâtiment fut reconstruit en style empire et un balcon fermé fut ajouté. Les années 80 siècle dernier il subissait encore une reconstruction, dans le styel des villas de Suisse, avec une grande véranda de bois, de laquelle une vue magnifique s'ou­vrait sur le lac Balaton. Le cellier de style romantique de l'ordre des Bénédictins de Pannonhalma, situé à Pántlikadűlő—Balatonakaii, est classé. Beaucoup de celliers anciens se trouvent sur le territoire de Tolcsva, parmi lesquels le plus beau est le cellier de style empire-néo-classique, nommé « Kincsem », bâti vers 1810. En ce qui concerne les caractéristiques de forme du cellier « Láczay », bâti vers 1890, dans la banlieu de Sárospatak, elles sont très proches de celles de l'art postmoderne des années 80 de notre siècle. Afin de mieux apprendre le métier de la production de vin, les années 70 siècle dernier, une école de vigneron fut fondée à côté de Tarcal, sur les frais royaux. Le monument d'architecture de celle-ci est le château, nommé royal ou Theresia, de style suisse, avec un jardin et un cellier. Grâce à l'enquête des monuments d'histoire agraire, le cellier de style romantique de l'archevêché de Kalocsa, bâti vers 1850, à Érsekhalma, est classé. La qualification du classement shangea aussi; aujourd'hui le bâtiment est la pension de la Ferme d'État de Hosszúhegy. Un jardin de plantation et ornement romantiques, conservant la qualité ancienne se trouve de­vant le bâtiment. Au bout du jardin, un belvédère à boire couvert fut élevé par les hôteliers. Les ouvrages hydrauliques liés à culture, approvisionnant en eau les fermes, sont aussi sauvegardés. Le corps de pompe et l'écluse pour le dessèchement des marais de tourbe appartenant à la Ferme d'État de Nagybereki, situés à Balatonfenyves, datent de 1911. Les pompes originales sont en ordre de service depuis 1915. Il faut faire l'honneur à M. Emil BÁNIK, maître passionné de l'ouvrage qui l'entretient et le garde aujourd' hui même ; il est le dernier représentant de la génération, pour la­quelle la machine signifiait la vie. La station depompageet le château d'eau de Mezőhegyes ont été bâtis en 1888. Le réservoir de style suisse à la charpente de bois. La même année, une station de pompage et un château d'eau pareils furent construits à Bábolna. Les monuments d'architecture de l'élevage Les monuments les plus importants en bon état de conservation on doit à l'élevage de chevaux, de vaches et à la chasse. Avant la motorisation, le cheval fut l'auxiliaire la plus importante de l'homme dans le transport, le combat et quand il s'agissait du déploiment d'énergie. Au début, les haras élevaient des chevaux pour but stratégique, puis l'élevage des che­vaux de course et de transport passait au premier plan. Comme le cheval représenta une valeur importante, on essaya de créer des conditions architecturales dignes de son élevage. L'écurie des comptes Eszterházy à Tata peut être considérée comme exemple particulier et représentatif. Dans l'intérieur du bâtiment imposant à l'extérieur aussi, une colonnade de marbre rouge partage l'espace voûté en trois nefs, au milieu il y a une cheminée de marbre rouge, devant laquelle les cavaliers se chauffaient. Il est à mentionner que les bassins à l'avoine ont été faits du marbre rouge dans tout le pays, étant donné que le calcaire ferme de Tardospiszke fut très résistant à l'usure, supporta bien les heurts de harnais. Dans la ferme représentative de la famille Grassalkovich à Hatvan—Nagygombos il y a une cour de chevaux à part, marquée par un portail aux sculptures. En même temps, il faut remarquer que tandis que la vacherie fut voûtée, dans l'écurie on se contenta d'un plafond en bois. Cela s'explique avec le traitement plus « chaud » des vaches. En 1785, l'empereur Joseph II. fonda le Haras Impérial-Royal de Mezőhegyes, dont le but fut le remplacement des chevaux de combat de l'armée et l'amélioration de la race chevaline des comitats environnants. Grâce au service de subsist­ances des guerres de Napoléon, l'activité économique de la propriété connut une période de prospérité, devint rentable, et on pouvait se permettre d'élever des oeuvres d'architecture représentatives. Au début, l'élevage des chevaux se faisait dans des stalles couvertes sans mur latéral, à Mezőhegyes. Vers 1800, selon les plans de János HILD, des écuries longues de 150 mètres, à arcades furent construites, les arcs ont été ouverts. En hiver on ferma les ouvertures avec des planches. Comme les planches vieillissaient avac le temps, on devait définitivement emmurer les arcs à l'intérieur, et c'était comme ça que les façades d'un pied de profondeur se formaient. Autrefois, à Mezőhegyes douze fermes possédèrent des écuries arquées, au­jourd' hui il n' y en a que six. Dans le quartier central trois écuries se sont encore conservées, elles embrassent une cour. L'écurie centrale construite les années 80 du siècle dernier, selon les plans de Hild existe toujours, elle est à piliers en fer coulé et à voûte légèrement arquée. A l'écurie du prince royal bavarois François, bâtie à la rencontre de deux siècles, dans la ferme Káld-Szita de la Ferme d'État de Sárvár, appartenait un petit bâtiment rond, pareil à un moulin à manège, utilisé comme champ de course pour les poulins. L'écurie de parade du prince Nándor MONTENUOVO, bâtie vers 1880, à Békáspuszta, appartient de nos jours à la Ferme d'État de Boly. La masse de l'écurie construite de la brique profilée est bien compartimentée, elle abrite un musée d'agriculture. Pour la formation des cavaliers, surtout en hiver, on avait besoin de manèges couverts. C'est le type de bâtiment dont la fonction changea le plus, et qui devait subir le plus de destructions. Quelques-uns se sont conservés quand même, mais très peu avec la fonction originale. Le plus ancien manège couvert, connu se trouve à côté du château de Gödöllő, il est dans un état restaurable. Le deuxième plus ancien est celui de Mezőhegyes qui garda sa fonction. Ce dernier fut construit par János HILD, vers 1800. Les années 80 du siècle dernier, la tour et la toiture ont été démolies et un fronton à pan de bois, une nou­velle charpente de comble ouverte ont été construits, mais tout cela ne porta pas l'atteinte à l'aspect représentatif du manège. A l'intérieur du manège il y a une tribune couverte, chauffée, et une autre, ouverte avec balcon. Sur le toit du manège un corbeau indique la direction du vent, il y a une horloge qui montre l'heure à l'intérieur et à l'extérieur aussi, la sonnerie de celle-ci signale le commencement et la fin de la leçon.

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