Garas Klára szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 56-57. (Budapest, 1981)

NAGY, ÁRPÁD MIKLÓS: Deux plaques de bronze votives

22. Plaque de bronze votive. Budapest, Musée des Beaux-Arts Malgré le caractère non convaincant de son raisonnement, 6 l'idée de Vasilev, donc l'identification de chacune des pièces composant un groupe n'ayant pas une fonction unie, n'en reste pas moins remarquable. C'est que d'une part, ce peut être une explication possible de la ressemblance présente pour le volume et la représentation des reliefs en bronze et des emblemata en argent (bien qu'on trouve ces mêmes représentations sur des moules d'argile 7 ), et les matrices pour emblemata en argent de l'Empire, nous sont totalement inconnus, de l'autre. 8 fi II est peu probable qu'il soit plus pratique de fabriquer les matrices s'usant vite, en alliage doux qu'en dur; les plaques ne sont pas de forme irrégulière; elles ne sont pas modelées avec moins de soin que certaines pierres d'autel; sur les têtes, Vasilev lui-même dit: ,,. . . les têtes, dans tous les cas, ont été modelées avec beaucoup plus de soin que les corps. (...) Nous devons dire aussi, que sur certains reliefs, en général bien exécutés, y comparis les détails, les têtes sont traitées de manière som­maire"; il manque ce point de vue à partir duquel on puisse distinguer les matrices des objets votifs. 7 S u s t o V, B.: Antike Zentren der Töpferei in Untermösien. Sophie, 1976. pl. 54 ; Dremsizova-Neltschinova, Z. — Tontscheva, G.: Antike Terrakot­ten in Bulgarien. Sophie, 1971. pl. 130—31. 8 Sur les ferrures de coffre voir Buschausen, H.: Die spätrömische Metalls­crinia und frühchristlichen Reliquiare. Vienne, 1971. Aujourd'hui, il est généralement

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