Petőfi gyüjtemény - A sorozat / 1-es doboz

Paris-soir Le départ de lord Tyrrell use des regrets unanimes DERNIÉRES N d Tyrrel, qui était ambassadeur snde-Brelagne a Paris depuis cinq oils quitte pour prendre sa re- r,es regrets unanimes manifestes par toute la presse londo- tous les journaux parisiens sez la valeür de l’homme, iplomate. On y lit les diverses ; sa brillante carriére, et l’on de voir que le poste de Paris le digne couronnement. si l’on y célébre, comme il 1, les mérites d’une vie pleine is et loyaux services, si l’on y ie les qualités d’esprit et de coeur imbassadeur, on n’y a peut-étre ssez souligné ce que la France en voyant lord Tyrrel s’éloigner . Car, on ne le dira jamais trop, un de nos grands amis qui s'en ies origines irlandaises et catholi- i 1’avaient predispose a mieux nous prendre peut-étre, que d’autres de ictére purement anglo-saxon. Et, de , des son entree au Foreign Office 1905, par sa collaboration ensuite ec sir Edward Grey, William Tyrrell it un des plus grands artisans de l'En­(SUITE tente cordiale. C’est la mérne ligne qu’il essaya de suivre ä son arrivée ä Paris en 1928. La politique d’isolement de son pays lui paraissait sterile. Seule 1’uQÍon renouVelée de la France .et de l’Angletefre lui seqiblait devoir éviter la catastrophe que l’AUemagne nous pre­pare. Lord Tyrrell s’en va, sans avoir été écouté. Mais ce qui tempere les regrets que nous cause son départ, c’est l’espoir qu’il ne restera pas complétement dans la vie privée, et qu’il continuera a lan­cer autour de lui, dans son pays, le cri d’alarme nécessaire. Peut-étre mérne sera-t-il plus libre la-bas que dans I’ho- tel du faubourg Saint-Honoré ! Quant ä son successeur, sir George Clerk, c’est une lourde succession qu’il va recueillir. On dit qu’il est un des di- plomates les plus distingués d’Angle- terre. Souhaitons qu’il ait la clairvoyan- En tout cas, UINSTRUCTION DE UAFFAIRE STA M. d’Uhalt fait subir aujourd á M. Guébin un important interroi (DE NOTRE ENVOYS SPECIAL) Bayonne, 26 Février. (Par tél.). La semaine s’ouvre sur d’importantes nouvelles et sur des bruits avant-cou- reurs de surprises. Guébin vient d’arriver Justice pour tőire en date _____ p eu loquace, lourdement accablé, Guébin ne fait aucune déclaration. L'homme qui--- * >------J. T>„ ,.Annn a u PaJais de térré. Souhaitons qu ce de son prédécesseur. Paris est pret, par un accueil des plus E ano vo» p> w», r.— ___ c ordiaux et par un préjugé des plus fa- vorables, a faciliter sa grave et diffi­cile mission. Georges COMINES. «Je ferai de mon mieux pour continuer á travailler en favour de I’Entente cordiale» NOUS DECLARE LORD TYRRELL Un grand mouvement diplomatique gjgggjgS et€ 11 il at l — -------- * . a nnoncé : lord Tyrrell qui. ilaisir ou que d’aller au golf de de Saint-Germain. Et cer­juitter tant de dou­ans,'«lit ambas'sadeur d'Angleterre en Änt de gens |«Ä demandons.quelques noms des in XI ' SCI (Ii i J . Clerk, ambassadeur k Bruxelles. Ce départ, si inattendu, causera un vif regret en France oil l’homme qui, durant plus de trente-sept ans, joua un rdle im­portant dans les affaires diplomatiques était si profondément aimé. Chacun sa­vait, en effet, que toute sa vie, aussi bien tandis qu’il occupait le poste important de secretaire d’Etat permanent au Foreign Office, que du­rant son ambassade, il fut l’ardent dé- fenseur de l’entente franco-anglaise et un ennemi déclaré de la politique d’iso­lement Dés. que nous sűmes la nouvelle, nous I voulümes voir l’ambassadeur ; sa fille, la’charmante Mrs Holman, a bien vouhi nous recevoir ce matin, et nous conduire jusqu’á lui. En traversant ces splendides salons oü la,gloire de tous les rois anglais, depuis Guillaume d’Orange jusqu’á George V, étincelle, oü les meubies mémes, en bel- «vwinfrfes. racohtént TimmorteUe dé­_ IN OUa uuuiauutnia .^v..__x___ t imes. Mais lord Tyrrel nous arréte — II faudrait, dit-ll, les nommer tous et un ambassadeur doit étre dlscret, me ’ -----"'is TVJrif ri d iaire entre les pouvoirs p vlsky, peut, en se défenda: cause d’importantes person ce cas, il faudrait bien, un fronter avec elles. On reparle du «dessai Nous parlions avec quek du palais de Bayonne du det Une premiére fols, on s’en Ancefy, procureur général d Pau, chef hiérarchique de avait demandé le dessaii Bayonne au profit de Paris nouveau question. Nous en je, quand M* Morand-Month de Pierre Darius, nous décli — M* Boucheron et moi, n pas de demande de mise en soire avant demain. Nous a réponse á l’une des questioi M. d’Uhalt. Et la conversation sur 1« ment reprend. II est évident que Paris e ttllé que Bayonne. Mais, ici, échappe k l’atmosphére ~ les armoirles, racohtént vise : « Honny sóit qui mai y copiment ne pas évoquer ces réceptions magnlfiques, celle en particulier de dé- cembre dernier, oü la gracieuse fille de la maison’ réservait k ses hétes un ac­cueil splendide. Lord Tyrrell nous a recu dans le cadre si sobre de