Csengeryné Nagy Zsuzsa dr. – Doroghyné Fehér Zsuzsa dr. szerk.: A Magyar Nemzeti Galéria Évkönyve 2. szám. (MNG Budapest, 1974)

qui y avait fait ses études et peint ses tableaux. Ainsi, sur les compositions dont le thème préféré est l'enfant chéri de l'artiste, il arrive toujours quelque chose au petit garçon : ou il joue au soldat, ou, debout et tout nu, il se réjouit de la vue du bain préparé pour lui. w 40 Probablement Madame Ferenczy continuait à peindre — au moins dans la première moitié de leur séjour à Szent­endre — pendant l'absence de son mari en voyage d'études 12. Károly Ferenczy (1863-1917) : Valér, 1892 Ferenczy Károly (1863—1917) : Valér, 1892 13. Károly Ferenczy (1863-1917) : La femme de l'artiste (Olga Fialka), 1892 Ferenczy Károly (1863—1917) : A művész neje (Fialka Olga), 1892 en France et que les deux jumeaux, Béni et Noémi 41 n'étaient pas encore nés, c'est-à-dire entre 1887 et 1890. Nous devons à Valér la description d'un tableau peint à Szentendre et qu'elle a gardé longtemps accroché au mur de son atelier : « ... le petit garçon obligatoire tenant devant lui en guise de tablier son vêtement ressemblant à une robe attend, le regard levé en haut, que le grand-père placé tout près d'un cerisier lui jette des cerises ; à côté de l'enfant, une poule semble suivre avec intérêt ce qui va se passer. .. » Valér voit bien que si sa mère a renoncé à la peinture ce n'était pas à cause de ses trois enfants dont l'éducation l'empêchait certainement de se concentrer sur l'art, mais plutôt à cause de la critique défavorable que son mari portait plus tard sur ses tableaux de ce style. Cette critique était celle de l'époque : le romantisme était devenu réaction-

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