Szabó Miklós szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 66-67. (Budapest, 1986)

SZILÁGYI, JÁNOS GYÖRGY: Kallikles a Budapest

6. Détail de l'amphore à fig. 1 en considération un autre motif aussi, notamment les formes de vases. L'atta­chement traditionnel des habitants de Gela aux lécythes s'explique de toute vraisemblance par leurs rites funéraires. 38 A Nola, pour des raisons dont l'ex­plication ne nous est pas encore connue, les amphores nommées d'après la ville furent préférées. Le Peintre de Dresde et les autres peintres mentionnés ci­dessus s'occupèrent surtout de la décoration de ces deux formes de vases. La spécialisation de certains ateliers et/ou des peintres dans la décoration d'une seule ou de quelques formes de vases fut caractéristique de la céramique athé­nienne et jusqu'à un certain point de l'étrusque aussi, ce qui devait dans ce cas plus ou moins déterminer, non seulement positivement, mais négativement aussi, la direction de l'exportation, parce qu'il est bien connu qu'à Spina et dans sa zone d'influence culturelle la forme favorie de l'importation de vases fut le cratère, tandis que l'amphore de Nola et le lécythe furent à peine recherchés. 39 38 La présence des lécythes dans les sépultures grecques d'époque archaïque tar­dive et de haute époque classique en Sicile est tout à fait habituel. Cf. Pelagatti, P. — Vallet, G., in La Sicilia antica (ci-dessus n. 36), p. 380 („addirittura un fenomeno di moda"). 39 Beazley, op. cit. (ci-dessus n. 24) p. 49—50. Les exigences différentes concernant les formes de vases athéniennes de diverses régions importatrices sont illustrées par les tableaux de Boardman, op. cit. (ci-dessus n. 24) p. 38—39.

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