Hidrológiai Közlöny 1949 (29. évfolyam)

9-10. szám - Értekezések - F. PAPP: Les eaux médicinales de la Hongrie

BÜKKSZÉK MISKOLC , HObh SOSHARTY/ÍN nOWL/nm. ' JJJÍLEZŐKFLVE! ffKL/mii I DUNAALMÁS UDUBÖSZÖRMÉNYi ITISAÖRS DEBRECENI B1 nr^rtrw^i A 7. - f' I ESZTERGOM ™ Ag SMOL/min. KARCAG É| ^'"^•B.NAGYBAJOM füzesgyarmat^ímT j SZEGHALOMÍS"'' \ aTL/mln. J MEZÍBERÉNY 5 SZOLNOK CEGLED 22tyfwb" BALATONFÜRED SZARVAS i a 74OTW, TSOLJrnin. KISASSZONYSZÖLŐ aií/ma SZENTES „afoROStUzA SOI/min TÖTKGMLÓS 3701/min XOOOUmin. NAGYATÁO SZEGED HARKÁNY 'MObhr. LÉGENDE: JELMA3VARÁZÓ : o Source, Forrás • Puits. Kút OD < 30'C a 3ű l47°C • >47'C • - 1000L/mln. fia. 2. ábra. Les sowrces minórales et thermales de la Hongrie. Magyarország gyógyforrásai. l'effet de la haute pression atmosphérique (761.9 min). Si le débit des sources thermominérales varié, leur température n'accuse que des différenees du dixiéme de degré centigrade au oours d'une année. Les observations relatives á une période de 12 ans démontrent par contre. dans le cas de la source Árpád, une baissve de 2,1" C, change­ment dű á Fépuisement forcé de la source par une usine industrielle qui provoqua l'infiltration croissant des eaux froides de Carso. Les sources tiédes émergent des diverses roches. P. ex. les sources de Rómaifürdő (Bains romains) de Budapest sourdent des couches sab­lonneuses d'alluvion du Danube. les sources de Tata (20) sortent de couches de sable du pliocéne inférieure, tandis que les sources de Eger (20) jail­lissent des couches ar." ileuses-sablonneuses de l'olygocéne. Les eaux tiédes ne proviennent pas effectivement. dans ces cas, des dites couches mais des niveaux plus profonds. Une partié des eaux se caractérise comme l'eau des calcaires et des dolo­mites triasiques. tandis que l'autre partié pro­vient des précipitations atmosphériquos enfin une partié est formé par la déshydratation des roches se trouvant dans les niveaux trés pro­fonds. Suivant les analyses les eaux des sources tiédes naturelles sont terreuses, bicarbonatées. sulfatées et radioaötives (Voir tableau I.) b. Sources minéralcs tiédes ouvertes djrtificiellement­On a réussi á ouvrir, aux failles íüermales et synclinaux. des sources d'eau tiéde á l'aide des sondages profonds ou des puits creusés. Les puits artésiens d'eau tiéde les plus im­portants sont: Budapest, Rómaifürdő, Ivóforrás (puits creusó) Csillaghegy, 3 puits. Profondeurs: N°I: 109 m, N° II: 137 m, N° III: 150 m, Pünkösdfürdő (27), 533 m. Dunaalmás (22), puits creusés, Esztergom (23), 323 m, Eger (49), 3 puits: 43.4 m, 248 m, 228 m, Görömbölytapolca (51), 8 puits creusés, Szentes (37), 330 m, Abstraction faite de quelques exceptions, les forages ont partout atteint les assices du cal­caira mésozoíque, de sorté que ce sont les eaux émergeant de ces roches qui alimentent en pre­mier lieu les puits susmentionnés. II y a lieu do signaler, cependant, les eaux froides de super­ficie ainsi que les eaux 'thermales en provenance de la déshydratation des roches des niveaux pro­fonds qui participent également á alimenter ces sources. La proportion dans laqueHe les eaux d'origine différente se mélangent peut étre deter­minée d'aprés leur température. La hauteur absolue du niveau actuel d'émer­gence des sources est á Rómaifürdő (á Budapest) de 103 m, á Szentes (37) 101.3 m. II y a lieu de noter qu'á Rómaifürdő on retrouve le travertin indiquant l'endroit de l'émergence d'autrefois á 15 km des sources actuelles et á un niveau su­périeur de 47 m au niveau d'émergence actuel. Tje débit des puits énumérés est trés variés Budapest. Csillaghegy 3.000 l/min. Pünkösdfürdő (27) 1000 Dunaalmás (22) 1,100 Esztergom (23) 3.068 Szentes (37) 780 Sóshartyán (30) 67 Totál, en chiffre rond, 9.015 l/min. En additionant á cela le débit des sources uatu­29H

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