Prékopa Ágnes (szerk.): Ars Decorativa 29. (Budapest, 2013)

Hilda HORVÁTH: Le pavillon Bigot-Lavirotte. L’histoire de l’acquisition d’un objet d’art

ment la copie des attestions (bordereaux) nécessaires à l’obtention d’une remise sur le coût du transport. Dans le même temps, il promettait l’envoi de quelques pièces de remplacement - mais la lettre ne contient aucun détail s’y référant, (fig. 5) Il est cependant étonnant de constater que ce ne fut que bien plus tard, dans une lettre datée du 8 décembre 1902, que Bigot attira l’attention de Radisics sur le fait que le nom de l’architecte Jules Lavirotte (1864— 1924)21 devait être également mentionné puisqu’il avait pris une part active à la conception du projet. Bigot fabriqua une plaque en céramique sur laquelle figurait le nom de l’artiste, qu’il envoya à Radisics ac­compagnée d’un nouveau catalogue22 illus­tré et dédicacé (exemplaire qui se trouve aujourd’hui encore à la Bibliothèque du Musée des Arts Décoratifs), (fig. 6) La société Bigot avait coutume d’utiliser un papier à lettre de différentes entêtes or­nées de certains de ces éléments architecto­niques qu’il estimait représentatifs de sa créativité. Il s’entourait de nombreux colla­borateurs, artisans d’art et architectes. Telephone ‘2 if-10 6. Lettre d’Alexandre Bigot à Jenő Radisiscs du 8 décembre 1902 77

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