Garas Klára szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 54. (Budapest, 1980)
SZILÁGYI, JÁNOS GYÖRGY: Un style étrusque en bronze
9—10. L'éphèbe de la figure 8 niculum). Beazley 8 et d'après lui, plus en détail, D. K. Hill ont démontré 9 qu'il était plus probable de supposer pour la majorité des exemplaires étrusques l'emploi en fonction de spathé au moyen de laquelle on a fait couler une essence parfumée sur les cheveux. Hill allait peut-être trop loin en prenant l'emploi des épingles applicateurs appartenant aux alabastra pour une invention et spécialité italique, plus précisément étrusque, mais des représentations et des exemplaires conservés sont les documents de ce que des épingles se terminant en figure humaine plastique furent employées en effet à ce but en Etrurie, surtout aux 4 e —3 e siècles. 10 La représentation figurée de leur extrémité supérieure atteste également de toute façon qu'elles appartenaient au domaine des objets cosmétiques féminins. 8 EVP p. 78, 111, 135, 145; JHS 69 (1949) p. 12. 9 Archaeology 18 (1965) p. 187—90. J0 Cf. Szilágyi, J. G.: Bull. Mus. Hongr. Beaux-Arts 29 (1966) p. 16—22.