Levéltári Közlemények, 48–49. (1978)

Levéltári Közlemények, 48–49. (1978) - Koroknai Ákos: A Vasárnapi Munkásképző Bizottság működése és György Aladár szerepe a munkásművelődésben : adalékok a dualizmuskori közművelődés történetéhez / 165–194. o.

194 Koroknai Ákos: A VMB működése és György Aladár szerepe l'activité du Comité de dimanche organisée aux bases territoriales consistait en ce qu'il ne s'attachait ni aux entreprises, ni aux organisations professionnelles et ne pouvait pas ainsi transmettre les éléments de connaissance demandés et nécessaires. A cela s'ajouta que le Comité ne put pas étendre son activité aux zones ouvrières et industrielles de la province. Le programme culturel national envisagé se rétrécit donc seulement aux ouvriers de la capitale. L'accès «humanitaire» du bourgeois cultivé exprima de par son caractère inégal dans le domaine de la formation des ouvriers. Cette méthode d'enseignement fut une manière typiquement capitaliste de résoudre la question, un succédané seulement. La publication durant deux années de la série des Cahiers ouvriers dont les volumes, bien qu'ils fussent écrits dans la langue des ouvriers, furent dépourvus d'actualité quant à leur contenu. Toute l'entreprise fut vouée à l'échec, étant donné qu'on voulut créer une littérature spécifiquement ouvrière. Malgré la faillite de l'action littéraire de la bibliothèque des ouvriers, au temps du dualisme, le Comité de dimanche poursuivit son activité superficielle concernant l'éducation populaire, organisait ses cours de l'après-midi de dimanche dans la capitale et en province. Cependant, ces cours ne furent pas les forums de la classe ouvrière en train de s'organiser. Ce qui mit en lumière le peu de mesures prises dans l'intérêt de la formation des ouvriers, ce fut le congrès de l'éducation libre organisé à Pécs en 1907. Au congrès, on discuta les problèmes «quoi et comment enseigner» et au cours de la discussion, les opinions idéologiques opposées des participants bourgeois social-démocrates, radicaux et conservateurs furent confrontées. En 1918—19, la faillite de la politique culturelle se déclarant vers la classe ouvrière s'exprimait encore plus vigoureusement, et il devint encore plus évident que seules les organisations professionnelles pouvaient être les centres principaux de l'éducation des ouvriers.

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