Vízügyi Közlemények, 1935 (17. évfolyam)

Kivonatok, mellékletek - Kivonat a 4. számhoz

31 rives n'ont pu avoir lieu qu'après la construction de l'écluse de Siófok et la régu­larisation du lit du Sió. Le premier projet d'aménagement fut dressé, vers 1820, par l'ingénieur J. Beszédes. Le premier pas a été de supprimer 4 barrages de moulin établis sur le Sió. Toutefois, l'écoulement, des eaux n'étant pas assuré convena­blement par cette mesure, on construisit, en 1863, une écluse à vannes permettant d'évacuer 17—18 m 3/sec d'eau. Cette solution, comme il s'est avéré par la suite, ne fut non plus satisfaisante vu que le lit du Sió n'était pas en mesure d'évacuer, sans débordements, plus de 6—7 m 3/sec. La régularisation, par suite des années sèches, fut remise, étant donné que dans le cas où les apports sont minimes, l'évapo­ration sur cette grande surface est en elle même (1500 mm par an environ) suffisante pour maintenir le niveau à une hauteur presque constante. En 1891, l'écluse (fig. 6—8, photo 2—3) a été transformée et les années abondant en précipitations atmo­sphériques ont donné de l'actualité à la régularisation du Sió. A mesure que les travaux de dragage avançaient, la pente du Sió augmentait et l'écoulement des eaux s'améliorait (fig. 2). L'augmentation de la pente en aval de l'écluse exigea la consolidation de l'arrière-radier sur une plus ou moins grande échelle (fig. 9, 1902; fig. 10, 1923). Plus tard, en 1927, on consolida les maçonneries de l'écluse au moyen d'injection de ciment (photo 4), ensuite, on répara l'arrière-radier affouillé (photo 6—11). Jusqu'à ce que l'on puisse commencer la construction d'une nouvelle écluse de réglage, après réalisation de l'écluse à sas et de l'usine hydro­électrique indiquées en pointillé sur la figure 13, l'entretien de l'arrière-radier de l'écluse se heurtera à de nombreuses difficultés. Les photographies 12 et 14 re­présentent les dégradations récentes observées en 1932—1934 ; les photographies 15—16 le seuil en béton exécuté en 1934, et les vues 17 et 18 démontrent l'effet des dents construites à titre d'essai. III. SOLUTION DU PROBLEME DE L'AMENAGEMENT DES EAUX AUX ALENTOURS DE SZEGED, EFFET SUR L'ÉTABLISSEMENT DE PISCICULTURE DANS LE LAC FEHÉR. I. PA P de HATOLYKA. (Pages 022—640). On connaît bien les travaux d'endiguement de grande envergure effectués par la Hongrie sur la Grande Plaine Hongroise au cours du dernier siècle, travaux consistant à protéger une superficie de 4 millions d'hectares contre les inondations se répétant presque chaque année. Toutefois, en empêchant, au moyen de digues insubmersibles, les eaux de se répandre, le problème de défense desdites régions contre les crues était loin d'être résolu. Il arrivait bien des fois, dans les années où les précipitations atmo­sphériques étaient abondantes, qu'une partie considérable des dépressions de terrains endigués était couverte par les eaux et on était obligé d'évacuer ces eaux dites «intérieures » au moyen de canaux et de stations de pompage. Dans les parties profondes des champs d'inondation protégés, des dommages également considérables sont occasionnés fréquemment par les eaux dites «ex-

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