dr. D. Fehér Zsuzsa - Pásztói Margil szerk.: A Magyar Nemzeti Galéria Közleményei 1. szám (Budapest, 1959)

(I. Viktor Madarász (1830-1917) : Zrínyi el Frangepán dans la prison de Wienerneustadt. 1803. Madarász Viktor (1830-1917): Zrínyi és Frangepán a bécsúj­helyi börtönben. 1803. . Bertalan Székely (1835-1910): Autoportrait. 1800. Székely Bertalan (1835 -1910): Önarckép. 1860. pleinair et qui a été capable de saisir dans des oeuvres incomparables, les caractéristiques de la réalité vues par lui et tranformées à sa propre image. C'est dire qu'il n'a jamais été un peintre qui enregistre sans âme les choses vues, mais bien un artiste créa­teur et transformateur (Fig. 12, 110). Et que dire de notre József Rippl-Rónai? Pour­rait-on nommer un autre artiste étranger qui se fût rallié aussi intimement que lui à la peinture pari­sienne en y apportant sa vigoureuse personnalité et sa puissance créatrice de la forme? Que l'on analyse ses tableaux sombres, noirs même ou ceux qui datent d'une époque dans laquelle sa palette 1 s'est admirablement colorée, en cherchant ses rivaux non pas dans la peinture française mais dans celle des autres nations, on est amené à constater qu'il y a perd-être quelques peintres qui l'égalent sans en trouver un seul qui le dépasserait. (Fig. 13.) On pourrait continuer cette revue de nos maîtres par István Csók, cet artiste très doué que nous avons tort de prendre pour un impressionniste ou pour le disciple de n'importe quel isme, au lieu de jouir pleinement, sans parti pris diffamant, de son coloris sensuel, de sa candeur optimiste. Peut-on rencontrer en Italie ou sur le sol allemand des peintres qui lui ressemblent ? (Fig. 16.)

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