son cabinet de travail, tran- chant nettement avec l’éclat des salons volsins : sur la cimaise, quatre toiles, deux paysages, un ■ portrait- récent -de l’Excellence et prés d’elle la douce figure de ses deux fils tués k la guerre, peints quand Us étaíent encore de jeunes enfants blonds, A nos preml*re3 paroles, empreintes d’une- surprise attristée, “ —’ peut que nous dire : voulez-vous, il faut in amüaööciucui uu4l, ~ me quand il parle de ses amis. Notré mé- tier, voyez-vous, est difficile. Pourtant, il donne de nobles joies. Un, de mes plus f rands bonheurs, au cours de mon am- assade frangaise, ce fut dans les débuts, quand.je fus invité á représenter officiel- lement mon gouvernement á la féte de v<jtre héroíne nationale, la grande Jean­ne d’Arc. C’était la premiere fols qu’on voyait cela. Je me souviens, j’é ' prés de M. Paul Doumer, ailors du .Sénat, qui était lui ausst trés Et l’ambassadeur ajoute —■ Quels piaiéira encore mol ces grands spectacles comme la cou­pe Davis, oü, quel que sóit le sort de la victoire, nos pays étaient si intimement, si sportivement unis. Mes meilleurs mo­ments parmi vous ? C’était, nous dit lord Tyrrell, chaque fols que je pressentais u’il y allait avoir dans les relations po- de nos pays ces beaux instants - - mutuelle oü l’on ses deux avocats, deux maltres du bar- reau de Paris, rudes jouteurs en matiére juridique ~ ' Kanoui. Le regard éteint, sombre, de Pauil-Louis Guébin fűit les autres regards. L’oeil est cerné de bistre, le teint du visage se cui- vre. Guébin, hőmmé de belle prestance, se tasse. se courbe, 11 apparalt comme un noyé porté par des flots sans bord et qui s’abandonne mollement aux efforts tenaces de ses sauveteurs, en l’occurren- ce ses deux avocats. Pour tenter de délivrer leur client des r—r-.«-- - mains de la Justice. M’ Ribet et M* Ka- í?uent les influences et tea noul ont commencé, dés ce matin, une Bayonne, la plupart des dé! subtile offensive, non contre M. d’Uhalt, E?u.r h“s enquéteurs p mais contre M. Verlaguet. I Si la Commission _ d’enquét* Une premiére fois ils avaient projeté, un s’en sou vient, de faire récuser I’expert pour indiscrétions á la presse. S’appuyant aujourd’hui sur des textes de procédure, ils protestent contre M. Verlaguet, cou- pable k leurs yeux de n’avoir pas commu­niqué k la defense, le jour de I’arresta- tion de Guébin, certaines lettres qui, d’aprés eux, seraient en faveur de leur dient, notamment une lettre de Guébin k Garat, datée de mars 1931. L’expert ne pouvait recevoir meilleur hommage et plus beaux éloges que cette offensive. C’est son argumentation et ses ques­tionnaires qui ont conduit Paul-Louis Guébin k la villa Chagrin. Evidemment, on ne le lui pardonne pas du cété de la défense. Aussi, ce matin, sur le conseil de ses avocats, Guébin a-t-il d’abord protesté, avant l’interrogatoire, par ce qu’on appelle une déclaration spon- tanée. Ses défenseurs ont déclaré qu’ils furent pour loi^I Tyrrell he — Que voulez-vous, u uuu savoir se rendre k la raison. Ma santé actuelle- ment chancclante, ne me permet pas de poursujvr» une telle charge.- Vous pou- vez etie- aftr-- qu« mon suetesseuf etr ami M. Clerk, que je connais de longue date, salt to'it son devoir. Et pourtant, ajpute l’excellence avec un sourire tout trjste, Paris était mon « spiritual home Je m’y sentats chez moi. Toutes vos choses étaient miennes ; chaque jour, avec mon dog Micke, je faisais, au bois de Boulo­gne, ma promenade matinale. » Au week end, je n’avais pas de plus Pas de mouvement de troupes ä la frontiére austro-allemande (De notre correspondant particular) Vienne, 26 Février (par téléph.); annongait qu’un important---— - ""Aon ri a l itiques ae nos um ww.^. ____ d e détente, d’intelligence mutuelle oü l’on est si intimement unis dans la compré- hension. — Cette entente franco-anglaise, c’est n’est-ce pas, votre grande idée depuis longtemps ? Mais sans doute ne saurait- il y avoir de retraite pour celui qui tra- vaille:-á une telle cause ? — C’est vrai. Et á l’ombre, j’y tra- vaillerai encore. Ma tAche, peut-étre, sera plus facile. Un ambassadeur est tenu par toutes sortes de réglements. — .Vims ne sauries. Excellence, donner une aussi noble cause. — I will do my best. (Je ferai de mon mieux.) Mrs-Holman a bien voulu nous accom- pagner jusqu’á l’entrée du hall, oü la douce feine Mary sourlt sous son diadé- —i—notre hfttesse s’at­aban­ne pourraient admettre désormais que leur client répondlt aux questions de l’ex­pert. — Sinon, ont-ils annoncé, nous dépose- rons des conclusions pour que l’instruc- tlon sóit annulée par la Cour de Pau, alnsi que toute la procédure qui suit. » Menace qui n’est pas faite pour accé- lérer l’instruction. Les avocats font, cer- tes, leur métier. Mais ils sont vlngt-qua- tre dans cette affaire, vingt-quatre pour l’instant, pris parmi les meilleurs du bar- reau de Bayonne et les plus réputés du barreau de Bayonne 1 La Commission d’enquete