Benkő Sámuel: Miskolc város történeti-orvosi helyrajza (Borsodi Kismonográfiák 2. Miskolc, 1976)

XVI. L'encavement des vins, leur amélioration, le dévoilement des falsificateurs XVII. La préparation du vin mousseux (du Champagne) XVIII. Le vin hycopras XIX. De la nature de l'air de Miskolc XX. Pronostic météorologique aux besoins du grand public de l'année 1781. XXII. Le temps de l'année 1782. XXIII. Nous énumérons les divers instruments à l'aide desquels furent observés les vents exposés dans le chapitre sur le temps. Au cours des explications des vents nous ne mentionnons pas ceux qui régnent dans les couches atmosphériques supérieures et chassent les nuages, ou viennent des nuages, seulement ceux qui soufflent dans la ville de Miskolc XXIV. Je fais connaître l'observation qui fut notée par le célèbre Baglivius et que je ne pouvais remarquer à ma volonté malgré les observations d'une année entière XXV. Des périodes de 19 années du temps. Dans une certaine mesure le temps peut être pronostiqué et on peut prédire si ce sera une année infertile ou fertile XXVI. La ville est décorée de privilèges XXVII. Je raconte le sort de la ville et d'autres événements remarquables qui se passèrent avec le temps XXIX. La pathologie pendant l'année 1781, au fond des maladies qui sévirent à Miskolc et dans les villages environnants XXX. Les observations et les consultations enregistrées dans la pratique médicale â Miskolc en 1780—1781. Le nombre des habitants de la ville de Miskolc était en 1780 environ 13 000, le nombre des naissances 593, celui des morts 339. Parmi les nouveau-nés il y avait 310 garçons et 283 filles. Le nombre des mariages était 141. Depuis le seizième siècle la ville était entourée de clôtures, on ne pouvait y entrer que par des portes. Les noms des anciennes portes sont gardés encore aujourd'hui par des noms de lieu: Porte de Gyôr, Porte de Zsolca etc. En 1782, il y avait dans la ville 2400 bâtiments et 1424 caves. Dans le centre de la ville les maisons étaient bâties en pierre, mais aux faubourgs on trouvait beaucoup de bâtiments en bois et couverts de chaume. L'incendie de 1781 a détruit — écrit-il — ,,les maisons bâties en bois et en torchie". D'ailleurs Miskolc fut très fréquemment dévasté par le feu et par l'eau. Benkô écrit au chapitre XXVIII. qu'en 1781 204 maisons, 108 bâtiments d'agricole et 257 caves furent détruits par le feu. Quant aux inondations, dans la seule année de 1778, elles commirent un dégât de 13 156 florins rhénans. Au 18

e siècle Miskolc est une ville d'industrie et de commerce très importante. Pour protéger leur intérêt, les maîtres se groupent en corporations. Dans les villes situées à la rencontre de la Grande Plaine hongroise et des montagnes, ainsi à Miskolc, se forme ou s'installe une couche de commerce importante. L'auteur fait mention en plusieurs pages des moulins à eau bâtis sur les ruisseaux tra-