Vízügyi Közlemények, 1969 (51. évfolyam)
4. füzet - Rövidebb közlemények és beszámolók
(51) terraine. La concentration et le caractère chimique de l'eau médicinale varie dans un site aussi bien dans la verticale que dans l'horizontale. Sa plus importante particularité est la très grande teneur en sulphate (10.000 — 55.000 mg/1) et celle en sel de Glauber ou de l'eau purgative naturelle dépendant de la quantité des < ons de sodium respectivement de magnésium et la teneur relativement élevées de chlorides (250— — 2,500 mg/1). La méthode des examens repose sur le fait que sur les territoires contenant les eaux médicinales mentionnées, la résistance éléctrique est beaucoup plus basse que dans les couches d'eau douces du voisinage. Dans la pratique on a mesuré la résistance du sol avec des sondes du type Schlumberger. Dans la plupart des stations des petits changements des résistances verticaux sont caractéristiques ce qui rendait le calcul très simple. La table II donne les caractéristiques les plus importantes de l'occurence des eaux purgatives naturelles examinées. Sur le territoire marqué 1 les contours de deux anomalies de la résistance du sol se dessinent sur les cartes isoohm d'une grandeur significative représentant les résultats de mesurage. Ces deux anomalies marquent le territoire emmagasinant l'eau médicinale de la concentration voulue et ses limites. Ce territoire positif caractérisé par les relations de résistance du sol ainsi obtenue coincide grosso modo avec les gisements d'eau médicinale déjà prospectés et en partie exploités. Mais en plusieurs endroits il s'étend au delà les territoires exploités aujourd'hui, par cela il offre des possibilités nouvelles pour l'exploitation et marque en même temps d'une manière différenciée les limites des sites d'eau médicinale et donne des points d'appui pour jalonner le territoire à protéger. Sur le territoire marqué 2 on pouvait ouvrir des fractions de gisement d'eau médicinale d'une grande concentration avec l'aide des sondages de reconnaissance marqués sur la carte isoohm construit à la base des dates de mesurage. La concentration de l'eau médicinale du gisement nouvellement explorée non seulement atteint dans deux forages la concentration initiale mais elle la dépasse même. Sur le territoire 3 à la base des résultats de mesurages un gisement découpé d'eau médicinale s'est révélé dans une direction allongée de nord-ouest au sud-est de sorte qu'il y a une possibilité d'enfoncer des forages nouveaux de reconnaissance, pour développer le terrain en exploitation existant et de l'élargir c'est-à-dire accroître les ressources en eau médicinale. EXPÉRIENCES DU TRAÇAGE DE L'EAU EN ROCHES KARSTIQUES par H. Sárváry, ingénieur (Voir texte hongrois p. 218) L'étude exposée par l'auteur a été exécuté en Hongrie sur le territoire à l'ouest du Danube dans la région des houillères de Dorog. Une couche protectrice épaisse qui fermerait d'une façon sure l'eau karstique des galeries de houillères ne se trouve pas partout sur le territoire du bassin entre la houillère et la montagne debase dolomie du trias contenant l'eau karstique. L'amincissement de la couche protectrice et son affaiblissement provenant des mouvements tectoniques causent des irruptions d'eau. En vue de l'élaboration des projets des opérations nécessaires pour la fermeture des venues d'eau il faut connaître la direction et la vitesse de l'eau karstique. Comme matière de traçage on a employé la fluorescéine d'une qualité industrielle que l'on a introduite dans le forage pour l'observation du niveau d'eau. Ensuite on a versé pendant 10 jours de l'eau avec un débit de 200 1/minute. Après 49 jours l'eau s'est présenté pour la première fois dans une venue d'eau éloignée de 426 m en ligne droite du point de l'introduction, mais aux points plus éloignés elle était présente encore même après 3 mois dans une concentration plus petite. Dans l'appréciation des données le calcul est parti, en éliminant les facteurs pression-gradient, perte de frottement etc. qui sont usuels dans l'hydraulique de la géometrie de l'engloutissement continuel dans un puits respectivement de l'écoulement dans celui-ci. En prenant comme base la vitesse moyenne calculée en ligne directe et les débits d'eau on peut déterminer les mesures de la zone de plus grande