Vízügyi Közlemények, 1957 (39. évfolyam)

4. füzet - VI. Kisebb közlemények

(8) The inner friction of liquids and gases is related to molecular attraction and heat motion treated in detail in the kinetic heat theory. From considerations in connec­tion with formulas (13) and (14) it appears that the Reynolds number may be inter­preted as the quotient of the "live mass" and of the "retarding mass" impeding motion. From numerical examples in connection with Fig. 8. it appears that if fluid motion were impeded only by inner friction (if turbulence did not develop) in streams and irrigation canals too water would flow at the velocity of an express train. The friction factor A written after formula (15) can be brought into relation with the ratio of the theoretical velocity corresponding to head h and of actual velo­city v. The conclusion of the paper deals with some theoretical problems in connection with the consideration of surface roughness. * This work, finished in the month of the Symposia Darcy, Dijon, September, 1956. commemorating the 100-th anniversary, organized by the International Association of Scientific Hydrology, was also iniended to pay tribute to the memory of the great French hydraulic engineer. The tests of great extension, carefully exe­cuted remain also in the long-range perspective of many tens of years the basic pillars of theoretical and practical research on fluid motion. CALCUL DE LA VITESSE D'ÉCOULEMENT (Abaques pour calculs hydrauliques) par K. Szesztay candidat des sciences techniques (Voir figures et tableaux et tableaux pp. 22—61. du texte hongrois) CDU. 532.54 : 626/628 Dans son article paru récemment [3 ] E. S. Crump a démontré que l'on peut déduire la formule de Chézy de l'équation fondamentale de Colebrook­White, en y opérant quelques simples substitutions. La relation (27) se rapportant au coefficient de vitesse permet de résoudre à l'aide d'une seule formule tous les problèmes prati­ques se posant dans le domaine de la turbulence totale. Pour que l'on puisse se servir de la liaison établie par Crump entre les examens de physique théorique et la pratique technique, il est nécessaire de connaître encore la relation entre le diamètre équivalent des grains de sable e employé dans les études physiques et le coefficient de frottement n d'après Kutter-Ganguillet utilisé dans la pratique des calculs hydrauliques. En théorie il n'est pas possible de déterminer un rapport entre les deux quantités, vu que la valeur л est un coefficient empirique sans définition physique, reflétant les défauts structurels des formules empiriques employées dans la pratique de l'hydraulicien. L'étude des 116 données de mesures réunies dans le tableau I a fourni entre les deux sortes de coefficients de frottement la relation présentée sur la fig. 11. Cette relation statistique offre la possibilité de mettre en valeur, en appliquant la nouvelle formule, les expériences faites avec le coefficient n pendant plus d'un siècle. L'élabo­ration suivant tableau I fournit encore la possibilité de réunir dans un tableau les valeurs s, ce qui rendra définitivement superflu l'emploi des coefficients n. En comparant entre elles et avec la relation théorique déduite par Crump les formules de vitesse employées dans la pratique de l'ingénieur l'on peut constater les insuffisances structurelles des formules empiriques (fig. 4, 5 et 6). La structure de la formule (6) de I. I. Agroskine satisfait aux exigences théoriques dans le domaine de l'écoulement turbulent, mais ne fournit guère de solution satisfaisante pour la mesure du frottement.

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