Hidrológiai Közlöny 1949 (29. évfolyam)

5-6. szám - Értekezések - M. PARDÉ: Les facteurs géographiques du bilan annuel de l'écoulement fluvial (Grenoble)

Abaque o § ti s I ^ 0 200 400 600 800 100Ö 12,00 1400 1600 1800 2000 2200 2400 . PrécipUdtioas annue/les P. Evi átlagos csapadékok P Fig. 6. áíbra. indiquant Is Déficit d'écoulement en fonction desPrécipitations et de la Température; d'aprés A. COUTAONE. A lefolyási hiány a csapadék és a hőmérséklet függvényében; COUTAGNE A. szerint. a = p. 12 t +10 (18) On s'explique ainsi le fait précédemment indiqué d'une précipitation annuelle donnant ou non un éooulement fluvial, selon qu'elle se disperse également durant toute l'année, ou se coneentre dans une bréve saison. Mais les calculs se com­pliquent ainsi 'beaucoup; et on ne semble pas en avoir tenté de semiblables pour en déduire les faits relatifs au bilan fluvial. M. De Martonne a obtenu un perfectionne­ment simple en faisant la moyenne de l'indice annuel et de celui du mois le plus sec. 6 Puis, l'excellent hydrologue libanais M. Abd-el-Al a établi des oorrélations pour les pays du Moyen Orient en utilisant la formule initiale de De Martonne- Étant admis que pour a —15 on n'ob­serve plus d'écoulement fluvial, que: P = a (10+D. (19) a étant l'indice, et que le Coefficient d'écoulement: P—D C = '—(20) 15 il égale aussi 1 — — (21) a Le coefficient d'écoulement atteint dono 0.25 pour a = 20, 0.50 pour a = 45. La vérification 6 Nouvelle Carte Mondiale de l'inclice d'aridité. — Ann. de Géographie, oct. déc. 1942, p. 241—250, 1 fig., 1 carte, h. texte. ' De mérne des valenrs identiques pour hú corn­portent des plantes et des types de végétations trés dissemblables, selon les valeurs spóciales des deaix ter­mes: P et T. dans les pays du Moyen Orient eerait trés satis­faisante. Mais, ailleurs. les réeultaits différent­Par exemple, pour la Seine á Paris, a = 36 et cependant le coefficient d'écoulement ne dépasse point 0.33. Puis pour les grandé fleuves sibériens, aux bassins peu arrosés et trés ifroids, l'indice dépasse 40 á 45, les coefficients d'écoulement atteignent des valeurs relativement élevées étant donnée la mediocrité des ohutes d'eau; á savoir 0.40 á 0, 60 et plus, mais avec des déficits deux fois plus faibles. comme on le verra, que oeux de Syrie (370 á 430 pour ees derniers). Pour l'Amazone équatoriale, a égale ou dé­passe 55 avec une moyenne pluviale de l'ordre de 1900 á 2000 mm; le déficit serait au plus de 1300 á 1325 mm, le coefficient d'écoulement voi­sin de 0-30, comme en Syrie pour a plus petit que 25. Ainsi, malgré son indéniable intérét géo­graphique, l'indice d'aridité calculé avec les valeurs annuelles brutes de P et de T n'a pas une signification hydrologique trés précise, 7 dans l'ordre quantitatif, sauf pour certains ensembles régionaux oú les répartitions mensuelles se tessemblent á la fois pour P et pour T. Encore faudrait-il tenir compte des autres facteurs. Et ceux-ci entpécheraient probablement les relations établies avec des indices d'aridité calculés mois par mois de mériter une application trés précise et univereelle, surtout pour le déficit. Mais, on aurait saus doute des valeurs bien moins flottan­tes, en particulier pour les coefficients d'écovte­men t correspondant a des valeurs données de (A súivre.) .135

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