Századok – 1992
Tanulmányok - Szakály Ferenc: A magyar nemesség a török hódoltságban V–VI/562
a magyar nemesség a török hódoltságban 633 les douanes turques) l'exemption douanière quant aux marchandises produites sur leurs allodiales. Les nobles pouvaient mieux maîtriser les problèmes de droit relatifs au louage et l'hypothèque des pusztas, car par contre des serfs sans parties capables: ils pouvaient inaugurer des procès à cause de leur droit personnel contre leurs adversaires au tribunal du comitat. Ils pouvaient conclure en leur propre nom des contrats, acheter et vendre des immobiliers etc, (Probablement les mêmes raisonnements motivaient les anciens nobles aussi de faire reconnaître leur noblesse, car ils étaient intéressés dans la même sphère économique. Le comitat — en revanche des services faits par eux à lui les enregistrait un à et à coté de les faire payer de l'impôt les protégeait aussi. Malgré tout cela les nouveaux et les anciens nobles des territoires de la conquête turque étaient solidaires avec leurs compagnons d'origine paysanne. Comme chefs de district et membres du conseil en mesure surprésenté entreprenaient le charge lourd de l'administration de la ville ou du village mêmes ils n'étaient pas exemptés des services du comitat munis par les paysans contre les soldats errants des forteresses des confins et des pillards y encombrés. Cela regarde également des „vrais" seigneurs avec des fonds habités, avec des serfs à payer l'impôt. (Un noble de Gyöngyös vers le milieu du siècle achetait une demie-seigneurie en gage avec des pusztas et des propriétés habitées. Les TUrcs — bien que de leur manière lourde et inconséquente — ont réagi à changements (par ex. au début du 17e siècle protestaient contre les anoblissements en masse) mais considéraient les nobles vivant sous leur dominance comme les sujets sans droit soit des serfs. Au fond les propriétaires hongrois vivant hors de la province turque n'estimaient que leurs compagnons sous conquête turque auraient été équivalents à eux. (Dans le cas de ceux étaient libérés sans leur fonds et devaient payer de l'impôt et faire des services au propriétaire de la terre; cette attitude était finalement juste.) Enfin les Hires ne pouvaient pas obtenir que les droits des nobles hongrois vivants sous leur dominance aient été déclarés limités par le législation et que capacité d'ester en justice ait été rognée dans la pratique. Par contre ils ont obtenu que leurs copropriétaires locaux donnent de l'impôt pour eux pour leurs pusztas communs parce qu'ils tirent un profit plus grand et directe de ceux-ci. Les fonctionnaires des châteaux de confins hongrois traitaient „les jurys assujettis" les messagers, les servants dirigeables. La conséquence finale de cette áttitude était qu'après l'expulsion des TUrcs: les nobles vécus sous la dominance turque dans les communautés paysannes retombaient dans le milieu des paysans embourgeoisés des villages et des bourgades d'où ils sont venus.