Századok – 1974

Tanulmányok - Spira György: 1848 nagyhete Pesten 323/II

J 848 NAGYHETE PESTEN 369 pas encore avec les revendications ouvrières autonomes. Mais quelques-uns fin mars et au commencement d'avril sous l'action de la réduction de salaires et du chômage provoquées par la crise économique formulaient déjà les revendications ouvrières parti­culières: les travailleurs de quelques groups d'industrie commencent à presser la réduction de la durée du travail et l'augmentation de salaires. Comme ces revendications ons resté par la plupart insatisfaites, le 13 mars une délégation interprofessionnelle demandait les jeunes de mars qu'ils prennent la direction du mouvement de compagnon et réalisent la liquidation totale de la régime des corporations aussi. Les jeunes de mars refusent cette initiative parce qu'ils sympathisent avec les efforts antiféodals des compagnons mais ils veulent éviter tout les actions lesquels pourraient envenimer les contraires à l'interieur du camp de la révolution. Cependant les maîtres s'efforcent avec un grand zèle et pas infructueusement de convaincre leurs compagnons que la cause principale de l'aggravation du sort d'ouvrier n'est pas le régime des corporations mais la concurrence — d'ailleurs notable — des industriels juifs exclurés des corporations. Mais l'attisage des sentiments antisémites n'apporte pas encore la réconciliation envers les corporations. Le 15 avril les compagnons organisent un meeting de masse monumental où les consignes anticorporations prennent le dessus sur les consignes anti­sémites. Le lendemaine la première grève générale des compagnons de Pest éclate con­venablement la décision de cette réunion de Pâques fleuries. Mais la grève dure seulement un jour. Le gouvernement libéral qui est parvenu au pouvoir par suite de la victoire de la révolution de mars en Hongrie, il est aussi l'ennemi de principe de l'institution féodale des corporations pareillement aux jeunes de mars. Il (le gouvernement) ne veut pas s'aliéner la bourgeoisie de corporation et à cause de cela bien qu'il envisageasse l'élimi­nation des abus principales du régime des corporations, il refuse la pensée de la liquidation immédiate du régime des corporations et il n'essaye pas étouffer le mouvement des compagnons mais il tente les mettre au service de lui-même. Le 16 mars parmi les gré­vistes un professeur d'école industrielle, Károly Glembay est présent (il agit an secret par la délégation du ministre de l'agriculture, de l'affaire industrielle et du commerce Gábor Klauzál) et il développe que les compagnons pourraient atteindre leur but sans la débrayage et la liquidation des corporations s'ils portaient devant le gouvernement leur demande (séparément les différents groupes d'industrie) et ils en demandaient pas la liquidation des corporations mais seulement qu'à l'avenir les personnes impartiales jugent quant à la question de l'acquisition du droit de maîtrise. Les compagnons qui étaient laissés seuls par les jeunes de mars avaient le désir le plus cher l'acquisition du droit de maîtrise et à cause de cela ils s'étaient rendu à ces arguments. Naturellement les maîtres trouvaient excessives les propositions de Glembay aussi et pour cela les tentatives dont le but provoquer la chute du mouvement des com­pagnons se continuaient pendant les jours suivants. Par exemple le 19 avril un avocat marron de Pest organise un meeting de masse plus récent sous la consigne de la modération des loyers ou les consignes antisémites de nouveau résonnent aussi. Après quand les participants de la réunion se dirigent devant l'hôtel de ville un accident par les faites se réalise entre eux et les gardes nationaux qui sont en partie juifs. Cet incident s'élargit peu après une bagarre générale antisémite qui entraine les masses ouvrières notables aussi. Le gouvernement peu mettre un terme à la bagarre seulement le lendemaine d'un côté avec l'alignement des forces policières et la limitation du droit de réunion, d'autre côté avec l'exécution d'une partie des revendications antisémites (par exemple avec l'exécution de la revendication du désarmement des gardes nationaux juifs). Le gouvernement se voit acculé à prendre les mesures à contre coeur pourtant en définitive il sort de la série d'évenement reprenant ses forces. Après la mise en vigueur de ces mesures sevères il ne reste d'autre possibilité pour les meilleurs et les plus com­batifs des ouvriers qui ne sont pas embarassé dans les actions antisémites que l'arme du pétitionnement et par la ils concèdent au gouvernement à pleine la régulation de leur situation. Mais les mesures gouvernementales les plus récents qui aboutissent à l'apaise­ment du mouvement d'ouvriers stimulent les bourgeois des corporations aussi qu'ils remettent leur sort entre les mains du gouvernement puisqu'on les convainc qu'ils peuvent attendre la protection de leurs intérêts contre les revendications ouvrières et par cela l'occasion se présente pour le gouvernement commencer à réformer le régime des corpo­rations selon sa propre conception. 4 Századok 1974/2.

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