Theologia - Hittudományi Folyóirat 8. (1941)

Móra Mihály: A plébánia és a hívek jogi viszonylata

96 INHALTSANGABE — RÉSUME et après «Cumuchensis, Comuchensis, locus de Comuch, vel epp. Montis Caspii, epp. Montium Caspiorum». Dans le mot Cumuchensis ne se cache ni le nom de la ville appelée Comuch, Cumuch, et Kumuch, ni le nom du peuple koumuk, mais bien un adjectif latin, formé erronément d’un ancien mot hongrois, Kumu, au lieu de Cumensis. L’acception du nom Kumu (à présent : Kumi) est : «de l’environ du fleuve Kum (= Kuma)». Se basant sur des recherches faites par Klaproth, l’auteur prouve que l’évêché fut transporté dans le couvent Magyar Ügyek (Madzar Unnék) situé au pied de l’Elbrouz. D’ici les moines étaient à même de pourvoir à leur aise à la direction spirituelle de leurs fidèles habitant soit sur les pâturages alpestres, soit dans les vallées. La distance entre la capitale Magyer et Ügyek ne dépassait guère le tour de 4 ou 5 jours à cheval. Des documents qui nous rgstent ou peut voir que à Ügyek siégeaient 5 ou 6 évêques. Après l’an 1421 des dates ultérieures manquent. La nécessité de transporter l’évêché devint évidente par la campagne de Timour-Leng en 1395—96, au cours de laquelle et la capitale Magyer et la résidence épiscopale furent détruites à fond. Les mongols se mirent après à persécuter cruellement les chrétiens du Caucase. Dans sa bulle datée du 7. janvier 1401 le pape Boniface, pour venir en aide aux obsédés donna ordre au vicaire franciscain de Kaffa (— Capha), fr. Antoine Solphan originaire du Caucase, de prêcher la croisade pour la défense de la chrétienté caucasienne contre les Tartares et de se mettre lui-même à la tête des armées de la guerre sainte. Cependant tous ces effort vinrent en retard : avec la domination politique des Tartares, l’islam ne tarde pas à se répandre et les missionnaires furent rappelés par la Cour Romaine. Au milieu du siècle, dans la cathédrale épiscopale d’Ugyek même les cloches se taisent. Et l’évêché de Kuma n’ap­partient plus qu’au passé. Senatsnotar an der kön. ung. Kurie Dr. Michael v. Móra: Das rechtliche Verhältnis zwischen der Pfarrei und der Pfarrangehörigen. Eine kurze Untersuchung des Begriffes der Pfarrei ist von Interesse, da auch die rechtliche Natur der Kirchengemeinde dadurch schärfer zum Aus­druck kommt. Das Wort Pfarrei (paroecia) hat bekanntlich verschiedene Bedeutungen : Pfarramt, Pfarrpfründe, Pfarrkirche, Pfarrkirchenstiftung, aber auch Pfarrsprengel, sogar Pfarrvolk ; paroecia bedeutet räumlich den Seelsorgebezirk, in persönlicher Beziehung die Gesamtheit der Pfarrangehöri­gen, der aber rechtlich nur eine passive Bedeutung zukommt, da die Träger der juristischen Persönlichkeit nicht die Pfarrkinder sind.

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