A Veszprém Megyei Múzeumok Közleményei 6. (Veszprém, 1967)
Tóth Sándor: XIII. századi építőműhely Veszprémben
Gyürky (1220—1240) auch weiterhin aufrechterhalten werden; innerhalb dieses Zeitraums soll die Kapelle — auf Grund der Analogie der im Erdgeschoss des Turmes der Kirche von Felsőörs befindlichen Steinbank- und Dienstlösung, die den Einfluss der St. Georg-Kapelle spiegelt •— im Jahrzehnt 1225—1235 entstanden sein (im Kirchenturm von Felsőörs fand vor 1244 eine Kapellenweihe statt; demnach soll der Turm in den Jahren vor dem Tatarenzug — 1241 — erbaut worden sein). Angesichts dieser Daten hat es keinen Sinn nach einem direkten Zusammenhang mit der königlichen Werkstatt von Esztergom zu suchen, da an dem wichtigsten königlichen Bau dieser Periode, der Burg von Óbuda, schon eine viel entwickeltere Werkstatt von einer davon zweifellos verschiedenen Zusammensetzung gearbeitet hat. Die Detaillösungen dieser Werkstatt sind zwar zum Teil mit denen von Veszprém verwandt, im Ganzen genommen aber geben sie ein abweichendes Bild. Ebensowenig kann man konkrete Verknüpfung mit dem Kreise von Ják entdecken, dessen reiche, mit figuralen, pflanzlichen und normannischen Motiven gefüllte Plastik in Veszprém fehlt. Dabei ist aber eine beachtenswerte Tatsache, daß die Wandgliederung des nördlichen Nebenschiffes von Ják, die aus einer dem obenerwähnten plastischen Material vorangehenden Periode stammt, eine Dienst- und Sockellösung aufweist, die auch bei der St. Georg-Kapelle von Veszprém auftaucht. Die nächsten Parallelen könnten vielleicht im Ordensmaterial'der zisterziensischen Frühgotik, namentlich an der Kirche von Bélapátfalva bzw. an den spärlichen Resten ihres zerstörten Kreuzganges entdeckt werden. Das Un chantier de construction à Veszprém au XIII e siècle Un petit groupe de moulures en style roman fleuri, gardées dans la Galerie de monuments de pierre du Musée Bakonyi de Veszprém appellent l'attention par la parfaite identité de leurs chantournages, de leurs proportions, etc. En somme sept pierres entrent en ligne de compte: deux fragments d'arcs doubles trilobés, deux pierres de murage en grès rouge remplissant l'intervalle des extrados des deux arcs, et trois autres pièces dont deux chantournées, ayant servi le soutènement vertical et qui ont les mêmes compartimentages que les arcs. La comparaison des moulures révèle au premier coup d'oeil que ces pièces appartenaient à une (ou des) baies de conjugaison double ou multiple, laquelle baie était encadrée par des éléments verticaux dont les compartimentages étaient identiques avec ceux de l'arc trilobée, tandis que des colonnes en ont fait les divisions médianes. La couleur rouge du remplissage des extrados porte à croire qu'au-dessus de la clef il y avait un panneau polychrome. Le caractère et les conjonctions des moulures révèlent qu'il ne s'agissait pas d'une longue galerie, seulement d' un groupement autonome d'ouvertures de deux, trois, ou de quatre parties au maximum. L'analyse plus détaillée des moulures nous permet de croire que les ouvertures libres (sans dispositions de fermeture) étaient de l'extérieur et de l'intérieur flanquées de supports verticaux saillants qui ont laissé libre sur le fronton du soutènement une bande aussi large que celle que nous voyons sur les pierres de clef arquées. La polychromie et les supports verticaux prouvent que ces ouvertures ont appartenu à un édifice voûté à l'intérieur, et appuyé de l'extérieur par des contreforts, et dont le fronton était polychrome. Donc parmi les configurations spatiales connues au Moyen Age, vu des baies géminée, c' est avant tout à un périodrome ou à un portique que nous pouvons penser. On ne peut pas définir sans conteste le nombre des perties des