Műemlékállományunk bővülése, új műemlékfajták (Az Egri Nyári Egyetem előadásai 1987 Eger, 1987)

Nováki Gyula: Őskori és középkori földvárak Magyarországon

En 1874, la ville Kecskemét fit construit une écurie de style empire avec une façade a arcades pour les honveds y prenant gar­nison. Malheureusement, ce bâtiment ser d'école denos jours, avec des salles formées à l'intérieur. A Mezőhegyes la collection des plans garde celui d'un manège de bois, qui devait exister provisoirement. Sur la base du style du dessin on peut supposer qu' il date des années 20 du siècle dernier, on y voit la signature « herelemy ». La manège d'à côté du château Wenckheim de Gyula fut bâti en 1844, il servait de théâtre aussi, malheureusement, il y a un stade nautique dans le bâtiment, dont la vapeur l'endommage continuellement. On a l'intention d'installer une salle de conférence dans le hall du château. Le manège de l'Académie Ludovica de Budapest abrite un cinéma, celui de Tarnaőrs est en état ruiné. Le manège natio­nal de style romantique, bâti par Ybl, fut démoli. La propriété de la famille Batthyány à Kisbér fut confisquée par l'état après la guerre d'indépendance. Dans la deuxième moitié du XIX e siècle, Kisbér fut le troisième haras militaire après Mezőhegyes et Bábolna. Ceci explique que le plus beau manège de style romantique du pays se trouve à Kisbér. Actuellement il sert de dépôt. En Hongrie, jusqu' au milieu du XVIII e siècle on éleva la vache grise. La production laitière de cette vache, forte à la viande délicate fut très basse, neuf litres par jour, c'est pour cela qu'on commença à élever la race suisse siemthal, pie blanche-brune. La nouvelle race habituée à l'étable chaude fut exigeante et chère. Par conséquant, on bâtissait des étables voûtées, dont l'accumulation de chaleur fut meilleure. La présentation de l'effectif des boeufs compté luxe, fut l'un des di­vertissements des seigneurs. C'est ce qui expliqua le caractère représentatif des espaces intérieurs des étables à deux outrois nefs, en général. Il y avait des espaces répartis par pilier ou colonne mince, des espaces non répartis avec coupole à cintre surbaissé. Ces demiers ressemblèrent à une petite église. Comme ces bâtiments ne répondent plus aux exigences de la technologie moderne — la traite y est impossible, — ils ont des fonctions différentes. L'une des plus anciennes étables est celle de la ferme Gyönk—Szabaton puszta, elle appartient à la Ferme d'État d' Alsó­tengelic. Dans le bâtiment simple de l'extérieur, il y a un espace à coupole à cintre surbaissé, à deux nefs, octoaxial. Grâce à son bon état physique, le bâtiment sert de box de truie à porcelets. Dans la ferme Grassalkovich de Nagygombos l'étable de la cour à boeuf est à trois nefs, l'espace intérieur est réparti par des colonnes minces. Un groupe particulier est représenté par les étables avec grenier, c'est à dire au dessus des étables à trois nefs, réparties par des colonnes, il y a l'étage du grenier. Une étable pareille se trouve dans la ferme de la famille Grassalkovich à Kompolt, elle date du XVIII e siècle. Au cours des examens sur le lieu des monuments d'histoire agraire, une étable « schweizerei » de grande valeur fut dé­couverte par hasard dans la ferme Lengyel de l'Exploitation d'État de Hőgyész. Elle fut la propriété de la famille Apponyi. Comme l'architecte de la famille fut István VERDES, on peut supposer que ce bâtiment complexe à tout point de vue était son oeuvre. L'étable avec une coupole à cintre surbaissé, à un nef se divise en deux parties sanitaires. Le logement du vacher se trouve dans l'altan du milieu. L'entrée se situe à l'axe asymétrique — selon la section d'or (1:0,618) — des ailes de droite et de gauche, la porte du grenier à fourage se trouve au dessus de