enverrait des délégués á Bayonne Tandis que nous attendions, une fois de plus, sur le petit palier de bois du Palais de justice, que se terminát l’in- terrogatoire de Guebin, des nouvelles nous parvenaient, — Je viens d’apprendre de Paris, vint nous dire un avocat, que la Commission d’enquéte parlementaire enverrait des délégués k Bayonne. » Vue ici, cette initiative paralt heu- reuse. Loin de I'atmosphére de Paris, dans la tranquillité provinciale, les par- lementaires auraient a Bayonne beaucoup ä apprendre. MM. d’Uhalt et Verlaguet ont recons- titué parfaitement le mecanisme de l'es- croquerie. Les délégués parlementaires trouveront alnsi en ordre, placés selon leur importance juridique, les documents de l’instruction. Aucun n’a été perdu let. Alnsi connaltront-lls mieux quel bon tra­vail a fait M. d’Uhalt depuis deux mois. Albert Dubarry renouvelle menaces délégués auprés du magist teur. Us pourront se faire á opinion éclairée. L’interrogatoire de < Vers midi, Guébin sortit 6 juge pour aller déjeuner k lt grin. M. d’Uhalt, qui ne laisse sard, avait employé la matt rogatoire sur le placement les demarches faites par li écouler : — J’étais directeur de t f nies, a répondu Guébin t tait done mes attributions. L’inculpé a, d’autre part, ignorait complétement les et qu’il n'avait, lui, aucun sonnel k faire ces placemen Mais l’interrogatoire n’esl né. A 14 heures, il reprend jusqu’á ce soir, car, dans < les questions techniques st ment compliquées. Stépha Les plis saisi rue La Boétie ríéta destines á Stav\ Nous-avons dlt hier que li nérale avait procédé, samed: de poste de la rue de la saisie de deux plis volumlne de Berlin á un certain M. - Paris. Ces deux plis, qui furent i cés sous scellés, ont été e matin á M. d’Uhalt, Juge á Bayonne. Nous pouvons dire ce matii voi n’a rien eu de mystériei Les deux plis saisis rue < sur réquisition du juge c étaient destinés en effet ä M un scénariste connu, qui, n’a rien de commun avec Alt visky. Ils renfermaient des affich cité pour un film. me. En nous quittant, ____________ t riste. II n'y a plus que quelques semai- nes ä rester ici, et tout son déli- cieux visage, sans qu’il solt besoin d’une parole, avec la diserétion qu’exige son r&le, semble nous dire : « Voyez- vous, moi aussi, j’ai beaucoup de cha­grin ! » René Barotte ses Aprés l’annonce de cette vislte, nous ap- prlmes que Dubarry — il en a réitéré la menace dans sa prison — était bel et bien leidé á parier. Mercredi, M. d’Uhalt l’interroge pour la premiére fois depuis quarante-quatre jours. Bien que nous attendions trois té- moins, MM. Desbrosses, Constantin et Di- goin, c’est cet interrogatoire qui solUcite vivement notre curiosite. composées de Hier, on SÄ edtedetrs°olLets de l’ármée au- •trichienne, s’était effectuő vers la fron- austro-allemande. Cette nouvelle est P!'ob1^bÍS-“bitsch ulti- l’ultimatum de M. Habltscn, uiu drexpirjr^^févr^ s oi^es milieux bien inform és assurent Vr* 100 zr----- -»o été envoyée k la [u’ aucune force n’a ’ils^ajoütenLque le gouvernement autri^ HS ajOUX-eUL-quo io qvu.v----------­c hien n’attache pas assez d’importance á 1’ultimatum Habitsch pour avoir á pren­dre des mesures militaires. Tous les • bruits á ce sujet sont done jK>ur le moins exagérés. Le séjour de M. a Rome Eden M. Eden a été regu en audienee par le papé. Aprés l’audience pontificale, M. Eden «st descendu chez le cardinal secrétaire d’Etat PacelU. Puis il a visité les mu- sées du Vatican. M. Eden a aasisté ce matin á un dé­jeuner offert par M. Suvich. II sera regu par M. Mussolini á 17 heures. Ce solr, il prendra part á un diner in­time offert par le chef du gouvernement. Le ministre britannique verra de nou­veau, dans la journée de demaln, MM. Mussolini et Suvich. II quittera Rome mercredi matin. Un entrepreneur attaque dans sa maison son ancienne femme Requ ä coups de revolver, il se suicide (De notre correspondant particulier) Fontainebleau, 26 Février. Prés de Montereau, á Misy-sur-Yonne, un drame de la jalousie ‘ — matin. Entré, revolver au poing, dans la mai son de son ancienne femme, Clotaire Vi- ráült, 34 ans, autrefois entrepreneur ä Dammarle-les-Lys, mari jaloux et lntéres- sé, s’est suicldé aprés avoir essuyé deux coups de revolver. Divorcé depuis le mois dé mai de l’an- née derniére d’avee sa femme, née Yvon­ne ■ Legrand, Clotaire -Virault était á plu- sieurs reprises revenu á Misy-sur-Yonne oü son ancienne femme tient un débit de vin-épicerie. II lui avait fait de nom- breuses scenes dans lesquelles la jalousie et l’intérét avait leur part. A la fin de l’été 1933, Virault pénétrait par effraction dans le débit et, revolver au poing, menagait sa femme, puis pre­plus ------------- ------- -------­— Je n’oublierai personne, a dit un Jour Albert Dubarry, d’une voix assez caute- leuse pour laisser entendre de prochaines révélations. L’opinion publique, Justement impatlen- te, s’est parfois étonnée que certaines