Hidrológiai Közlöny 1950 (30. évfolyam)
1-2. szám - Kivonatok
Exanien ilu réseau de canaux et analyse des eaux d'égout de Szeged. Par L. Szirmai. d eu r és sc. (Texte hontgrois. figures et taibleaux i>. <$0.) I*. U. C. 628.31 (Szegeti) L'auteur démontre, dans sori étude, l'exámen eomplet (ehimique, physique, bacteriologique et biologique) des' eaux d'égo-ut de Szeged dont les résultats permettront et faciliteiront l'élaboration judieieuse des uouveanx projets aussi bien au point, de vue teehnique qu'éoonomique dans le eadre >dlu plau quinquennal du Gouvernement. En dehórs de eelá, l'éíude peut servir de prócis á uos villes agricoles et industrielles quand 11 s'agit de choisir les procédés d'examen; d'ana'lyse et de prélévement des échantillons .ainsi que d'évailuer les résül tilts an point de vue teehnique et éeonomique. Les eaux industrielles des usines métallurgiques et sidérurgiques de Diósgyőr et le ruisseau Szinva. Par J. Lesenyei, d (" r és sc. techn (Texte hongrois, tableaux p. 38.) XT. D.'C. 628 . 543 : 628 . 31 (Diósgyőr) L'auteur traite des dlivers procédés ayant pour but d'éyurer les eaux rósiduaires contenant phénol d'une part et de eeux permettant de tenir propre les cours d'eau. — récipients des dites eaux usées, et fortement oKargóes des eaux industrielles, d'autre part. II est d'avis que ee sönt surtout les résultats d'analyses des eaux résiduaires et du récipient ainsi que l'éttícle poussée de certaines eirconstanees spéciales qui facilitent la solution du probléme. Pour oe qui est de l'épuration des eaux industrielles, il fant, en premier lieu. diminuer leintenem- en phén'ol en les pulvérisant sur des dépőts de scories, en disposant leur teneur en contaminations fécales moyennant des dégrossisseurs, puis en les conduisant par des déeanteurs, de mérne que des lits bnctériens de recircnlation. Ensuitei on eontinue et termino l'épuralion des eaux en procédant á une décantation ultérieure öu éventuellement en les conduisant par des fiKres á sable. En procédant ainsi et en manoeuvrant judieieusement, dlaiis les usines, les eaux de mor dant, on arrive mérne á une réutilisaí ion d'une partié des eaux industrielles. Les résultats de l'étude rendront d!e bon services. lorsque I'on proeédera á l'élargissement d'une des nos grandes usines, dont la reálisát ion est prévue dans le cadre du plan quinquennal du pays, mais ils fournissent également bien des renseignements pour l'exéeu tion des études analogues. Etudes hidrologiques en vue de l'exéeutioii de travaux liydrauliques. Par /?. de Chat el. (Texte hongrois, figure p. 47.) I'. D. C. 624.152 . 6 : 551.4!! Parmi les procédés dont 1'ingénieur dispose pour surmonter les diífieultés dues á la présence de l'eau aux abords d'un ouvrage á exécu'er, o'est surtout eelui qui comprend l'épuisement de l'eau qui exige cles études hydrologiques, L'épuise ment peut se fairé sóit á ciél ouveK, sóit par rabattement de la nappe aquifére. 7 ti Pour pouvoir déterminer i'importaiice des epuisements, il fant eonnai.re le profil géologique du sous-sol de la fouille á creuser, l'étendue des diverses eouches de terrains et célle de la nappe aquifére ainsi que la situation de la fouille par rapport á ces données, enfin la compacité et la perméabilité des couches aquiféres. A l'encontre des premiers de ces données, qui peuvent e re obtenues par de simples mesurages de longueurs; effeetués sur plaee, la compacité et la perméabilité des couches aquiféres ne peuvent é.ré déterminées que par des opérations de laboratoiré avec échantillons provehants des trendé sonde on par des essais de pompage. La compacité des couches aquiféres n'a guére beaucoup d'importance pour les calculs de débit, parce qu'elle n'esit nécéssaire que pour déterminer la valeur du rayon d'influence ..R" qui ne f.gure aux formules de débit qu'avec son logarithme naturel et qu'en outre sa valeur varié entre des limPes étroites. En eonstatant que ni le mesurage du dia métre effectif cles grains des terrains perméables. ni les essais au laboratoiré ne peuvent donner des résuHa'.e satisfaisants, l'auteur affirme, que le coefficient de perméabilité des terrains aquiféres dóit étre déterminé par essais de pompage. étant donné que le débit á épuiser est proportionnel avec sa valeur et que celle-ci varié entre des limites trés larges. earactérisées par le rapport ! : 100 Les équations servant aux calculs du débii eomprenant comme inconnues la valeur du eoéffi cient de perméabilité .,k" et celle du rayon d'influ cnee ..R", il faut établir au moins deux puits d'obsevation pour pouvoir déterminer eelles-ciDans Ja pratique on obtiendra autant de valeurs • k" et ,.R" conjuguées qu'il y a de rangées de puits d'observation et qu'il y a dates de mesurage. Les valeurs . k" afférentes aux diverses datepeuvent différer entre elles dans la mesure oű l'etendue et partant. la. perméabilité moyenne des couches influencées change par suite de Faccroissement du rayon d'influence. Les diffé renees entre les diverses valuens „R" obtenues reflétent les inégalités de 1'étendue du bassin aquifére. Les valeurs moyennes de ,,k'" obtenues par essais de pompage fom-nissent non pas les coefficient de perméabilité d'un échantillon de terrainayant une composition granuloméírique déterminée: elles caractérisent, rapportées á l'endroii oű le pompage s'effectue, la perméabilité moyenne des masses touehées par les mouvements d'eau provoqués. Ces maleurs correspondent á la réalité dans la mesure oü la formule de Darcy exprime exactement le rappprt entre la vitesse de filtration et le perte de charge: elles serviront de base aux calculs de débit d'autant plus avantagensemenl. qu'elles sont basé-es sur les mémcs hypothéses que eeux-ci. Tia f:erűre donne un exemple pour la détermination graphique de ,-k" et „R", • basée sur une transformation judieieuse des formules de débit: les eourbes de rabattement sont remplacées. sur un réseau á échelle logarithmique. par des lignes droites. L'auteur cite deux exemples, — celui de la tranebíe du Canal Albert á Eygenbilsen et celui d'uue écluse á Siófok, pour illustrer le(livergeances entre les résultats obtenus par essais au laboratoiré et par pompage.