Theologia - Hittudományi Folyóirat 6. (1939)

Zimándi Pius: Pázmány Péter a társadalmi kérdésről

288 INHALTSANGABE — RÉSUMÉ nisaient près du fleuve Kuma, appelés «Fratres Peregrinantes», ils ont trouvé les Hongrois nestorians en Cummageria. Ce nom ne signifie pas une ville, mais la Hongrie sur le Kuma. Cette communication cite toute une série de bulles papales dans les traces de l’exploration de l’auteur, dans laquelle il est question des anciens major Ungaria-Hongrois. Il prouve que les figures de Cumma­geria, Majeria, Maieria (et les autres) sont pareils aux notions des Kumamenti- Hongrois. Des anciens monastères il appert qu’il y avait en Cummageria deux ordres du Saint François «monastère immobile». L’un «Mager-Madzar, l’autre Ugek-Ügyek dans la ville («szentes»). Il prouve encore que dans les bulles du pape Urbain ( 1369—70), qu’en conséquence, cette terre hongroise est mentionnée, «Scytharum terra». Une partie de l’acte exploré atteste qu’il s’agit de la nomination de l’évêque cummagerien. Ils sont en cohérence intime avec l’activité du prince Jeretány (environ 1329) et avec le voyage du nonce papale, l’évêque Samarkand Thomas Mancasole (v. I. corn.) parce que ces prédécesseurs con­duisaient l’organisation de l’évêque cummagerien. La Hongrie de Cummageria est identique avec cette Hongrie, dont Constantin le Porphyrogénète a écrit (De admin, imp. 38' chapitre) qu’au temps de l’assaut besenyő en 889, ils s’éloignèrent dans ce pays de Perse en Orient aux environ de Meotis, mais la science d’aujourd’hui croit leur trace perdue. Pius Zimdndi: Peter Pázmány über die sozialen Fragen. Es wäre ein Anakronismus,spräche man im XVlI.Jahrhundeét vom Sozialismus im heutigen Sinne. Höchstens könnte hier von einem religiös-ethischen Humanismus die Rede sein. Das gilt auch vom Kardinal Fürstprimas von Ungarn und Führer der Gegenreformation Peter Pázmány. Das Verhältnis zwischen Arbeitgeber und Arbeitnehmer wird bei ihm gewertet wie bei keinem anderen Schrifts­teller seiner Zeit, auch im Auslande bei wenigen. Ganz auffallend ist es, daß er schon im Jahre 1632 den Gedanken eines europäischen Völkerbundes aufwirft, und zwar vor Ferdinand dem Il-ten und auch vor dem Papste, denn so hoffte er das durch das Übergewicht der österreichischen und spanischen Königsfamilien gefährdete Gleichgewicht Europas wieder sicher zu stellen. Auch für die nazionalen Minderheiten — Slowaken — trug er Sorge, indem er im Gottesdienste für Beibehaltung ihrer Muttersprache eintrat.

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