Alba Regia. Annales Musei Stephani Regis. – Alba Regia. Az István Király Múzeum Évkönyve. 18. 1977/1978 – Szent István Király Múzeum közleményei: C sorozat (1980)

Irodalom – Besprechungen - Fitz Jenő: B. E. Thomasson, Senatores procuratoresque romani. p. 342–343.

Im Partherfeldzug schildert ihn der Verfasser als einen hervorragenden Organisator. Er lobt Antonius (s.S. 184) wegen der vorzüglichen Organisation der Verpflegung seiner großen (70.000 Mann zählende) Armee. Später gibt er zu, daß die Armee des Antonius — scheinbar mußte die Ernährung ergänzt werden — „Armenien vollständig ausgeplündert, beiihrem Vormarsch holten sich die Römer, was sie brauchten" (s.S. 195). Bereits während der Be­lagerung der Stadt Phraata stellte sich heraus, daß die Verpflegung doch nicht so vorzüglich organisiert wurde, und letzten Endes dem Zusammenbruch beitrug. Anto­nius mußte selbst fühlen, daß er der Aufgabe nicht ge­wachsen war, „seine Nerven versagten" (s. S. 261). „Niemand kann den Eindruck entziehen, daß Antonius als der für den Feldzug Verantwortliche sich bei der Planung und Durchführung des Unternehmens schwere Fehler zuschulden kommen liß" (s.S. 204). Die letzte und große Probe seiner militärischen Eigen­schaft, war die Seeschlacht bei Actium. Die letzte große Seeschlacht des Altertums wurde bereits von namhaften Wissenschaftlern eingehend erörtert, hier möchte ich nur auf einige Momente hinweisen, die m. W. nicht besproc­hen wurden. Die Schlacht wurde auf einer schweren See ausgetragen. Nach einem kurzen Kampf gelang es dem Feind einige Schiffe des Antonius in Brand zusetzen. Das hell lodernde Feuer, der aufsteigende Rauch der brennenden Schiffe störten die Übersicht der militärischen Lage, es hätte nämlich festgestellt werden können, daß der Linke Flügel der Flotte Antonius' erfolgreich kämpfte. Auch wie bei Philippi, auch hier war kein gutes, verlässliches Nachrich­tendient vorhanden. Der Flottenkommandant Kleopatras sah nur die das schwer angegriffene Geschwader Antonius und gab den Kampf auf. Er riet der Königin die eben sich bietende Gelgenheit zu flüchten. Antonius bemerkte die gegen Süden rudernden Schiffe seiner Gsttin. Er verließ sein Flagschiff , eilte in einem kleineren Schiff Kleopátra В. E. THOMASSON, Senatores procuratoresque ro­mani. Göteborg 1975, Editiones Radii, 100 pages L'auteur publie depuis des années la liste des gouver­neurs des provinces romaines sous le titre Laterculi Praesidium, en y ajoutant un soigneux relevé de la litté­rature récente avec son évaluation. C'est en guise d'un dérivé de ce dépouillenent déjà indispensable dans les recherches prosopographiques que ce petit volume a été rédigé. Le dressement des listes des gouverneurs — sur­tout dans les cas contestés — ne peut se passer de l'ana­lyse précise des carrières des différents sénateurs, même si ces détails n'entrent pas dans rénumération concise des données contenues dans Laterculi Praesidium. Ce sont ces analyses que l'auteur résume dans cet oeuvre. L'emploi de ce volume est facilité par le faut qu'il s'adapte à la méthode de la Prosopographia Imperii Romani, et pas conséquent peut être considéré comme un complément de PIE, avec une abondante enumeration de la littérature récente et des opinions changés. Les résultats peu acces­sibles des recherches, le nombre de détails presque inex­tricables — et naturellement les inscriptions et les conclusions récentes — nécessitent de nouveaux complé­ments et de nouvelles modifications. Les remarques sui­vantes concernent uniquement les personnages qui, au cours de leurs carrières, poursuivèrent leur activité aussi en Pannonié. Dans la datation de la carrière de L. Caesennius Sospes il suit les explications de H. G. Pflaum (1953/54, 431— 450). Cependant l'expédition Suebica et Sarmatica ne peut être considérée comma identique avec l'expédition mili­taire contre