Palla Ákos szerk.: Az Országos Orvostörténeti Könyvtár közleményei 8-9. (Budapest, 1958)

Prof. Melly József: Fodor József és Markusovszky Lajos

ungarische Fachmänner es zuwege brachten, einander jederzeit liebevolles Verständnis entgegenzubringen, ihr Vorrücken gegen­seitig mit der eigenen Arbeit zu stützen, dies aber solcherart, dass sie bei ihrem persönlichen Aufstieg stets das Interesse der Nation im Auge behielten. Ihre glänzende Lebensbahn, an F]rfolgen und auch an Ehrenbezeigungen reich, und die Rolle, die beide in der Entwick­lungsgeschichte des ungarischen Gesundheitswesens spielten, bleiben untrennbar fest miteinander verbunden, weil der Ruhm des einen stets zum Teil auch der des andern war. RÉSUMÉ Depuis l'ouvrage célèbre de Plutarque, les « Vies des hommes illustres » on a rédigé nombre de biographies parallèles consacrées à la grandeur humaine. Un coup d'oeil sur le passé récent de l'hygiène publique en Hongrie suffit d'en faire reparaître deux personnages — Jôzsef Fodor et Lajos Markusovszky — tous les deux hommes de mérite, dignes à ce que leur oeuvre parallèle ne tombe pas en oubli de la postérité. L. Markusovszky eut déjà part à la guerre de la libération 1848/1849 et, après la débâcle, il s'adonna, sous l'oppression autrichienne, sûr d'un avenir plus heurerrx, à la formation des méde­cins, atr développement du système universitaire et à l'améloriation de l'hygiène publique. Après des études à l'étranger c'est tout d'abord par la fondation, en 1857, d'une revue hebdomadaire médicale «Orvosi Hctilap » et puis, en 1867, par la création d'une société de médecins s'occupant de l'édition des livres scientifiques que L. Markusovszky acquit bien de mérite mémorable. Médecin et savant d'esprit large, capacité en matière d'organisation, fut-il à même d'attirer par ses qualités humaines également les experts de son époque. C'est en 1868 que J. Fodor s'approcha fie lui. Depuis ce temps-là ils travaillèrent tous les deux, de concert, en pleine connaissance du but suivi : l'essor à l'épanouissement de l'hygiène publique en Hongrie. J. Fodor, lui aussi, commença écrire pour la revue médicale et ses prestations lit­téraires lui vont apporter, grâce à l'aide efficace de L. Markusovszky, en 1870, une pension accordée pour des études à l'étranger durant deux ans, il fut donc à même de s'informer sur place des progrès hygiéniques hors de son pays. L. Markusovszky, son protecteur, était depuis 1867 chef en matière médicale, ensuite celui de la section universitaire au ministère de l'Instruction publique et ce fut à son initiative qu'on ait créé, en 1874, à l'Université de Budapest une 1 Orvostörténeti közi. 49

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