Folia archeologica 3-4.

László Gyula: A népvándorláskori temetők térképezéséről

267 SUR LA CARTOGRAPHIE DES NÉCROPOLES point de vue ethnologique, de celui des coutumes populaires etc., mais aussi il aborde intensément la détermination de la chronologie archéologi­que. On arrive à une chronologie tout à fait différente, si on a constaté que l'enterrement prend de l'extension en guise d'anneau, autour de plusieurs centres éloignés en un certain degré l'un de l'autre, ou si, par contre, on avait enterré continûment, d'un bout de la nécropole à l'autre. Il nous est encore absolument impossible de répondre aujourd'hui aux questions susmen­tionnées, comme à nombre de questions non énumérées non plus, puisqu'on ne s'est nullement occupé — sauf quelques précieuses initiatives individuelles — jusqu'à présent de ces points de vue. Mon avis, sur la mise en marche du travail était qu'il fallait rendre nos plans des nécropoles suggestives, selon les points de vue susdits, le plan, couvert de tombes vides ne nous disant rien. J'ai même fait élaborer un système à cet égard et Mlle. Márta Széli a déjà fait dessiner, à ma sollicitation, ses plans selon ce système. On peut déchiffrer de ces plans les données suivantes: orientation, ensevelissement à cercueil de riche, de pauvre, d'homme, de femme, d'enfant, pillé, non remué, ou tombe de .terre, ensevelissement à cheval etc. On peut aussi faire, selon le besoin, plusieurs plans d'une nécropole et y faire valoir les points de vue différents. On peut avoir la réponse sur beau­coup de questions en projetant les plans dessinés de cette manière, l'un sur l'autre. Cela ouvri­rait p. e. des possibilités tout à fait nouvelles, outre aux données susmentionnées, aussi pour la détermination de l'ensevelissement de famille, pour l'anthropologie et la science de l'hérédité; la répartition des âges, la division sociale etc., les différences de costume de la population pauvre et de la riche, les différences anthropologiques et de coutumes, peuvent donner la réponse aux questions fondamentales de l'ethnologie. Ce système de signes cartographiques est une première tentative, mais j'espère que nos fouill­eurs versés apelleront mon attention sur nombre de tels symptômes, avec la prise en considération desquels on pourra former le système de signes unifié. Il serait désirable de réaliser ce procédé, non seulement dans le cas des fouilles de l'époque de la migration des peuples et des fouilles hon­groises, mais aussi de dessiner, dans la mesure du possible, d'une manière semblable le plan des ensevelissements à squelettes des autres fouilles archéologiques. Kolozsvár Gyula László

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