ouvertures. Bien que la ligne du chantournement des pierres arquées montre une différence qui permettrait deux solutions de partage (à un ou à deux colonnes), et cette dupplastische Material weist jedoch auch hier darauf hin, daß es sich nicht um dieselbe Werkstatt, sondern um parallele Richtungen gemeinsamer Wurzel handelt. Diese Annahme wird auch durch die Datierung von Bélapátfalva unterstützt: der Bau begann mit dem Kloster nach 1232, also war zum Teil gleichzeitig mit der Tätigkeit der Werkstatt von Veszprém im Gange. Nur andeutungsweise seien noch zwei ausländische Parallelen erwähnt. Erstens: Das obenerwähnte charakteristische Eckblattmotiv der St. Georg-Kapelle taucht auch an den Kathedralen von Magdeburg (südliches Querscfciffportal) und Naumburg (Vorkrypta; zweites Langhauspfeilerpaar von Osten) auf. Die in Frage stehenden Bauteile datiert man auf die 1220-er-30er Jahre — eine neue bestätigende Angabe für den Standpunkt der ungarischen Forschung, laut dessen die ungarische Entwicklung mit der von Mitteldeutschland parallel ablief. Zweitens : Die innere Dienstlösung der Nebenapsiden der Dominikanerkirche von Friesach zeigt ebenfalls eine Verwandtschaft mit den entsprechenden Teilen der St. Georg-Kapelle. Sollte die Datierung der Apsiden (nach Donin zwischen 1251—58) richtig sein und die Verwandtschaft auf einer konkreten Verbindung beruhen, so würde eine weitere Angabe dafür zeugen, dass nach dem Tatarenzug, infolge der Auswanderung nicht nur der Werkstatt von Ják, sondern auch von anderen ungarischen Werkstätten, in Österreich ein bedeutender ungarischer Einfluß zur Geltung gekommen sei. Sándor Tóth licité du partage serait imaginable plutôt dans une ouverturer quadripartite, vu les dimesnsions insolitement grandes d'une telle ouverture, il est plus admissible qu'il s'agit des fenêtres géminées ou triplées. En examinant la provenance des pierres, on peut prouver qu'elles viennent de la cathédrale de Veszprém, ou d'un édifice qui se trouvait au nord de cette cathédrale. Cet édifice pourrait être le bâtiment médiéval du chapitre dont parlent des documents écrits. Nous savons également que les réunions du chapitre ont eu lieu plusieurs fois dans la chapelle St. George, mise à jour en 1957, au nord de la cathédrale. Dans la cave de l'édifice en style baroque qui occupe de nos jours le lieu en question, on a pu constater qu'il garde un sous-oeuvre plus ancien, construit au MoyenAge. Au cours de la restauration de l'ancienne église abbatiale et du cloître bénédictins à Tihany, on a retrouvé récemment des pierres qui correspondent exactement par leur proportions et dispositions aux fenêtres jumelées de Veszprém. Ce fait rend d'une part indiscutable que les maîtres du même chantier ont travaillé à Tihany et à Veszprém et d'autre part les débris du socle des colonnes jumelées découverts à Tihany nous ont permis de compléter la reconstruction des fenêtres jumelées de Veszprém avec du fragment de socle qui par ses mesures et formes correspond exactement à ceux trouvés à Tihany. Ces fragments sont remarquables par le fait que leurs feuilles de coin, au bout recourbé et ornées d'entailles sont identiques avec celles de certains socles de la chapelle St. Georges. Nous pouvons dater la chapelle St. Georges — oeuvre la plus importante connue jusqu'ici de ce chantier — en partant de l'église de la prévôté de Felsöörs où la disposition de la banquette et des pilastres du bas de l'oratoire de la tour — bénie avant 1244 — reflète l'influence de la chapelle St. Georges. Etant donné que la tour fut construite selon toute probabilité avant l'invasion des Mongols (1241), nous pouvons dater la construction de la chapelle de la décennie entre 1225 et 1235, et ainsi nous pouvons accepter 191