Garas Klára szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 56-57. (Budapest, 1981)
LÁSZLÓ, PÉTER: Statue de Ptahankh au Musée des Beaux-Arts
D'après le texte, Ptahankh fut le chef des chanteurs du temple de Ptah 10 et le serviteur du grand-prêtre memphite Ptahmès. 11 Bien que le nom Ptahankh ainsi que le nom Ptahmès aient été bien fréquents sous la XVIII e Dynastie, d'après les titres et d'autres indications, trois autres monuments peuvent être attribués à cette personne. 1) Statue de granite noir. Le personnage agenouillé tient devant lui une tasse. La statue fut conservée dans une collection particulière à Vienne où elle fut étudiée en 1886 par E. von Bergmann qui la publia. 12 2) Stèle, Florence no 2537. Publiée par Schiaparelli en 1887 sous le numéro 1571. 13 3) Statue-bloc en calcaire au Musée Kestner de Hanovre, no 2946/4. Le personnage tient devant lui une stèle. Publiée par M. Cramer en 1936. 14 Sur ces monuments, Ptanakh porte presque les mêmes titres: , Df D «f e^tf suliin. 10 WB. IV, p. 479,4; cf. Faulkner, R. O.: A Concise Dictionary of Middle Egyptian. Oxford, 1964. p. 266; Gardiner, A. H.: Onomastica I. Oxford, 1947. p. 95; Black mann, A. M.: Position of women in the egyptian hierarchy. JEA 7 (1921) pp. 8,9, 15—16. 11 WB. I. p. 292, 1—6; WB. I. p. 388, 2—10, Faulkner, R. O.: op. cit. pp. 58 et 73. Gardiner, A H.: op. cit. I. p. 43. Pour sdm-cs cf; WB. IV. pp. 389—390; Faulkner, R. O.: op. cit. p. 259; Gardiner, A. H. : op. cit. p. 96; M a s p e r o, G.: Rapport sur une Mission en Italie. Ree. Trav. II. pp. 159—199 et III. pp. 103—112; B o r e u x, Ch.: On two statuettes in the Louvre Museum. JEA 5 (1921) pp. 113—120; Otto, E. : Topographie des thebanischen Gaues. Berlin, 1952. pp. 49—50; H e 1 c k, W. : Matériáién zur Wirtschaftsgeschichte des Neuen Reiches. Wiesbaden, 1961. pp. 356; P e e t, T. E. : The great tomb-robberies of the Twentieth Egyptian Dynasty. Oxford, 1930. I. Text, pp. 139, 145, 147; B o g o s 1 o v s k i, E. S.: Die Wortverbindung sdmw cs in der ägyptischen Sprache während der 18. Dynastie. ZÄS 101 (1974) pp. 81—89. II n'est pas exclu que wb3 (wdpw) et sdmc s se soient substitué ayant un sens pareil ou identique. 12 Bergmann, E. von: Inschriftliche Denkmäler der Sammlung ägyptischer Altertümer des söterreichischen Kaiserhauses. Ree. Trav. 7 (1886) pp. 195—196; La statue fut dans la propriété de „Herr Heckscher Vertreter der Ausländischen Versicherungsgesellschaft". Dans une brève note, H. Ranke remarque, en 1932, qu'il n'a pas réuissi à retrouver la pièce, malgré ses efforts (Ranke, H.: Istar als Heilgöttin in Ägypten, in: Studies presented to F. LI. Griffith. Éd. by. S. R. K. G 1 a n v i 11 e. London, 1932. p. 413, n. 4). Malgré l'aide bienveillante du Dr. Helmuth Satzinger, Directeur de la Collection égyptienne du Kunsthistorisches Museum de Vienne, je n'ai pas réussi à retrouver la statue. Je tiens à le remercier de son aide précieuse. La monument a été étudié par plusieurs chercheurs qui l'ont mentionné, à tort, comme „Grabstein". P.ex. : M a d s e n, H.: Zwei Inschriften in Kopenhagen. ZÄS 41. (1904) p. 115; Badawi, A.: Memphis. Cairo, 1948. p. 31; S t a d e 1 m a n n, R. : Syrisch — palästinische Gottheiten in Ägypten. Leiden, 1967. p. 108, il parle de „Votivstele" bien que cette erreur fût déjà corrigée par H. Ranke, op. cit. "Schiaparelli, E. : Cat. Museo Archeologico di Firenze, Antichitá Egizie, Parte prima. Roma, 1887. n° 1571 (2537), pp. 295—297. 14 Cramer, M.: Ägyptische Denkmäler im Kestner-Museum zu Hannover. ZÄS 72 (1936) pp. 91—92.