personnalités poHtiques ne fussent pas convoquées comme témoins á Bayonne. II faut ä un juge des motifs valables pour décider. Sinon, les avocats velllent et, de- vant la moindre erreur de procédure, • ils n’hésitent pas á déposer des conclusions et á menacer de faire annuler Tinstruc- tion. Albert Dubarry, accusé d’étre l’lntermé­Le bruit courait dans la l Gilbert Romagnino, qui fut teur de nombreuses sociétés finanoées par Stavlsky, et ar de l’escroc, avait disparu de Jours. Nous avons pu Joindre sa fa qut Romagnino vivait séparé d’un an, dans Patelier de mo dirige rue La Boétie. — Vous savez que nous n’t ensemble, nous dit-elle. Cep< bert ne manque jamais de ve guliéremént, embrasser nos e airoe beaucoup, et, généralem la journée du dlmanche avec » Je l’ai revu samedi. Hier 11 n’est pas venu. » Je ne m'inquiéte pas, ci qu’il a dü aller se reposer á gne. » Et comme nous demandions femme si Romagnino n’avait le projet d’un voyage : — II ne seralt pas parti san bras3er les enfants, nous répoi plus, Je ne pense pas que s ces, en ce moment-ci, lui pern ler bien loin. Le Sénat commence cet aprés-i la discussion du budget A Cayeux au cours d’une discussion un jeune homme tue son pere au punig, — _____ n ait la fulte á l’arrivée du garde-chám- pétre. Arrété par les gendarmes, il fut condamné á 2 mols de prison par le tri­bunal correctionnel de Fontainebleau et, le 10 octobre 1933, il entralt á la maison d’arrét pour y purger sa peine. Mme Legrand profita de cette période de tranquillité pour se remarier avec M, Beaudier. Cela ne l’empécha pas de con­tinuer son commerce et de vivre avec sa mére, kgée de 58 ans. Mais les deux femmes craignant tou- jours Virault avaient acheté chacune un revolver. Ce matin, aprés avoir fait le guet un moment, Virault sachant M. Baudier ab­sent, tenta de nouveau de pénétrer dans répicerie-buvette. Mais Mme Baudier se precipita sur la porté, que, de toutes ses forces, eile maintint fermée. Sentant sa résistance faiblir, eile eria : — Maman, donne-moi mon revolver tout de sülte ! En possession de l’arme, eile tira au travers de la vitre, sans viser, les balles n’atteignirent pas M. Virault. Celui-ci, fu- rieux. se rua sur une autre porté de la [SUITE DE LA PREMIERE PAGE] Au début de son exposé, le rappor­teur général indique á ses collégues que la commission a apporté, sur les chif- fres arrétés par l’autre assemblée, des réductions qui s’élévent ä 162 millions 896.913 francs, en mérne temps qu'elle réduisait les prévisions de recettes de 162.435.742 francs. Si bien que l’équllihre établi par la Commission sénatoriale des Finances laisse apercevoir un excé- dent de recettes sur les dépenses de 59.256.014 francs. Mais M, Marcel Régnier fait observer que cet équilibre est bien précaire en raison d’un excés d’optimisme tant dans l’évaluation des économies, que dans les prévisions de recettes. Les décrets-lois chander au gouvernemen seing que celui-ci jugeait in< pour agir. Ainsi pouvons-no que I’oeuvre de redressem taire, si souvent remise sur 1 va pouvoir enfin atteindre Deux interpellatic M. Fernand-Laurént, député ne, a annoncé son intention d le ministre de l’Intérieur et des Finances sur les incident a pu donner lieu le contröle i Compagnie du Métropolitain. Plus généralement, sur l’o fonds électoraux de 1932, et pl liérement encore sur les moy tence du Journal du parti S.F aux décrets-lois, il « II ne tient qu’au (De 'nótre correspondant particulier) AbbeviUe, 26 Février. Un crime, dü sans dóute á l’ivresse, s’est déroulé hier soir á Cayeux-sur-Mer. La famille Caru habitait. rue du Cra- be, une maisonnette trés humble. Lá vi- vaient le pére, ágé de 43 ans, magon, sa femme et son fils Alcide. ágé de 19 ans. Depuis trois mois au moins. des discus­sions fréquentes éclataient ét. á plusieurs reprises, le pére et le fils en étaient ve- nus aux mains. Hier soir. Alcide Caru se rendait á Saint-Valéry. A son retour, il rencontra dans la rue son plus jeune írére, qui lui déclara que son pére vénáit de tout cas- ser á la maison. Alcide rentra en toute háté et une discussion ne tarda pas á éclater entre le pére et le fils, visible- ment énervés par la boisson. Cette dis­cussion dégénéra en violences. Alcide s’arma d’un petit canif et . en frappa violemment son pére dans la ré­gion du cceur. Le magon s’affaissa sur une table et mourut aussitét. Le parricide alia aussitét se constituer pírisbnnier. II a déclaré : — Je n’aurais pas cru trappéi- si fort. Tai été poussé á bout. A cinq reprises, mon pére ra’a menacé et j’ai eu peur. Je ne croyais pas I’avoir tűé. Des renseignements recueiilis sur Al­iidé Cáru, 11 semble résumer qu’il avait bonne réputation dans la région.