l'entrée, sous une petite lunette. Le relief du milieu, représen­tant une tête de vache met en évidence la fonction du bâtiment. Comme le château de la famille Apponyi fut construit en 1829, l'étable aussi devait dater de la même époque. Aujourd' hui, elle est utilisée comme étable pour le bétail d'élevage. Il est à supposer que beaucoup de valeurs pareilles se cachent encore dans les fermes. Le lieu d'un passe — temps particulier fut « le château des vaches » dans la ferme de la seigneurie du Palatin Joseph, à Alcsut. Le matin le palatin avec sa famille sortait à cheval, pour aller à l'étable à portique préclassique, prendre le petit déjeu­ner. Le chemin y menant fut borné par des platanes. Le salon de dégustation du lait se truva entre les colonnes et l'étable voûtée. Aujourd' hui, 1' étable appartient à la coopérative agricole d'Alcsut qui l'utilise comme étable du bétail d'élevage, avec 80 élèves. C'est un monument si particulier qu' en rendant sa fonction originale, il pourrait être une curiosité importante du tourisme national. L'étable en béton armé du prince Albrecht MONTENUOVO, bâtie en 1914, dans la ferme Majs Ormánypuszta sur le territoire de l'Exploitation d'Etat de Boly, représente un exemple d'architecture tout à fait particulier. Grâce à sa grande portée, l'architecture en béton armé se faisait de plus en plus indépendante ces années-là, elle commença à trouver sa richesse de formes et son système de forces. Cette étable et le bâtiment de la Fabique d'armes et d'appareils à gaz, dans la rue Sorok­sári de Budapest (1913—15) sont les plus importants monuments de l'architecture nationale en béton armé de l'époque. La rythmique de la façade du bâtiment, les verrières peuvent être considérées comme fourrier de l'architecture moderne. Faute de fonction, le bâtiment de l'étable est en danger. A l'époque romantique, le sport et la passion de chasse dans le monde des grands seigneurs, nobles et bourgeois se pré­sentaient comme évocation de la manière de vivre médiévale. A partir des années 40 du siècle dernier, on commença à s'occuper de chasse et d'économie de gibier à Mezőhegyes aussi. Des grands seigneurs et nobles, omis à la suite de la guerre d'indépendance, se sont retirés à leur propriété et firent bâtir des rendez-vous de chasse, rappelant les châteaux du moyen âge. Il arriva qu' un groupe de grands seigneurs construisait un rendez-vous de chasse collectif aux frais communs, comme par ex. celui de la seigneurie de la famille Batthyány à Csákó­puszta, près de Kondoros. Sur la base du niveau architectural du bâtiment, avec des figures anglaises et colonnes de fonte, et connaissant la relation de l'architecte Miklós YBL et de la famille Batthyány, on pourrait se permettre de la classer parmi les oeuvres de l'architecte. Sur le toit du rendez-vous de chasse se trouva la position de tir de faisans et d'oies sauvages. La mai­son du lévrier d'à côté du château fut hors de pair dans le pays. Ce fut le plus grand élevage de lévriers du pays. L' almanach de 1854 donne une longue description sur le rendez-vous de chasse, la vie de là-bas, sur la maison du lévrier, dans laquelle il y avait une chambre à coucher, un salon et une salle à manger à part. Le rendez-vous de chasse en partie vide appartient de nos jours à la coopérative agricole de Kondoros, dans l'autre partie on a installé une pension pour les chasseurs étrangers. La série des bons exemples est enrichie par le rendez-vous de chasse romantique des métallurgistes, situé à Bélmagyar— Vadasmegyer. Il est la propriété de l'Exploitation d'État de Hidashát, un hôtel représentatif depuis la restauration de 1983. La fonction originate du bâtiment est marquée sur la façade, par une sculpture représentant une tête de cerf avec bois. 78

Next

/
Oldalképek
Tartalom