Budapest Régiségei 17. (1956)

TANULMÁNYOK - Nagy Tibor: Héraklész bronzszobrocskája Óbudáról 9-44

Héraclès s'appuie de la main gauche sur úíie riias­sue). D'autres renseignemets sont fournis par Stephani, Der ausruhende Herakles, pp. 121 et suiv., 151 et suiv. : On peut citer à cet égard l'un des bas-reliefs d'une villa de luxe du début de l'époque impériale, (Espérendieu, no 889) qui représente un Héraclès épuisé après le nettoyage des écuries d'Augias, appuyant le pied droit sur un panier. — Une statue de bronze d'Hispanie, d'authenticité dou­teuse, représente Héraclès foulant du pied une im­mense tête de sanglier — Reinach, Rép. d. stat. IV. p. 135. n°. 6. Brunn —Bruckmann, pi. 285. — Bulle, Der schöne Mensch, 3 1922, pl. 72, dont les variantes hellénisti­ques et impériales ont été réunies entre autres par G. Lippold, Kopien und Umbildungen p. 57, et Griechische Plastik p. 281, n. 8. — John­son, Lysippos. 1927, pp. 98 et suiv. — La sta­tuette d'Héraclès de type Farnèse, mise au jour récemment lors des fouilles effectuées sur l'empla­cement de l'Agora d'Athènes, présente une for­me de tête différente (H. A. Thompson, Hespe­ria, XVII, 1948, p. 180. pi. 59.2.), que l'on peut confronter »à certains égards avec la tête de la copie du bronze publiée par T. Leslie Shear, Hes­peria, IX, 1940, p. 296 fig. 37. — La question de l'Héraclès dit Farnèse et des copies athéniennes a été traitée récemment par K. A. Neugebauer, Die griechischen Bronzen der klassichen Zeit und des Hellenismus, 1951, pp. 97, et suiv., à propos d'une statue trouvée sur le versant septen­trional de l'Acropole. La bouche longue, étroite et fermée, encadrée d'une moustache angulaire et séparée de la barbe, se retrouve sur toute une série de portraits et copies de l'époque des Antonins, entre autres sur le hermès de Thémistocle d'Ostie (G. Calza, Le Arti, II 1939/40, pp. 152 et suiv., fig. 5 à 8. — M. Bieber, Am. Journ. Arch. 58, 1954, pp. 282 et suiv., pi. 54., fig. 13 à 15) et de nombreux hermès réprésentant Hermès lui-même avec la bouche ouverte (L. Curtius, Zeus und Hermes, Ergän­zungsheft zur R. M. 1931, passim. Voir encore: G. Mustüli, Il Museo Mussolini, 1939, p. 125, pi. LXXX. pp. 302 et 133, pi. 304 et 305). La mou­stache en angle peut être confrontée surtout avec un buste de Septime Sévère, de la villa de Rome (A. Hehler, Bildniskunst der Griechen und Rö­mer, 1914, pl. 267b) et le portrait dit de Cosmate du musée d'Athènes {A. Hehler, Ö. Jh. 21—22, 1924 p. 196, fig. 66). Parmi les statuettes de bronze, v. la statue «Romain à la toge» de la collec­tion de Cassel (M. Bieber, Die antiken Skulpturen und Bronzen des kgl. Museum Fridericianum in Cassel, 1915, pl. XXX, no 49.), que M me Bieber date de la fin du II e ou du début du III e siècle. Au cas où sur les bronzes hellénistiques d'Hérac­lès de l'époque impériale, la »xXaïvm dépassant le bras gauche est fixée à la jambe, elle est en gé­néral rattachée à la surface extérieure de la jambe gauche par une ligne droite. V. par exemple: S. Reïnach^èp. d. stat. ÏIÏ. p. 673, (Östie). — C. C. Edgar, Catalogue général des Antiquités égyptien­nes du Musée du Caire. Greek Bronzes, 1904, p. 3, n° 27637 et pl. I. — K. Schumacher, Beschrei­bung d. Sammlung antiker Bronzen in Karlsuhe. 1890, p. 178 n° 934. (statuette de bronze d'Her­mès à Athènes). — D. K. Hill, Catalogue of Clas­sic Bronze Sculptures, Walters Art Gallery. 1, 1949, p. 14, n° 22, pl. 22. — S. Reinach, Rép. d. stat. IL p. 21,6. (Jupiter,provenant de la Gaule) — A. Andren, Classical Antiquities in the Zorn Collec­tion. Opuscula Archaeologica, XIII, 1948, pp. 17 et suiv., pl. XII., 31. 38 v. note 19. 39 Lukian., Zsvç TQayœôoç, 33 (Jacobitz, II. 2. p. 366). 40 Ö. Jh. VII, 1904, p. 180. 41 W. Amelung Führer durch die Antiken. Florenz, 1897, pp. 97 et suiv., n° 153, 315. — Brunn— Bruckmann, pl. 29 ; Bulle, Der schöne Mensch. pp. 66 et suiv., pl. 109, A. W. Lawrence. Later Greek Sculpture. London, 1927, p. 117. 42 V. note 41. 43 Admettant le point de vue de Conze, les archéo­logues datèrent pendant longtemps la frise de l'autel des environs de 180 avant notre ère. Matz, A. A. (1932) pp. 278 et suiv., a daté une partie des bas-reliefs du règne d'Attale I er (247—197), opi­nion adoptée en partie par Zschietschmann RE. 37,1937, col. 1256 et suiv.). Se sont prononcés pour une datation antérieure : Napp, Der Altar v. Pergamon. 1941. pp. 3. et suiv. et, plus récemment. Lippold, Griechische Plastik, p. 354. — A. Scho­ber, dans son bel ouvrage récemment paru: Die Kunst von Pergamon, Bregenz, 1951, date l'autel et la plus grande partie des reliefs entre 190 et 180 (pp. 80 — 81). Je n'ai malheureusement pu consulter au sujet de cette question l'oeuvre de M. Kahler, »Der grosse Friez von Pergamon» (1948). li Plin. o. c. XXXIV, 84 (Mayhoff, V, p. 187 S. Rei­nach, Mélanges Holleaux. 1913, pp. 233 et suiv. — Lippold, RE. sér. 2 e vol. 7. 1931, col. 327, 61 et suiv. et vol. 18, col. 2082, 7 et suiv. 45 Cohen 2 , 123, 124, — R. Regling Amtl. Ber. Preuss. Kunstsamml. IX. pp. 275 et suiv. — Bräuer, Ztschr. f. Num. 28, 1910, pp. 35 et suiv. G. Habich, Die Amazongruppe des attalischen Weih­geschenkes, 1896, pp. 51 et suiv. — C. Robert, Die antiken Sarcophag —Reliefs, III. 1, 134. 46 G. Habich, 1. c. Confirmé par C. Robert 1. c. 47 E. Ruesch, Guida. N° 301, — Brunn —Bruckmann, pl. 482. Une bonne photo d'un détail de la tête dans R. M. 52, 1937, p. 159, fig. 5. 48 Les ouvrages les plus importants sur la chrono­logie tant débattue des anathèmes d'Attale : A. Schober, Zur Amazonengruppe des attalischen Weihgeschenkes (Ö. Jh. 28, 1933.), pp. 102 et suiv. et Anz. Akad. Wien. 1941, pp. 1, et suiv. — B. Schweitzer, Späthellenistiche Reitergruppen, J. d. I. 51, 1936, pp. 58 et suiv. — R. Horn, Hel­lenistische Köpfe, R. M. 52, 1937, pp. 150 et suiv. 34

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