Vízügyi Közlemények, 1935 (17. évfolyam)
Kivonatok, mellékletek - Kivonat az 1. számhoz
29 souterraines (diamètre, espacement et profondeur des puits, canalisations, pompes et machines fournissant la force motrice). Les puits filtrants faits en tôle perforé (fig. 12) sont entourés d'une couche circulaire de gravier criblé (fig. 11). Ces puits sont exécutés par forage (fig. 13). Le desidératum le plus important de ce procédé de fondation est la continuité et la sécurité de fonctionnement des appareils, c'est pourquoi on doit avoir tout en double dans l'installation. L'amorçage de la conduite d'aspiration revêt une importance primordiale. D) Le principe du rabattement de la nappe aquifère remonte, en Hongrie, à une date assez ancienne, car M. Kajlinger, dans la construction du chemin de fer souterrain et dans l'établissement de distribution des eaux de Budapest, employa les puits constitués d'anneaux en pierre calcaire poreuse. Sous sa forme actuelle, on l'a employé en Hongrie pour la première fois dans les travaux d'aménagement du bras de Soroksár du Danube (Siemens Bauunion). L'article expose et décrit en détail les travaux de ce genre exécutés jusqu'ici en Hongrie (tableau № 1). 1° Écluse à sas et usine hydroélectrique de Tass, 1926 (vues 1—4). 2° Bassin d'épuration des eaux usées des usines électriques de Budapest, 1927 (vues 5—7, fig. 17—18). 3° Ouvrage de répartition des eaux de la r ivière Tur à Sonkád, 1928/29 (vues 8—11, fig. 19). 4° Barrage déversoir du Canal de la Tur, 1929 (vues 12—15, fig. 20—25). 5° Station de pompage de Makád, 1929 (vue 16, fig. 22). 6° Aqueduc-buse à vannes de Tass, 1931 (vue 17, fig- 13). 7° Bassin d'épuration des eaux usées des Halles Centrales de la Municipalité de Budapest (vue 18, fig. 23). 8° Garage d'autobus de la Municipalité de Budapest, 1929 (fig. 24). E) Ce procédé excellent de fondation (tableau IT.) peut concurrencer les autres méthodes de fondation surtout dans le cas où il s'agit de fouilles portant sur une étendue supérieure à 500 m 2. Il existe, cependant des cas spéciaux, où, au point de vue technique, on ne peut judicieusement faire appel qu'à ce procédé. Ces cas sont : 1° Épuisement de l'eau dans le cas de fouilles de grande étendue ; 2° emploi des constructions économiques en béton armé exigeant un travail compliqué ; 3° constructions dans les sables boulants où il faut éviter en tout cas une variation de la consistance du sol et où le bétonnage sous l'eau ne donne pas les résultats désirés ; 4° exécution des travaux dans des entourages spéciaux, p. e. dans la proximité immédiate d'un bâtiment ancien ou bien si l'on veut arriver à diminuer la pression artésienne.