-,11'semble que le défunt éprouvait pour fils une aversion motivée par cer- clrconstances troublantes entou­neux, ötJ rua owi ______ __ m aison. Mais son ancienne belle-mére qui se tenait derriére, tira eile aussi á tra­vers le battant une balle qui n’atteignit pas Virault. Puls les deux femmes affolées, se pré- cipitérent dans la rue en eriant au se- cours. Virault, alors maitre des lieux, pé- nétra dans la Cuisine; lá, il se logea deux ballés de revolver dans la tempe. La mórt fut instantanée. Le roi et la reine de Dänemark quitteront Cannes cette semaine (De notre correspondant particulier) Cannes, 26 Février. Le séjour du roi de Dänemark a Can­nes sera bientöt terminé. Quoique ni Christian X, ni la reihe n’aient encore fait connaltre exaetement leurs inten­tions, on suppose que le départ des sou- verains aura lieu cette semaine. Depuis la fin des régates royales, le roi fait de nombreuses visites. Avant-hier il est alléy á Nice passer en revue le 20* ba­---- -1—~ T o *’ni ísnrt F aisant allusion dit en substance : gouvernement de faire de cet équilibre apparent une réalité solide. II faut que les rectifications qui pourront étre ap- portées au cours des mois prochains servent á déterminer l’ampleur des compressions á réaliser. » Le rapporteur ne se dissimule pas cependant que l’équilibre n’est en réa­lité qu’un équilibre comptable dönt la précarité tient á une cause que la com­mission des finances avait déjá dénon- cée dans le budget de l’an passé. — Le gouvernement reconnait, indi- que-t-il, qu’il est sage de prévoir des mécomptes en cours d’exercice, et on peut lui reprocher de ne pas avoir sou-1 mis au Parlement un projet solidement équilibré au prix de mesures nouvelles d’économies. — II a préféré, poursuit M. Régnier, pour des raisons d'opportunité, obtenir le vote immédiat d’un budget dönt il a reconnu loyalement les Imperfections. II y a surtout introduit un élément nou­veau en se faisant délivrer l’autorisa- tion de procéder par voie de décret aux économies nécessaires pour parfaire l’équilibre entre les dépenses et les re­cettes. son directeur. D’autre part, M. Jean Niel, l’Aveyron, vient de déposer un d’interpellation sur la erise ej plus sevére qui attelnt 1'éle vaj et sur les mesures que le n l’Agriculture compte prendre | dier á la baisse de prix du production, et pour parer á ment menagant du cours de lai tiers. OUVELLES [VISKY hui jatoire Jblics et Sta­at, mettre en nalités. Dans jour, le con­sissement» lues habitués ssaisissement. souvlent, M. lu Parquet de M. d'Uhalt. iissement de . II en est de parlions, dls- eil, défenseur ira : ous ne ferons liberté provi- ■ttendons une is posées par s dessalsisse­st mieux ou- , l’instruction irisienne oü -TSiWJes. A ’enseurs sont our Bayonne. 9 envoie des rat instruc- ce sujet une L’avion courrier Casablanca • Dakar tömbe: 1 mórt, 3 blesses graves Cest entre Cap Juby et Villa-Cisneros qua eu lieu Vaccident au cours duquel le mécanicien fut iné Vlies sont douce5 et menagent lágerjáé! CRAVENA e matin u cabinet du i prison Cha­rien au ha- née á l’inter- des bons et ii pour les rols compa­ct ce travail affirmé qu’il irrégularités intérét per- ts. ; pas termi­ét 11 durera :ette affaire, int extréme­ne Manier. IS ient pas L’avion long courrier Lat-28 qui effec- tue la liaison Casablanca-Dakar était, comme de coutume, parti de Casablanca á 17 heures. Se trouvaient ä bord le pilote Goret, le radiotélégraphiste Morét, le mécanicien Reig et enfin M. Bourgade, chef de l’aé- rogare de Saint-Louis. Le début du voyage se pássá norma lement, jusqu’au cap Juby. Que se passa-t-il alors ? Une panne de moteur forga sans doute le pilote á se poser rapidement. A 1 heure du matin, l’avion se fracassa en touchant le sol qui, á cet endroit, est constitué par des dunes assez élevées. II y avait probablement de la brume car nous sommes en période de lune et le pilote aurait sürement sauvé son appa reil s’il n’avait pas été géné. Aussitét alertés par le retard de l’avion courrier, d’autres avions furent envoyés á sa recherche et le retrouvérent á 50 kilométres á l’est du cap Bojador. N’ayant pu éviter un obstacle, le Lat-28 était entiérement brisé et le mécanicien Reig avait été tűé sur le coup. Les autres passagers tous blessés plus ou moins sérieusement, eurent le temps d’é- vacuer l’avion avant qu’il ne prenne feu: ce sont le pilote Goret, le radiotélégra­phiste Morét et M. Bourgade, chef du centre de l’aéroport de Saint-Louis. II semblerait mérne qu’avec un courage admirable et malgré' leurs graves bles- sures les survivants aient eu le temps de retirer le courrier des débrls en feu. Un premier avion a atterri á 9 h. 5 auprés de son camarade détruit, il a prls les blessés á son bord puis 11 est reparti. Un second avion est arrivé par la suite, il a prls á son bord le courrier pour l’acheminer sur Dakar. C’est la quatriéme fois que le pilote Goret Tun des meilleurs parmi cette plélade de pilotes mervellleux, est obligé de se poser en zone dlssidente. CRAVENÄ CIGavíétTF«; a am it ne i ier-.e CIGAtfrÉTTES A BOUT DE LIEGE FAlTEó' DE TABACS DE VIRGINIE. 4 in. la boite de 10. CARRERAS LTD.. LONDRES. 