Vízügyi Közlemények, 1969 (51. évfolyam)

4. füzet - Rövidebb közlemények és beszámolók

(52) •vitesse qui s'est produite dans l'entourage du forage d'adduction et dans celui de la venue d'eau. Se basant sur la répartition de la vitesse on peut déterminer le temps passé dans les zones de grande vitesse, puis par des itérations et plusieurs étapes la vitesse du courant karstique spontané. Comme résultat du calcul on a obtenu dans un entourage de 400 m de la venue d'eau de 27 m 3/minute une vitesse moyenne du courant de 0,22 m/heure. La vitesse relativement petite obtenue montre que — au moins dans le petit entourage de l'essai les lignes tectoniques n'ont pas une influence considérable sur le courant, mais il montre aussi qu'une plus grande diminution du débit de la venue d'eau ne peut s'obtenir que par cimentation des forages descendus dans l'entourage immédiat de la venue d'eau. NOUVEAUX RÉSULTATS DE L'INSTITUT DES TRAVAUX HYDRAULIQUES DE LA RÉPUBLIQUE FÉDÉRAL ALLEMANDE Par H. Stauder, ingénieur (Bundesanstalt für Wasserbau, Karlsruhe) (Voir texte hongrois p. 233) L'Institut Fédéral des Travaux Hydrauliques dans le Ministère des Commu­nications fonctionne à Karlsruhe et Hamburg. A Karlsruhe l'Institut s'occupe avec ses sections du développement général, de travaux de terrassement et de fondation, respectivement des travaux hydrauliques des routes de navigation intérieure, tan­dis que le service à Hamburg s'occupe des rivages de la mer et des ports, tous cela en première ligne pour les besoins de la pratique. Des essais nombreux de la section des travaux hydrauliques l'auteur expose quelques-uns qui sont caractéristiques­en ce qui suit: a ) Dans les essais de la nouvelle voie navigable à construire sur le Rhin entre Bingen et Loch on a formé avec des modèles de bateau automoteurs télécommandés les relations de courant convenant au point de vue de la navigation. b) On a exécuté des examens fondamentaux avec des modèlès à courant d'eau au lit mobile, où des alluvions roulés et suspendus se meuvent. Outre la détermina­tion de l'échelle adéquate des modèles on a développé des méthodes d'essais sur modèles aussi. Comme exemple l'auteur montre les études relatives à la régulari­sation du Rhin à Neuwied ( fig. 2 — 3) et Sonderheim ( fig. 4 — 5). c ) On a exécuté des expériences pour la prise en considération de la force Coriolis dans l'embouchure de rivières. d ) Il signale l'affouillement des chutes d'eau exposant les essais faits près de la chutes d'eau au Kachlet sur le Danube (fig. 6 — 9). Dans l'affouillement l'état d'ex­ploitation joue aussi un rôle important. On a établi un rapport entre la pression et l'affouillement (fig. 9). e ) Aux essais pour la digue Eider ( fig. 10) on a employé plusieurs sortes d'allu­vions à modèle et en rapport avec cela on a réussi à faire des constatations de prin­cipe. f) On a fait des essais concluants avec une écluse ayant une différence de niveau de 38,5 m avec un bassin de retenue que l'on se propose de construire dans un canal de navigation. Les essais exposés montrent tout d'abord que pour les courants d'eau à lit mobile on peut aussi construire des modèles avec succès et que les résultats obtenus sur le modèle sont indispensables pour l'étude des projets et les travaux dans la régularisation des fleuves.

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