Vízügyi Közlemények, 1937 (19. évfolyam)

3-4. szám - Szakirodalom

127 sur la fig. 8. M. Morris réunit les deux phases susmentionnées du procédé. Après la répartition des forces horizontales, s'il en existe, parmi les montants, il calcule les moments d'encastrement se produisant sous l'effet de ceux-ci. Puis, il fixe la construction en équilibrant une fois chaque noeud. Ensuite, de ces moments, il calcule les nouvelles forces horizontales qui compromettent l'équilibre du système. Pour rétablir l'équilibre de celui-ci, les nouvelles forces horizontales seront réparties entre les montants et on calcule les nouveaux moments d'encastrement qui se produisent sous leur effet. Ensuite, en passant une fois par tous les noeds de la construction, il les équilibre à l'aide de la répartition des moments. M. Morris réfiète alternativement ces opérations jusqu'à ce que les moments à équilibrer soient épuisés. Les figures 9 à 11 illustrent la solution des différents problèmes en appliquant cette méthode. M. Palotás, en se basant sur la méthode de M. Morris, range en système la solution des portails ouverts. La fig. 12 représente la solution d'un tel portail. Le calcul, au moyen de la répartition des moments, des efforts secondaires se produisant dans les poutres à treillis est démontré sur les fig. 14 et 15. Le calcul est le suivant. En déterminant tout d'abord les déplacements des noeuds, on cal­cule, en partant des déplacements relatifs, les moments d'encastrement des barres considérées comme encastrées à deux extrémités (fig. 13), puis, on équilibre succes­sivement ces moments au moyen de la méthode de la répartition des moments. Le travail dans une construction quelconque, produit par l'effet de la tem­pérature ou par l'affaissement des appuis peut être calculé sur la base d'un principe analogue au calcul des efforts secondaires des poutres à treillis. Le cas est iden­tique, seules les causes des déplacements des noeuds diffèrent. Les exemples relatifs se trouvent sur les fig. 16 et 17. Les lignes d'influence des moments fléchissants peuvent être également calculées d'une fâçon rapide par la méthode de la répartition des moments. Le principe du calcul est le suivant. La construction sera divisée en éléments en­castrés à deux extrémités ; puis, on suppose, dans chaque section d'encastrement, des moments fictifs d'encastrement d'une valeur définie et on équilibre ces derniers un à un. Ce faisant, on obtient le moment dans la section respective sous l'effet de chaque moment pris arbitrairement. Ensuite, on calcule les moments d'en­castrement pour toutes les positions de la charge P — 1 tonne. Enfin, ayant ainsi les moments d'encastrement sous l'effet de «P» les moments d'encastrement arbitrai­res, ainsi que les moments déduits de ces derniers dans la section considérée, on procède au calcul des ordonnées de la ligne d'influence (voir flg. 19 et 20). A la fin de son étude, l'auteur montre, sur un exemple, le calcul des trois fac­teurs mentionnés au début de l'article. Il les calcule, dans le cas d'éléments de construction d'inertie variable au moyen de la méthode dite analogie des colonnes (column analogy).

Next

/
Thumbnails
Contents