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Alexander évidemment, sxandre Sta­es de publi­Les hűit occupants „ de l’avion américain disparu ont été tués Quest devenu Romi ignino? Matinéé que adminis tra­ils publicité ni personnel puts quatre nme, d’avec depuis plus dlste qu'elle tabltons pas :ndant, GI1- nir, trés ré- nfants qu’il ínt, il passe • eux. , dimanche, ír je pense la campa­á la Jeune pas formé s venir em- idit-elle. De es ressour- lettent d’al­midi t le blanc lispensable us espérer ént budgé- e chantier, eon terme. Nouvelles politic ques Salt-Lake-City, 26 Février. La mórt des hűit occupants de l’avion ui s’est écrasé aux environs de Salt- .ake-City a été confirmée par un repor­ter du journal Salt-Lake Deseret News qui s’était rendu sur les lieux de I’acci- dent. Les corps mutilés des hűit occupants, trois hommes d’équipage et cinq passa­gers, ne pourront pas étre retirés des dé- bris de l’apparell avant plusieurs heures. Le commandant Bonnot donne precisions sur le raid du«Groix-du-Sud Le commandant Bonnot, que nous avons rencontré hier, nous a donné les trés in- téressantes précisions suivantes. Pour l’ensemble de son voyage, le « Croix-du-Sud » a volé pendant 126 heu­res 57, parcourant 19.767 km. á la vitesse moyenne de 156 km. II faut noter que les incidents mécanl- ques ont été pour ainsi nuls ; quelques compte-tours stoppés ; quelques ratés prodults par les blindages des ma- gnétos, et c’est tout. Les réparations ont été facilement effectuées aux escales. Pour les moteurs (Hispano-Suiza 650 CV), ils n’ont pas été dégroupés, les soupa- pes n’ont pas été refaites. La cellule et la coque n’ont pas été touchées, et l’on peut affirmer que l’entretlen a été ré- dult á sa plus simple expression. Enfin, au point de vue technique, une vérité essentielle se dégage : le Lat. 300 est un avion stable qui vole bien la nuit, dans le mauvais temps et en pilotage sans visibilité (9 h. de P.S.V. sur Saint- Louis-Nata] et 11 heures sur Natal-Saint- Louis). II décolle et amerrit trés aisé- ment á pleine charge, de jour comme de nult. La coque, trés marine, est suffi- samment résistante. enfin et surtout, il emméne une cargaison d’essence trés lar- gement calculée. pulsqu’il peut voler 4.500 kilométres. et que la traversée de l’Atlantique-Sud est de 3.100. L’équipe du « Croix-du-Sud » a done réalisé un beau et tntéressant voyage, qui nous permet les plus grands espoirs pour notre ligne d’Amérique du Sud. Attendons malntenant la tentative du « Santos-Dumont » (Blérlot-Hispano) et souhaitons lui le mérne succés. — Com mandant Lemaltre. Voschcveux ont besoin de Silvikrine. 0 Un point, c’est tout. T. S. F. LUNDI 26 FEVRIER L’aprés-midi : Parié 17 heures, P.T.T, : Cours de la Sor­bonne (M. Baldensperger). — 17 b. 45, TOUR ; Journal parié. 18 h., P.T.T. ; Causerie sur lés oranges.- 18 h. 15, P.T.T. . Radio-Journal. — 18 h. 20. RADIO-PARIS : Emission agri- cole. - 18 h. 40. RADIO-PARIS . Chro- nique des livres. — 18 h. 49, PÁRISIÉN : Causerie médicale ; Mamans et bébés á travers le monde. Grande musique 17 h„ KCENIGSWUSTERHAUSEN : CEuvres de Dvorak et Reger. 18 h. 30, NATIONAL : Musique de chambre ancienne. La soirée : PROGRAMMES RECÓMMANDES 20 h., RADIO-PARIS : Musique de chambre : Sonate en ut mineur <Beetho­ven), pour piano et vioton, MM Léon Kartun et Robert Krettly ; Les Amours du Poéte (Schumann)Mme Martinéin ; Piéces pour piano : Toccata (Poulenc) -; Rigaudon (Ravel) ; Cinquiéme Impromp- tv (Fauré) , Fandango (Granados) ■ Triano (Albenis). M. L. Rartv/n tette (Franck). —20 h. 30, presse ; Météo. 20 h 30. PAR1S-P.T.T. : Le Festin d# Minuit, drame lyrique de P. Bonaud (pre­miére audition) Dona Cecilia Mile H. Boni ; le Comte Fabrice : M Max/ de Rieux ; le Duo le Thalberg : M R. Franc ; Basile : M E Roques , 4« Temps du Bon Roy Henri, opéra-comi- que en 1 acte de E. Devernay : Agnés : Mile J Montagne ; Margaret Mile J. Gatineau ; La Reine : Mme Ch. Treslin; Henri IV : M R. Franc ; Henri de Cas- teh i M. Emile Roques ; Inform, de la derniére heure. Grande musique 19 h„ LUXEMBOURG : Orchestre.- MIDLAND . Concert 19 h. 15. SCOTTISH : Piano Sibelius, Chopin, Debussy, etc.).- LANGENBERG : Shéhéra R. Korsakoff. _ • Revue de chasse les pellicules du jour au lendemain. Arréte la chute des cheveux, active leur croissance, leur donne éclat, santé, vigueur. (Bach, uoay, etc.;. BERG : Shéhérazade. de 19 h. 30. VITUS : Musique symphonique- BRESLAU : 4» Symphonie de Schu­mann ; Concerto pour violon en ré maj. (Tschaikowsky 1 etc.- PRAGUE : Trio p. 274. de Relnecke.- SUISSE ROMANDE : Concert sym­phonique (Beethoven. Purcell Wagner, Vogel Moussorgsky, Dukas). 19 h 45, LONDRES ; Concert choral. 20 h.. RADIOTPARIS : Musique de chambre.- PRAGUE : Concerto n° 4 pouf piano de Beethoven suite de Fincke. 20 h 15. LONDRES : Orchestre et violon. 20 h. 30. BORDEAUX-LAFAVETTE : CEuvres de compositeurs d’origine borde- lalse : orchestre et choeurs 150 execu­tants­- LYON-LA-DOUA : Orchestre de Chabrier et Messager.