les sarmates conduite par Hadrien, lorsqu'il était gouverneur de la Pannonié Inféreure, ni avec les nach, holte sie ein und bestieg das Deck des ägypti­schen Flagschiffes. Er ließ seine noch immer tapfer kämpfende Soldaten in stich, er kauerte am Bug des ägyptischen Schiffes, sprach mit niemand ein Wort, nicht einmal mit Kleopátra. So verbrachte er einsam drei Tage. Wie schon im Partherfeldzug, eine Nervenerschöpfung übermannte ihn. In Alexandrien bezcg er ein einsames Haus an der Insel Pharos, empfang niemand, und mied je­dengesellschaftlichen Verkehr.Typische Erscheinungen der Nervenerschöpfung (vulgo Nervenzusammenbruch). Als Feldherr versagte er völlig, nach etlichen Monaten stellte er sich an die Spitze einer Reitertruppe, griff den Feind an, und kämpfte tapfer. Aber er konnte sein Los nicht ändern. Und noch einige, geringfügige Bemmerkungen. Der Verfasse nimmt an, daß Kleopátra als ganz junges Mädchen mit ihrem Vater, Ptolemaios XII. (Auletes) eine Zeitlang in Rom lebte. Diese Behauptung ist noch um­stritten. Aufgrund einer nicht eindeutigen Inschrift ver­muten einige Wissenschaftler, daß Kleopátra einige Jahre — mit ihrem Vater — in Rom verweilte, jedoch unsere Quellen schweigen sich darüber aus. (Dieser Aufenthalt in Rom wäre für die Beurteilung der Rom —Politik der späteren Königin nicht unwesentlich). (s.S. 192). Ich möchte endlich noch auf eine Stelle hinweisen, die für dem Laien (denen das Buch geschrieben ist) nicht ganz klar sein kann. Als Statthalter Makedoniens er­wähnt der Verfasser Q. Hortalus (s.S. 137), einige Seiten später (s.S. 149) Q. Hortensius. Hortalus war ein Cogno­men der Familie der Hortensier, das stimmt allerdings, jedoch dieser Hortensius benützte seinen Beinamen nicht (s. RE s.v. Hortensius 8. F. Münzer). Trotz den Einwänden des Rezensenten ist H. Bengtsons Buch eine interessante und lehreiche Lektüre, die die Kenntnisse über das Römertums in weiten Kreisen verbreiten wird. G. Ürögdi événements de l'année 118 (voir Lőrincz 1975, 344). C'est après la parution du volume de Thomasson que R. S y m e commença ses recherches de la carrière de Sospes (1977, 38—49). Lui aussi est d'avis que l'expédition Suebica et Sarmatica se rapporte à la campagne de Domi­tien en 92, quand Sospes était commandant de la legio XIII Gemina stationnée à Poetovio. Après sa mission en Pannonié, il gourverna la Galatie jusquà' 95 environ. La chute de Domitien, dont il n'était pas seulement parti­san mais aussi parent, mit fin à sa carrière. Le consul suffect en 114 pouvait éventuellement être identique avec lui, ce qui cependant n'est pas évident, comme le pense l'auteur. Le consul pouvait tout aussi bien être le fils du légat de la légion de la Pannonié. L'auteur date le consulat de P. Cluvius Maximus Paulli­nus peu après 138, ce qui correspond à l'avis général résultant des recherches antérieures. Cependant récem­ment Géza Alföldy propose la date vers 143, (1977, 146). Par conséquant ce n'est pas entre 133 et 136 qu'il commanda la legio XIIII Gemina, comme moi je l'avais daté précédemment (1961, 179—180), mais entre 138 et 141. Selon cette datation précédente la carrière de P. Cluvius Maximus Paullinus paraît forcément surchargée. Il est pourtant vraisemblable qu'il fût d'abord préteur et non consul plus tard. Nous avons deux dates se rappor­tant à sa carrière: en 128 le sénat le délègue comme praetorius à la recontre d'Hadrien, de retour de l'Afrique. Selon ce fait il dût atteindre la préture en 127 au plus tard. La seconde donnée est le consulat de son fils du même nom, consulat qui lui à été décerné en 152 (AË, 1971, 183). Ce dernier dût donc naître entre 116 et 119, tandis que la date de naissance de son père peut être estimée entre 94 et 97. Dans ce cas pourtant il avait pu être élevé à la préture déjà en 125 ou 126. 342

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