Szilágyi János György - Kaposy Veronika szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 9. (Budapest, 1956)

CASTIGLIONE, LADISLAS: Deux nouveaux exemplaires de l'Aphrodite d'Alexandrie

6. Torse de l'Aphrodite Anadyomène. Budapest, Musée des Beaux-Arts. Aphrodité Anadyomène-torzó. Budapest, Szépművé­szeti Múzeum. de l'original — avec leur flottement d'environ 20 à 50 cm, prouvent que ces statues n'ont pas été érigées sur des places et édifices publiques et n'ont pas servi des buts représentatifs, mais qu'elles ont été destinées à décorer les maisons ou les jardins de la population urbaine grecque. Aussi la possibilité est-elle indéniable qu'aux statues d'Aphrodite se rattachaient des idées et une pratique religieuses. Or, con­naissant la désaffection des Grecs hellénistiques de la religion classique ainsi que le but des objets d'art, destinés à réjouir les particuliers, on peut affirmer avec assu­rance que les statues d'Aphrodite servaient en premier lieu de décoration. 17 17 Les statues de l'Anadyomène ne comportent à l'époque hellénistique aucune marque d'un mélange avec la religion égyptienne, on peut donc supposer qu'elles furent exécutées purement pour la population grecque. 2 Bulletin 9. 17

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