Századok – 2000

TANULMÁNYOK - Baráth Magdolna: Pártközi kapcsolatok (MKP-SZK(b)P 1943-1947 1335

1358 BARÁTH MAGDOLNA hívja pártunk vezetőségének figyelmét arra, hogy az utóbbi időben a trockisták különböző országokban aktivizálódnak úgy a kommunista párton belül, mint kívül. Kéri a volt trockistáknak, akik a párton belül dolgoznak, éberebb ellenőr­zését és jelentést a működésükről."8 6 Nem zárható ki, hogy a szovjet politika eddig csak a kommunisták politikai ellenfeleivel szemben alkalmazott erőszakos elemeinek a párton belüli ellenfelekkel szembeni alkalmazásához ez a jelzés adta meg a kiindulást. Magdolna Baráth RELATIONS ENTRE PARTIS (PCH-PCUS) 1943-1947 (Résumé) L'étude essaie de présenter le dévéloppement des relations de SZK(b)P (Parti Communiste de l'Union Soviétique, PCUS) et des communistes hongrois d'après sources d'archives dans la période de l'annulation du Komintern et l'établissement du Bureau d'Information. Bien que des cadres institutionnels du maintien des relations avec les partis différents se soit formé dans le parti sovié­tique immédiatement après l'annulation du Komintern, il fut, pourtant, éphémère même après l'arrivée des comministes hongrois émigrés à l'Union Soviétique. Pendant la guerre, le Comité Ét­ranger et son président, Mátyás Rákosi, ayant la tâche de préparer la rentrée des émigrés, maintenait les relations avec Dimitrov et transmettait les informations et les demandes des communistes qui travaillaient au front ou en proximité du front. Après la rentrée la direction du parti soviétique put avoir des information sur les activités du Parti Communiste Hongrois et l'état des affaires internes par divers canals: directement du parti et de la direction, des représentants du parti hongrois résidant à Moscou, de la mission du Comission de Contrôle Interallié (SZEB), ou de la Direction du Corps Majeur Politique de l'Armée Rouge. Plus tard fut établi une ligne de radio entre les deux partis, de la fin des années 1940 fonctionnait une ligne téléphonique directe. L'auteur constate d'après les sources données que le flux d'informations entre les deux partis fut passablement à sens unique. Le parti soviétique pouvait formé son opinion d'après les matériaux d'informations demandés du parti hongrois et les procès-verbaux des organisation de la direction du partie, envoyés à la direction du parti soviétique, mais la direction du PCH n'était pas tenu au courant de ses remarques, la critique des activités du parti hongrois étaient seulement indirectement transmises à Rákosi. Il semble d'après les sources d'archives que le parti soviétique entretenait les communiste un outil de recevoir des informations plus sûres et exactes de la situation hongroise, tandis que la direction du parti hongrois essayait de profiter des ses relations avec la direction soviétique surtout pour réaliser ses voeux dans le domaine de la politique intérieure. La demande la plus fréquentée dans les lettres de la direction du PCH sollicitait constamment des soviets de laisser rentrer les émigrés qui travaillaient dans les usines et bureaux de l'Union Soviétique de qui le parti souffrant du manque des cadres aurait eu besoin aussi. Rákosi et les autres représentatnt de la direction s'adressaient fréquemment auprès de Dimitrov et Stalin pour régulariser la situation de la minorité hongrois en Tchécoslovaquie, mais la direction soviétique ne voulut pas assumer la tâche de décision jusqu'en 1947. La formation du Bureau d'Information à l'automne de 1947 mit fin à l'autonomie relative des partis communistes d'après-guerre. L'établissement du Kominform fut un élément partiel de la conception soviétique qui portait des efforts à élaborer un groupe homogène et facilement maniable (unanime du point de vue économique, politique et idéologoque) dans le contexte de la guerre froide, contre les menaces de l'Occident. Dans ce sens, les divergeances des opinions par rapport au plan Marshall, et les tension parmi les parties communistes — surtout celles des partie hongrois et tchécoslovaque — se manifestaient pour la direction soviétique en tant que facteur qui rendaient faible l'unité. Le changement de la politique extérieure soviétique, la proclamation de la thèse des deux camps avait des effets sur les relations des partis, la pratique centralisatrice de l'avant-guerre. La parution des critiques plus dures du Bureau des Affaires Étrangères du PCUS sur les activités 86 PIL 274. f. 10/46. Ő. e.

Next

/
Thumbnails
Contents