Alba Regia. Annales Musei Stephani Regis. – Alba Regia. Az István Király Múzeum Évkönyve. 13. 1972 – Szent István Király Múzeum közleményei: C sorozat (1974)

Közlemények – Mitteilungen - Tóth István: Pierres gravées romaines du comitat Fejér dans la lapidaire du Musée d’Eger. XIII, 1972. p. 265–272.

Fig. 2. 4 e ligne: La lettre A n'est pas barrée dans la ligature ANN. 5 e ligne: La lecture de la seconde moitié de la ligne est rendue difficile par l'absence de la ponctuation, par le fait que les lettres peuvent être confondues et, en plus, par une erreur du tailleur. Après les lettres nettement lisibles meriewí^o^í^ imo^nouslisonsles caractères suivants: ORIIBITE. 6 e ligne: Au commencement de la ligne, près de la ligne de rupture, il y a la tige inclinant à droit du signe sépa­ratif, et immédiatement après: TEV. Tenant compte de la place de ce passage dans la légende (après le nom du mort) ainsi que des déformations résultant de l'entasse­ment des caractères, nous aurons les alternatives suivan­tes pour la lecture de la ligne en question : mer(enti) opt(imo) o(r) (to) (sit) tibi te/\_r(ra)~] leu (is) ou mer(entissimo) optor (sic!) (sit) tibi te/[r(ra)~\ leu(is). La permutation des lettres P et R (dans la première variante) et l'emploi d'une forme flexionnelle incorrecte (dans la deuxième) s'expliquent probablement par une erreur du tailleur. (20) (20) Cf., sur les fautes d'écriture se trouvant dans les inscriptions de l'époque des Sévères A. MÓCSY, RE, Suppl. IX, 1962, 767, avec littérature. Le nom du père étant inconnu sous cette forme, il est justifié de le compléter à la forme fréquente de Mode(s)­fo.< 21) 7 — 8 e ligne: A la fin de la 7 e ligne se trouve la mot SGENVEM ou SCENVEM, dont la suite est cassée du commencement de la 8 e ligne. Puisqu'il s'agit ici du cog­nomen de la mère, le mot se laisse peut-être compléter à la forme Scenuern(ae) et se rattacher aux noms illy­riens dérivant de radicales similaires. <22) 9 e ligne: Devant le mot po(suit) c'est l'attribut des parents — pi(entissimis) — qui nous paraît le mieux motivé. Ainsi le texte complet se lit comme suit: D(is) m(ani­bus)jAel(ius) Nigrinus mil(es) leg(ionis) 1 /Ad(iutricis) Se(uerianae) stra(tor) con('sularis) Aur(elio) Vic/tori fratri (21) Cf., CIL, III, Indices s. v. (22) A. MÓCSY, Die Bevölkerung. . . 189.; L. BARKÓCZI, AArchIlung, XVI, 1964, 323; A. MEYEB, Die Spra­che der alten Illyren. Wien, 1957, 312; I. I. RTJSSTI, Illirii. Bucuresti, 1969, 245, 267

Next

/
Oldalképek
Tartalom