- P.T.T : Le Festin de Minuit, drame lyrique de P. Bonnaud.- STRASBOURG : Concert relayé de Nancy (Guy Ropartz. Widör, Vivaldi, Beethoven, etc.). 20 h. 35. LUXEMBOURG : Musique tchéque 21 h. ROME : Musique ltalienne.- SCOTTISH : Musique militaire. 21 h 30 MIDLAND : CEuvres de Schu­mann au piano.- .RADIO L. L.-adesus. VISIT EZ LES NOMBREUX STAND* DE L'EXPOSITION DE LA GRANDE MAISON DE RUSTIQUES MEUBLES COS V-CORNER STUDIOS 172, Avenue da Maine. • Métro: Alésla MMWWWWWMMMmMWWV Festival F. Ca­21 h 35. NATIONAL : Quatuor et chant 22s h.. MUNICH : Concert de musique moderne. Musique légére 19 h., FECAMP : Heure des auditeurs. 19 h 30. TOUR : Opérettes de F. Lehar. 19 h. 45. P.T.T : Dlsques.- LILLE : Disques. 20 h., VITUS . Accordéon et piano.- RADIO-TOULOUSE Concert vari*. 20 h. 30, FECAMP : Concert varié.- VARSOVIE ; Concert láger. 21 h. 45. BRESLAU : Concert de Bras- seHe ; orgue. 22 b., VITUS : Concert léger. Theatre 20 h. 55, PÁRISIÉN : Le Messager (H. Bernstein), relais du Gymnase. Causeries 19 h„ RADIO-L-L. EJournal- RADIO-PARI" árié. e Topéra, lé. 'U6 de la Sei- ITnterpeller le ministre s auxquels Iscal de la 'Hgine des us particu- ens d’exis- .1.0. et de député de e demande haque jour te frangais llnistre de lour remé- aétail á la Teffondre- s prodults Faites vos declarations d’impőts avant aprés-demain Le 28 février est la date limité á !a- quelle devront étre remise® les feuilles d’impöts. Dés malntenant, il serait prudent de se munir aux mairies de Vimprimé de dé­claration, car les stocks de feuilles sont limités et chacun y a déjá largement puisé. Passé cet ultlme_ délai, une taxation W’lmentaii-e de 30 á 40 0/0 menace les son rant sa naissance. Le jeune homme. in­teírbgé á crsujetl: a^pondu sim|lement — Je suis sür qü’il pensalt que ]e ne tats, pas son fils­taiilpn de , chássqurs , a^n^ ^ Le roi sort bon matin, On le volt souvent seul á bicyclet' et fait un peu de yachting, souvent au casino. Pendans ce temps, mais dans un autre palace, le roi de Siam et sa nombreuse ;suite.se sont installés. Le roi de Siam quittera Cannes le 12 mars. * Le redressement budgétaire Dans ces conditions, dit ü ses collé­gues le rapporteur général, il apparait que le probléme budgétaire peut étre résolu si le gouvernement veut user complétement de cette faculté excep- tionnelle. Et M. Marcel Regnier de conclure, aux applaudissements unanimes de l’assem- blée : — Sans doute, la táche n’est pas ai- sée, mais le Parlement, conscient de la nécessité de rétablir sans délai l’ordre de nos finances, a donné sans mar­Le Conseil des désignera dema le successeur de M. P au gouvernement gé de I’Indochine Le Conseil des ministres s’oc main de diverses questions fim de politique extérieure. D'autre part, au cours de ce sera nőmmé, comme nous Va dit, le nouveau gouverneur g l’Indochine. Sont sur les rangs, MM. Bla la Brossé, directeur de l’Offic dochine á Paris, René Robin, sident supérieur en Annám, ac á la retraite et qui seconda pe longtemps M. Pasquier, et Chá résident supérieur en Annám. mu nstres in asquier néral cupera de- mciéres et tte séance vons déjá ,’énéral de nchard de e de I’In- ancien ré- tuellement ndant fort tel, actuel VINCENNES PRIX DE BOULOGN E 1. Imos B (E. Doumen) ..............G, 14 50 ä M. A. V. Bulot............................P. 9 j> 2. Ibérien (A. Fóréinál).,'.,. ,P. 9 s 3. Indouvoura (Házét)..................p. 16 50 D emain á 14 heur es, Courses á Enghii m Lire, dans notre supplément 1 ^aris-soir- Courses, les résultats complete des cour­se* et le programme du lendemain. M. Gaston Doumergue a recu ce matin une importante délégation de la marine marchande Le président du Conseil a regu ce ma­tin en présence de M. William Bertrand, ministre de la Marine marchande, une importante délégation du comité central des armateurs, de la Fédération des cápi- taines au long cours, de la Fédération des officiers mécaniciens. des capitaines de la Marine marchande. des médecins sanitaires et commissaires, des officiers radiotélégraphistes. des patrons au bor­nage. de la Fédération nationale des syn- dicats maritimes et de la Fédération des pensionnés. Cet ensemble représente la totalité de la marine marchande fran­gaise. La délégation a exposé á M. Doumer­gue !a situation particuliérement grave de cette Industrie et ses répercussions sur toutes les catégories de personnel na- viguant. Elle a demandé en conséquence le vote aussi rapide que possible de la proposition de lói Tasso sur laquelle Tac- cord unanime s’est fait entre les laté- ressés. Le président du Conseil a témolgné de toute la sollicitude qu’il porté depuis toujours á notre marine marchande. II a exprlmé son souci de lui apporter toute l’aide dönt eile a besoin tant pour elle-méme que pour remédier au dévelop- pement inquiétant du chömage. II a ajouté qu’il ne manquerait pas d’en saisír le Conseil des ministres. La délégation s’est