Garas Klára szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 53. (Budapest, 1979)
SZILÁGYI, JEAN GEORGES: ??ATYP
18. L'extérieur signé du moule de la figure 16. — tout au moins dans la deuxième moitié du IV e siècle — fut Canosa 6 où furent produits, de toute vraisemblance, par exemple les vases du Groupe des canthares" parmi lesquels se trouvent également des rhyta (Hoffmann, n° 210). Mais le rôle important de Tarente joué dans la civilisation apulienne du IV e siècle rend vraisemblable l'origine tarentine de la majorité des rhyta et selon nos connaissances actuelles il ne faut pas changer la dénomination conventionnelle qui n'est pas ambiguë d'ailleurs. La matrice de Budapest fournit quelques données intéressantes à la technique de la fabrication des rhyta à tête animalière. Le bout de la corne de bélier recourbé fortement en avant et l'oreille sont tirés du moule séparé, ou bien — qui est encore plus vraisemblable — modelés à main et ajoutés postérieurement à la tête moulée. 8 Mais les rainures de la corne, les mèches et certaines rides du nez devaient être marquées dans le moule, 11 et au ü Cf. T r e n d a 11, A. D. : VIE II, p. 105 et dernièrement: South Italian Vase Painting. Londres, British Museum, 1976-'. p. 21. Sur la question de l'existence de l'atelier de Ruvo, d'une position prudemment positive, C h i e c o Bianchi Martini, A. M.: EAA VI (1965) p. 1039. 7 Trendall — Cambitoglu — Oliver: Apulian Red Figure Vase Painters of the Ornate Style (manuscrit), 1969, p. 348; S z i 1 á g y i, J. G. : Bull. Mus. Hongr. B. —A. 39 (1972) p. 18 et note 35. 8 Cf. H o f f m a n n, H.: Attic Red-Figured Rhyta. Mayence, 1962. p. 3. 9 Cf. Blümel, C. : Arch. Anz. 1939, p. 307; Neutsch, B.: Studien zur vortanagräisch-attischen Koroplastik. Berlin, 1952. p. 6—7; N i c h o 11 s, R. V.: BSA 47 (1952) p. 222.