Teológia - Hittudományi Folyóirat 4. (1970)

1970 / 2. szám - INHALTSÜBERSICHT, RÉSUMÉ

eine Schwierigkeit, die schon von manchen empfunden wurde, dass nähmlich Theologie und Verkündingung einige Begriffe noch immer im Sinne des alten Weltbildes und einer über­holten naturwissenschaftlichen Auffassung gebraucht werden. Eben deshalb kann dieses Ver­fahren den heutigen Menschen nicht mehr ansprechen. Als Beispiele werden Probleme von Schöpfung und Evolution, der Tod und die Auferstehung, sodann die Willensfreiheit, und die Frage des Substanzbegriffes angeführt. Es wird auch die Frage aufgeworfen, ob man überhaupt über die Unveränderlichkeit einer Lehre sprechen dürfe. - Verfasser (= Gál) antwortet im gegebenen Fall, dass er die theologischen und die naturwissenschaftlichen Methoden konfron­tiert, sodann der Reihe naoh die erwähnten Begriffe behandelt und den Nachweis erbringt, dass die Theologie von heute die ausreichenden Lösungen gefunden hat, wobei zu bemerken ist, dass diese Erklärungen noch nicht voll und ganz in die alltägliche Lehre gelangten. Die Erweiterung von Naturwissenschaft und Philosophie helfen der Theologie die Offenbarung tiefer auslegen zu können. — Die Unveränderlichkeit der Lehre ist jedoch auch gegeben und zwar dadurch, dass die Theologie die Offenbarung nicht aufgrund freier Forschung, sondern vermittels des kirchlichen Lehramtes auslegt, welches im Besitz der göttlichen Zusicherung betreffs Erhaltung und Verkündigung der Wahrheit besitzt. DURCHBLICKE, (nr.) Von Exegese zum Kerygma. Es wird auf gezeigt, wie die Zeit­gemässe Exegese in der heutigen Homiletik zu verwerten sei, nach den Arbeiten von F. Kamphaus, R. Schnackenburg, G. Ebeling. MEDITATION. Árpád Nagy, Zur Verteidigung des Menschen. FORUM. Bemerkungen zum Aufsatz von Domokos P. P. - Anselm Bence, Religionsunter­richt und Erziehung. REVUE. András Szennay, Häretiker oder Pioniere? - Benno Mariházi, Zentennar des I. Vatikanischen Konzils. - József Gallai, Die Frohbotschaft von Isolotto - Pál Péteri, Pasto­rale Gedanken über Sünde und Gnade. - Béla Csanád, Beiträge zur Soziologie der Messe. - Sándor Szapesdy, Bemerkungen zum Ordo Baptismi Parvulorum. THEOLOGISCHE NOTIZEN. RÉSUMÉ BRUNO TARNAY: Le miracle est il un signe divin? Il’y a vingt ans qu’ont eu lieu les quatre guérisons dönt le caractére insolite est bien accentué par Particle. L’auteur rappelle á propos des signes divins les métamorphoses des points de vue de l’apologétique. En parlant des „signes”, il faut qu’on tienne devant soi un Systeme de référence, en fonction duquel se posent le sens et les citiéres qui permettent de considérer les événements d’une certaine maniére. Pour une apologétique á dimension unique, c’était le déterminisme suppose des lois de la na­ture. En consequence, les signes divins sont dófinis, - assez imprudemment — avant tout, comme autant de „violation” de ces lois. - Dans 1’atmosphcre spirituelle du personnalisme se développe une conception plus équilibrée, pour laquelle l’intériorité du Sujet libre constitue „Pabsolu” de référence. Depuis quelques années, on peut percevoir une tendance synthétisante, élargissant les points de vue partiels de la nature en soi ou bien ceux de l’originalité de l’hu- main. L’accent est mis énergiquement sur la nécessité d’une espérance, icomme fondement réel et compréhensible pour tous, comme un „absolu”, indispensable pour l’interprétation des événements qui signifient par leur structure interne le renouveau total du monde. Un milieu entiérement engage pour la fői, en mérne temps qu’ouvert aux exigences de l’historie et de la société, en continuité parfaite avec l’Évangile du Royaume, ne posséde done nullement moins de poids qu’un esprit hautement scientifique et correct, concernant la constatation des guérisons. FERENC TOMKA: Moderntité ou modernisme? L’article parle de la modernité. La condi­tion fondamentale en est que le prétre - le pere spirituel - soit expert dans son propre do­maine. (Le point de vue qui propose de compenser par une occupation profane la perte de fonctions sociales du prétre n’est pas acceptable.) Une certaine attitude critique est nécessaire pour l’autodidaxie théologique. Elle est nécessaire á l’égard des exagérations aussi bien qu’á célúi des lacunes. En mérne temps, il faut de la patience pour l’exercice du sacerdoce: il faut renouveler le christianisme en se basant sur les données réformées intérieurement, sans rupture. TAMÁS SZOMOR: L’église dans 1’É.criture Sainte et dans l’histoire de l’Eglise. On a déjá souvent éerit sur l’église mais l’explication a été éronnée des l’énumération de ses diverses parties. L’auteur démontre quelle était la notion du lieu saint dans l’Ancien Testament, puis il explique quelle était la conception du Christ: L’église est la Maison de son Pere. L’église 127

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