Dobrovits Aladár szerk.: Az Iparművészeti Múzeum Évkönyvei 1. (Budapest, 1954)
Idegennyelvű kivonatok
entièrement en ivoire, les couvercles des boîtes de l'autre sont incrustés de nacre à décor incisé. Les cadrans, également en nacre, sont décorés d'un dauphin taillé en relief. Dans les boîtes se trouvent trois sortes de jetons: ronds, oblongs et allongés, portant le même décor, que les boîtes. Les ronds sont tourjours inscrits, tandis que les jetons allongés et incrustés sont inscrits. Les dessins de boîtes sont disposés sur les côtés extérieurs et intérieurs de couvercle et sur le fond de la boîte avec des représentations florales et animales; sur le fond des boîtes incrustées on voit des représentations figurées. Sous les décors intérieurs des couvercles on lit la signature „Mariaual le . Jeune" fecit à Paris. Dans le catalogue de 1894 du Musée des Arts Décoratifs de Hambourg, Brinckmann donne la description de jeux analogues (p. 725). D'après la description, ces jeux sont identiques avec ceux de notre musée, exécutés entièrement en ivoire. Ces jeux faisaient partie du jeu de cartes nommé „reversino" ou „jeu de reversis", en italien „rovescina" et les trois sortes de jetons concordent avec l'idée du „jeton" (oblong), „contra" (rond) et „fiche" (allongé) utilisés dans ce jeu. La facture du jeu montre des différences de style et de conception entre les deux ensembles mais aussi en dedans du même ensemble, ce qui nous permet de constater que le maître Mariaual le Jeune n'a pas travaillé à lui seul, mais qu'il a dû entretenir un atelier. Les décors incisés des montures d'un évantail dans la possession du musée, montre des analogies frappantes avec les jeux décrits ci-dessus. Les concordances du style ne us permettent de supposer que cet éventail est sorti lui aussi du même atelier. Nous avons établi que contrairement à l'attribution jusqu'ici en vigueur (Allemand, XVIII e siècle), l'évantail était sans aucun doute un ouvrage français de la piemière moitié ou du milieu de XVIII' 1 siècle. En rapport avec cette question nous signalerons que les artisans d'art, connus sous le nom de „tabletiers" fabriquant des cassettes, des jeux etc. et des menus objets surtout en bois et en os, ont dû fabriquer aussi des montures d'éventails. Nous avons signalé finalement les deux autres jeux de „reversis" de notre musée dont l'un est en porcelaine allemande de la seconde moitié du XVIIL' siècle, et l'autre en carton-pierre couvert d'un papier doré ouvrage probablement viennois de la première moitié du XIX<? siècle. Les couvercles dès boîtes et la plaque de leur plateau sont ornés de broderies de petit-point. Ni les couvercles des boîtes en porcelaine, ni ceux des boîtes en carton ne sont munis de cadrans rotatifs. Leur décor n'est pas aussi riche que celui de nos jeux en ivoire. Les jetons du jeu en porcelaine sont unis, sauf leur centre qui est orné de la marque servant à designer la couleur de la carte. Les appertant au jeux du XIXe siècle sont des plaquettes en os peintes en couleurs différentes: leur forme sont analogues avec celles des jetons de l'autre jeu. Nous avons constaté qu'en Hongrie, ainsi qu'à l'étranger, le „reversis" était le jeu de l'aristocratie; aussi le jeu en porcelaine est entré au musée en 1903 comme den d'un comte hongrois. Étant donné que le jeu n'était connu que par l'aristocratie d'orientation étrangère, la littérature hongrois du XVIIIe siècle ne le mentionne nulle part, nous pourrions éventuellement trouver ses traces dans la littériture de mémoires. Über die Entwicklung der Holzmosaikarbeit in Ungarn Hedvig Szabolcsi Vorliegende Arbeit behandelt drei mit Intarsien geschmückte Schreine des Ungarischen Kunstgewerbemuseums, als für die Entwicklung der ungarischen Holzmosaikarbeit besonders aufschlussreiche und wertvolle Stücke; sie gibt zugleich Beschreibung und chronologische Bestimmung. Der erste besprochene Schrein (s. Abbild. 1.) ist aus Nussholz, mit farbigem Ahorn eingelegt und mit eingebrannter Schattierung verziert. Auf der inneren Fläche der beiden Türen umfasst ein perspektivisch dargestellter architektonischer Bogen eine aus, einem Prunkgefäss emporwachsende Pflanze mit reichem Laubwerk. Auf der Stirnseite der Schubläden und der von ihnen umschlossen kleinen Tür finden wir Einlegeverzierungen mit Bildern einzelner Stadtansichten.