Vízügyi Közlemények, 1958 (40. évfolyam)

4. füzet - VII. Kisebb közleménye

(76) ч Les tableaux ci-après énumérés fournissent les données caractéristiques suivantes de ces irrigations : Tableau II la variation des surfaces irriguées par cultures diverses. Tableau III la variation des surfaces irriguées par départements et régions. Tableau VI la répartition resp. le développement des irrigation par secteurs de production. Tableau VII la répartition suivant les régions du pays des irrigations en propriété publique. -* Tableau IX la répartition des surfaces irriguées par modes d'irrigation. Parmi celles-ci c'est la submersion qui fut dans chaque année employée sur la plus grande superficie, ce qui s'explique par la grande étendue des cultures de riz. L'accroissement de la superficie des irrigations par aspersion constitue un fait heureux. Tableau X montre l'étendu des irrigations munies d'installation techniques et celle pouvant être irriguée sans installations, enfin les surfaces irrigables dont l'irrigation n'est pas encore réalisée. Tableau XI les ressources d'eau disponibles pour l'irrigation suivant les données de l'année 1955. Dans la vallée de la Tisza les ouvrages principaux de prise d'eau achevés auraient pu fournir dans la saison de la végétation de l'année 1955 un débit dépassant de 20 m 3/s nets les besoins, mais en beaucoup d'endroits le réseau du transport et de la répartition de l'eau n'était pas encore construit. Les besoins en eau nets des 15 années à venir comparés à la capacité des ouvrages d'approvisionnement achevés en 1955 fournissent le bilan des eaux figurant au tableau XVI. Le réseau des canaux à construire encore doit être prévu pour capacité beaucoup plus grande. Dans la vallée du Danube le débit du fleuve couvre en tous cas les besoins relativement faibles, mais d'après les débits des 50 dernières années une pénurie d'eau peut se produire à certaines époques dans la vallée de la Tisza. Deux méthodes sont employées pour déterminer la quantité de l'eau supp­lémentaire nécessaire. La première solution envisage de fournir la quantité d'eau supplémentaire nécéssaire pour assurer qu'il ne se présente de pénurie d'eau de quel­que importance que tous les cinq ans. Et l'on parle alors d'un approvisionnement en eau d'une sécurité de 80%. L'importance des fournitures d'eau supplémentaire correspondant à ce principe est illustrée au tableau XVII. Comme seconde solution on a déterminé le volume d'eau que l'on aurait dû emmagasiner en 1950, la plus sèche des 50 dernières années, pour couvrir le besoin en eau des cultures de riz, en admettant au maximum des restrictions de fourniture d'eau de 33% à partir du 10 juillet jusqu'au 10 août et de 50% après le 10 août. Dans ces calculs nous n'avons pas tenu compte des besoins en eau des viviers ni de ceux des autres plantes. Le résultat de l'étude est représenté au tableau XVIII. On voit qu'en vue de réaliser le développement présumé il faut assurer la fourni­ture de quantités d'eau supplémentaires par l'emmagasinement dans le lit des rivières, ou avec des bassins de retenue à construire dans la plaine. Les ouvrages d'irrigation existants ont exigé des investissements consi­dérables. Nous avons en effet investi de 1947 à 1957, soit en 11 ans la somme de 1 503,4 millions de forints. La question se pose donc de savoir, quels étaient les résultats économiques des investissements consacrés à l'irrigation et quand les sommes investies se reconstitueront-elles? Les résultats des calculs relatifs à cette question sont les suivants: 1. Postes à l'actif des irrigations exécutées de 1947 à 1957 : Plus-value du revenu des cultures de riz, potagers, terres labourées, prairies, pâturages irrigués et des viviers Ft 2 975,3 millions Taxes d'eau encaissées Ft 259,2 millions Total Ft 3 234,5 millions

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