Garas Klára szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 60-61. (Budapest, 1983)

NYERGES, ÉVA: Contribution a l'oeuvre de Fabrizio Santafede

61. Fabrizio Santafede: Détail. Budapest, Musée des Beaux-Arts une lance. Entre le martyr et le personnage revêtu d'une cuirasse, un peu plus loin, au fond, on voit le contour d'une tête à peine visible, tournée vers le ciel. Du côté droit du tableau, à la hauteur de la main gauche du diacre, se dégagent une tête tournée vers l'extérieur et une tête vue de profil. 5 Je ne pense pas que l'attribution antérieure qui donne la peinture à Murillo? ou à Pablo Legot, soit acceptable. 6 En comparant la représentation du martyr Saint Etienne avec la plus connue des oeuvres signées de Legot, le Saint Jérôme conservé dans la cathédrale de Seville, il faut constater que ces deux tableaux re­lativement proches l'un de l'autre en ce qui concerne les proportions et la compo­sition, chacun étant représentation à corps entier d'un saint agenouillé, ne sont pas du même style pictural et ne peuvent pas être rattachés à la main du même 5 Le tableau fut de toute vraisemblance fixé sur une nouvelle toile au XIX e siècle, la toile primitive de contexture grossière peut être étudiée dans les manques de la surface qui se situent dans le sens de la longueur. e Mayer, A. L. : Die Sevillaner Malerschule. Leipzig, 1911. p. 131. Idem: Murillo, Stuttgart, 1913, 264. (mentionné entre les attributions doubenses).

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