Radocsay Dénes - Gerevich Lászlóné szerk.: A Szépművészeti Múzeum közleményei 39. (Budapest, 1972)

SZILÁGYI, JEAN-GEORGES: Deux canthares apuliens

7. L'autre face du canthare visible sur liíí. 6 dernment le même rôle que la tête de déesse sur le premier vase. Cela signifie en même temps que sur tous deux canthares on doit considérer les faces A et B comme étant en rapport l'une avec l'autre, tout comme dans maints autres cas. Les deux vases ne sont pas appropriés à préciser le problème général de l'inter­prétation de leurs représentations, fréquentes dans la peinture de vases de l'Italie Méridionale du IV e siècle. Bien plus d'attention méritent par contre les questions qui concernent spécialement les deux vases. La première question est d'ordre technique. Les rehauts blancs et jaunes sur la tète de déesse du premier vase sont pour la plupart effacés, ce qui a révélé que sous les rehauts le peintre a tracé avec des lignes en relief les contours de tout le visage, du cou et des épaules, ainsi que des deux yeux, du nez, de la bouche et du menton. Les lignes peintes en jaune sur la peinture blanche, qui a caché les lignes en reliefs, ne suivent pas précisément le dessin original noir. Ce fait n'a, en général, pas une plus grande importance que les différences habituelles entre l'esquisse et le tableau exécuté. Or, sur un point la modification de la conception primitive est frappante: notamment sur l'oeil gauche de la femme. Sur les visages vus de trois quarts on avait d'habitude dessiné soit tous les deux yeux vus de face, soit seule­ment un oeil, et sur l'autre on rapprochait du moins les arcs qui marquaient les I I

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