Garas Klára szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 62-63. (Budapest, 1984)

SZ. GY. J.: László Castiglione

LÁSZLÓ CASTIGLIONE (14 novembre 1927 — 2 avril 1984) Il fit partie de la première génération d'après la deuxième guerre mondiale pour qui les possibilités semblaient illimitées et les tâches infinies. Avec sa patience de chercheur et ayant une capacité de systématisation stricte, il s'est vite élevé au-dessus des autres étudiants de sa génération. Avant d'avoir son diplôme, en 1949, il fut déjà nommé collaborateur au Département des Anti­quités dont la collection, quintuplée par la centralisation des collections d'objets provenant de l'Antiquité classique, et les nombreux achats, chargea les colla­borateurs d'un travail important. L. Castiglione accomplit une tâche considérable dans l'établissement de l'inventaire complet des objets antiques et dans l'orga­nisation de la première exposition permanente ainsi que la rédaction de son guide. Il a considéré, dès le premier moment, le travail au musée comme une recherche scientifique. Son intérêt fut bientôt éveillé par la petite plastique égyptienne d'époque ptolémaïque et de l'époque romaine faisant partie de l'ensemble considérable de terres cuites, pas encore publiées, de la collection du musée. En étudiant ces objets, il est arrivé, à la base de son érudition en histoire et par son intérêt aux problèmes soulevés par la détermination histo­rique des objets, à la conviction que les recherches scientifiques valables exigent la connaissance de l'histoire et de la civilisation égyptiennes d'époques grecque et romaine. Il y a consacré, pendant les premières 25 années de sa carrière, la majeure partie de sa force, et il fut occupé par ce sujet jusqu'à la fin de sa vie. Sa première étude publiée sur une plaque de terre cuite'à relief conservée dans la collection de terres cuites du musée (Acta Ant.Hung.l, 1952, pp. 471 — 490) est déjà caractérisée par son intérêt de l'histoire de la religion et de l'art qui l'a bientôt poussé aux interprétations qui, en attirant l'attention de la science internationale, furent généralement très appréciées. Voici dans ce qui suit ses articles les plus importants, notamment ceux concernant les statues d'Aphrodite Anadyomène à Alexandrie (Bulletin 9, 1956, 12—21), l'iconographie des représentations de Sarapis (Bulletin ,12, 1958, 17—39; Acta Arch.Hung. 23, 1971, 229—230; Hommages à M. J. Vermaseren, Leiden, 1978, 208—232), le rôle du kyathos dans le culte égyptien (Acta Ant.Hung. 8, 1960, 387—404), les klinai de Sarapis (Acta Ant.Hung. 9, 1961, 287—303), les problèmes d'histoire de la religion de la statue dTsis Pharia (Bulletin 34—35, 1970, 37—55), la signification d'histoire de la religion des représentations des empreintes de pied (Mélanges K. Michaîowski, Varsovie, 1966, 41—49; Acta Ethnogr.Hung. 17, 1968, 121—137; Acta Ant.Hung. 16, 1968, 187—189; Acta Arch.Hung. 22, 1970, 95—132; Zeitschr. f.ägypt.Sprache 97, 1971, 30—43; Mitt.d.Arch.Inst.d.Ungar.Akad.d.Wiss. 3, 1972, 79—94; Studia Aegyptiaca, Budapest 1, 1974, 75—81) et le Paneïon d'Alexandrie

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