A Veszprém Megyei Múzeumok Közleményei 4. (Veszprém, 1965)
Verseghy Klára: Adatok a Balatonfelvidék zuzmó flórájához
stark das Substratum, auf welchem sie leben. Der größte Teil der bekannten Arten dieses Gebietes sind Steinbewohner (60%), Krustenbewohner 26%), Erdbewohner (11%) und am wenigsten Moosbewohner (3%). Der mannigfaltige geologische Aufbau des Balaton-Oberlandes ermöglicht die große Zahl der steinbewohnenden Arten. Das an der Oberfläche liegende Gestein besteht aus permischem rotem Sandstein, aus devonischem und sylurischem Gneis, Kalk-Glimmerschiefer, Geysirit und Basalttuf. Aus dem Trias-Zeitalter sind noch Kalkstein und Dolomit zu finden, sowie in Tihany der Pannon-Sand und Ton. Au cours de ces dernières dizaines d'années, la recherche lichénologique de la région du HautBalaton était surtout occasionnelle, et peu méthodique. Seuls, les recueils pratiqués par V. Gyelnik dans la presqu'île de Tihany peuvent être qualifiés de recueils systématiques, ceux des autres chercheurs (voir l'énumération) ne se bornaient qu'à des territoires limités. Nos connaissances sur la littérature de ce domaine sont assez restreintes. Les données de la flore, principalement de celle de Tihany et de Viriustelep, près de Balatonszepezd, ont été communiquées par Szatala (1926—56, Gyelnik (1931—37) et Fóriss (1957). Le but de ma communication est: 1° de publier les données élaborées de la flore de ce territoire d'après la collection de la Section de Botanique du Musée Hongrois d'Histoire Naturelle, d'après ma propre collection et celle d'autres collectionneurs (en les ajoutant aux quelques données déjà publiées. 2° De classer méthodiquement cette matière composée d'environ 370 données, et de la compléter par des connaissances oecologiques. Ö. Szatala et V. Gyelnik décrit de nouvelles espèces et de nouvelles formes de ce territoire. Ce sont: CalopTaca balatonica Szat (1956 p. 276), Diplotomma ambigua f. pruinosum Szat (1956 p. 280,) In der Enumeration geschah die Aufzählung der Arten nach dem System Zahlbruckner's. Nach den Fundortsdaten steht der Name des Sammlers in Klammern, danach folgt der Name des Determinierers. Falls die Angaben in. der Literatur schon erschienen sind, folgen nach dem Namen des Determinierers die literarischen Daten in Klammern. Wenn diese aber nur aus der Literatur bekannt sind, in unserer Sammlung jedoch nicht vorkommen, unterscheide ich sie mit der Bezeichnung („in lit "). Klára Verseghy Evernia prunastri f. arenicola Gyeln. (1932); Parmelia addanubica f. tihanyensis Gyeln. (1931, p. 50) Parmelia glomellifera var. balatonica Gyeln. (1932 p. 413). Après avoir révisé les nouveautés de Gyelnik, il a constaté les faits suivants. 1. Evernia prunastri b. arenicola Gyeln. — Peut être acceptée comme une forme nouvelle, car la thalle est beaucoup plus grande et plus robuste, et la bordure de soredium est beaucoup plus épaisse le long des franges et à leur surface, comme pour l'Eprunastri f. sorediiferm qui lui ressemble. Elle diffère sensiblement de l'espèce à souche et de ses variétés aussi en ce que ces dernières se trouvent sur l'écorce des arbres feuillus, sur les buissons ou sur les troncs d'arbres abattus, tandis que la f. arenicola se trouve sur le grès. 2. Parmelia addanubica f. tihanyensis gyeln. D'après Szatala, elle est analogue à la Parmelia delisei f. tihanyensis (Gyeln.) Szat. (1956). Selon la révision de Haie, la P. addanubica est une bonne espèce et il nomme cet exemplaire comme levtotype P. addanubica f. addanubica. Je suis du même avis que Haie. Gyelnik a bien constaté que cette plante était une forme intermédiaire entre la Parm. delisei et la Parm. pokornyi, donc son nom exact est: P. addubica f. addanubica (Gyeln) Hale (in herb.). 3. Parmelia glomellifera var. balatonica Gyeln. Données relatives à la flore lichénique du haut pays du Balaton 353