retlrée en exprl- mant á M. le président du Conseil ses remerciements. Bien-főf PÁQUES Renouvelez VOSVÉTEMENTS _ IS : Histotre 10 h 10 PÁRISIÉN : Journal parié. Í5 h 30 P T.T. : Cours d’Anelais. “ PÁRISIÉN : Causerie hortícole. — 'RADIO-PARIS ; La vie P™t,ciu*' 20 h 10 PÁRISIÉN ; Revue du mois. 20 h 15''P.T.T. : Chronique aéronautl­n ; . chronique des assurances sociales. q 21 Íl RADIO-L.L. Emission poUt que 21 h 30 RADIO-PARIS : Chronique d. Paul RehoüX. ' MARDI 27 FÉVRIER fusqu’á 19 heures : Parié RADIO-PARIS *• Revue &rHsiLcuituíe p,iy^ue' -7 presse de h. 30, PE­alacommahde , 6 ou lO^­VERSEMEMTS MEMSIIEL A DOMICILE OU A MOTRE CAlSsJ acki TAILLEUR SUR MESURES 165. RUE MESLAY.PARIS ■ PORTE SAINT MARTIN > VÉTEMENTS A TOUS PRIX [Cktiieliíamentuneufietfie Panlníiwf'*e8o||^abUo[Mau|------- - Revue dé C AMP ; Journal parié. 8 heures. PT.T. ; Revue de préssé. h"UTOTrRJVDn?'L'^' : J°drnal ..des . TOUR ; Chromques et informa­13 ondes tions. 16 h J-; 15, LILIÉI : Cours des facuitée catholiques. - 16 h. 30. RADIO-PARIS : Cours d’anglats. 17 heures P.T.T. : Cours de la, Sor­bonne (M Ascoli). — 17 h. 45. TOLÍR : Journal parié. 18 heures, P.T.T. : Causerie scleiitifi­que. - 18 h 15, P.T.T. : Radio-journal. — 18 h 20 RADIO-PARIS : Emission agricole. - 18 h. 40, RADIO-PARIS : Cours d’allemand. — 18 h. 49, PÁRI­SIÉN : Causerie des Assurances sociales. Grande musique 12 heures. STRASBOURG et P.T.T. : J Orchestre. 16 h. 20 VARSOVIE : Récital de vio­lon. — 16 h 30. NATIONAL : Quatuors. 18 h. 30. STRASBOURG : Récital de chant et musique de chambre ; NATIO­NAL ; Musique de chambre ancienne VIENNE : Martha, opéra de Flotow. — 1« h. 57, PÁRISIÉN : Disques d’Alice 18 Raveau (Bi/namcAe SURDITÉ vaincue par NOVAPHüNE seul appareil Invisible sans pile Vendu avec Garantie de remboursement SUPPRESSION CES BOHR IMIN NEMENTS Facillt paiem. ll, rue de Provence, Parls-9» Rens erat Exigez oien NOVA PHON E SAGE-FEMME lr* clasae Consultations 1 A 5 h. Mme FEHRAND i, Rue du Colonel-Moll (Etoile) mWHWHtVHUHHHHHHWV Paris-soir ABONNEMENTS : iü, Faub. Montmartre Téléphone t Taitbou 92 10 á 92-15. Tait bout 99-40 á 99-44. l*es abonnements pai correspondanee (chéques, mandats, mandats-carte) doi- vent étre adressés á Musique légére 7 heures, RADIO-PARIS : Disques. — 7 h. 10. PÁRISIÉN : Dlsques. 8 heures. RADIO-PARIS Dlsques. 10 heures FECAMP ; Concert varié. — 10 h. 30. P.T T , BORDEAUX ; STRAS­BOURG ; Concert varié. 12 heures. RADIO PARIS : Orchéstre Pascal ; PÁRISIÉN : MusíqUé prótes- tante et concert varié s RADIO-TOU­LOUSE : Concert varié ; LUXEM­BOURG ; Orchestre ; NATIONAL Or­gue ; orchestre. - 12 h. 30, TOUR : Concert ; RADIO-L.L. : Concert de Chan­sons : LILLE : Concert. 14 heures P.T.T: : Disques. 15 heures P.T.T. ; Jazz. 16 heures FECAMP ; Dancing. 17 heures. STRASBOURG ; Orchestre. 18 heures. RADIO-TOULOUSE : Con­cert varié. « PARIS-SOIR 25, RUE ROYALE 3 mots 6 mois I a,n 22.75 45.50 91 FESTIVAL CHABRIER ET VINCENT D’INDY Ce festival, exécuté dans la salle de l’ancien Conservatoire de Paris, mardi soir, sera diffusé par Paris-P.T.T. et re­layé par plusieurs postes provinciaux. Nous entendrons d’abord des oeuvres de Vincent d’Indy ; La Sauge fleurie, lé- gende symphonique, puis le Camp de Wallenstein, lre partié d’une trilogie com- posée de 1873 é 1880 pour servir de pre­face á trois poéme? de Schiller Cette „«.mii-, partié (le camp) évoque les -roupés sous les ordrés du premiére soudards _ chef Le Chant de la cloche est plutőt une série de tableaux qu’une piece lyri­que ; nous entendrons le 5' tableau, L’incendie Dans toute l’oeuvre l’influen- ce wagnérienne est assez sensible. Les oeuvres de Chabrlet qui nous se- ront présentées comprendront deux pa­line 4 _______ .uuipieiiunini aeux pj Tj.pu V 1 I ges symphoniques de l’opéra Gwendoline 22.75 45 50 9í.qUj parti les plus belles du compo­siteur Nous entendrons ensuite La suite I pu."toraié qui est l’orchestration de qua­37.75 75.50 151 | tre piéces extraltes elles-mémes 4'”»* 52 75 105 50 211 • Seine, Seine-et-Olse Départements et colonies Pays accordant une ré- duction de 50 % sut les tarifa postaux ............. 1 ure pieces extraltes elles-mémes d’une A utres pays .. .. 52 75 105 50 211 série de six piéces éerites précédemment Joindre la oande d’abonnement á toute ; nour le ni = r,„----r ­d emande <*- —...... d ’^dresse, t —.-e-.e .awieineiii ae cet Frais de ^»,.6,ui.ui u aaresse; 1 träne. I opéra-comique a déjá été souvent donnáé Les envois contre remboursement ne iá la radio. II en est de ffléhíe pour la sont pas admts. Irhapsodie Espana qui fut un des grands* Palemept par chéque ou mandat. succés du compsiteuf. - p si is, Ü1 mn is : HE ne 415 n Mise i NACD Paris 7, ru citatior IENT EUBL1 uis fique. ranos á Nice 34. 2 h. Oéme dis sem. et 217 avenue iviron. hauchst. al de la NS LIQ. R. Jean pt ét.b.) .aud.not I I I a £ r tIE :es ua­la ux. I.

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