Hajnal István: A Kossuth-emigráció Törökországban, I. kötet (Budapest, 1927)

IRATOK

<lemeurait pas moins la nation la plus amie des peuples et de la liberté; qu'ä ce titre il jugerait peu sage de la passer sous silence et de la blesser ainsi, toutes les fois qu'on ferait appel aux sympathies de 1' Occident. Le colonel Monti et M r Koscielski declarérent adherer a tout ce qui avait été dit et vouloir coopérer chacun dans sa sphere. Le moment était venu oü le gouvernement turc nous mettait en marche de Vidin pour Schoumla. Nous convinmes d'y reprendre ces entretiens et de les amener, Dieu aidant, ä de salutaires resolutions ultérieures. Le General Wysocki, retenu par des devoirs de service, ne put assister ä la reunion. Mais prévenu avant et depuis, par plusieurs de ceux qui y prirent part et par moi-méme, du but de cet entretien et de ce qui y avait été convenu, le General Wysocki déclara y adherer pareillement. q q1 w Zamoyski. 1 49. Szelői, 1849 november 12. Kossuth Andrássynak Stein tábornokról és a török iránt érzett hálájáról. Kovács osztrák kém fordítása. H. Police, Türkei, 1849. 2 Ich schreibe über meinem Knie, darum schlecht. Den dritten gingen wir von Widdin nach unserem neuen Bestimmungsort ab. Ich hoffe, dass wir nicht lange werden dort bleiben müssen. Morgen erreichen wir Tirnawa. Sonntag Schumla. Ich bitte dich, schreibe je eher dorthin über den Stand unserer Angelegenheiten und über unsere Aussichten auf dem politischen Horizont. 1 Bystrzonowski kézirati naplója 1848 okt. 29-ről a következőket jegyzi fel: „Demarche. Chez Kossuth 3 Polonais, 2 Hongrois, 1 Italien. Kossuth propose que ces trois nations agissent ensemble. Parle de la concession pour les Slaves. La Russie est le grand ennemi, les Turcs en sont l'instrument — il faut les épargner en rapport ä la guerre et au Slaves. Que l'Angleterre fait le commencement, mais qu'il ne faut non plus oublier la France. Zamoyski a dit que nous sommes les amis du Prince Czartoryski, mais que les démocrates l'ont dévancé. Monti vaguement, que son emigration est de mérne avis. Bystrz[onowski] parle du quand aux Slaves. Qu'on répéte les mots de Kossuth á Hennigson et écrive en France. Bath[yány] la mérne chose que Kossuth, mais on voit qu'il ne veut pas qu'on en parle avec . Monti contre la France, Kossuth de mérne avis. Hennigson presse . . . argent... imprimé. Kossuth, que l'émigration marche ensemble. Bystrz[onowski]: 2 terrains: Italie et Turquie, sur le premier la France -cede la place a l'Angleterre sur l'autre — ensemble. [?] Bath[yány] qu'on n'a besoin de Perczel. 2 Az osztrák ügynök a török póstaküldönctől vette el a levelet és csak fordítását küldte, Mihanovich konzul útján, Bécsbe.

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