Szabó Miklós szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 66-67. (Budapest, 1986)

NAGY, ÁRPÁD MIKLÓS: Un vase a visage de l'époque impériale

11. Vase à visage, Ljubljana, Musée National Museums für Völkerkunde zu Leipzig 15 (1956) 16—30; un très bel exemple du motif du „vase parlant": Lidzbarski, M., Ginzà, Göttingen —Leipzig 1925. 595—596; sur les rapports linguistiques avec le plus de détails: Scheftelowitz, J., Beiträge zur Kunde der Indogermanischen Sprachen 28 (1904) 143—158, qui a pensé à trouvé plus de 50 concordances entre les mots signifiant ces deux notions; il arrive souvent qu'un mot employé auparavant au sens de „récipient" prenne la place de celui qui signifie „tête" (testa-capo, Kopf-Haupt etc.). Ce processus dans les langues néo-latines: Zauner, A., Romanische Forschungen 14 (1903) 355—357; sur l'évolution en allemand, avec grande précision: August, G., „Haupt" und „Kopf". Eine Wortgeschichte bis 1550, Diss. Mainz, Giessen 1970; l'interprétation du point de vue linguistique: Sperber, H., Einführung in die Bedeutungslehre, Bonn — Leipzig 1923. surtout 28—31; Sur le rapport Djadja­djadjaw en égyptien: Erman, A. — Grapow, H., Wörterbuch der aegyptischen Sprache V., Leipzig 1931. 530—532, sur la forme copte v. Crum, W. E., A Coptic Dictionnary, Oxford 1962. 756, 759; il est à mentionner le rite observé dans la civilisation Badari où sous la tête du défunt ou quelquefois à la place de la tête se trouve un vase: Vandier, J., Manuel d'archéologie égyptienne I. 1., Paris 1952. 194—196, cité par Varga, E., A hypokephal kialakulása, thèse de candidature, Budapest 1983. (manuscrit) 29; sur la signification du mot hongrois „koponya" v. Benkő, L., (réd.), A magyar nyelv történeti­etimológiai szótára, Budapest 1970. 565—566.

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