Mitteilungen des Österreichischen Staatsarchivs 12. (1959)
HRAZKY, Josef: Die Persönlichkeit der Infantin Isabella von Parma
Die Persönlichkeit der Infantin Isabella von Parma 211 VI. 8. Voila ce charmant almanach, que j’avais eu l’honneur de vous promettre. je vous prie de le considerer avec attention, il en est digne, je suis seulement dans une colere ä ne me pas posseder, parce que j’ai eu beau vous chercher dans l’éstampe, qui répresente le mariage 1). je n’ai pu vous y trouver. vous sentés, combién cela fait de peine ä mon coeur, qui vous aime aussi tendrement que le mien, j’ai encore pensé ä la mórt la nuit derniére, mais plus j’y pense et moins je puis m’apprivoiser avec cette idée, puisque ce sera une séparation d’avec vous et que je suis persuadée, qu’il ne serait pas possible de trouver quelqu’un, qui VI. 8 a. put me remplacer par son amitié pour vous. adieu, du weißt schon lange, daß ich ein wenig verrückt bin; also meine grausame Lustbarkeit wird Dir nicht was besonders Vorkommen, adieu. VI. 20. Der Ertzhertzog2) ist wieder gantz gesund und du kannst dich einbilden, wie ich frohe bin. das were wahrhaftig kein Spaß gewesen, wenn es so gedauert hätte, wir haben alle zwey unvergleichlich geschlaffen und ich hoffe, wir werden auf die Jagdt gehen. Adieu, so stark als ich dich liebe, so habe ich doch gestern empfunden, daß der Ertzherzog gehet vorhero. adieu. VII. 1. A peine mes yeux sont elles ouverts, chere Soeur, que je pense ä vous ecrire. j’ai assés bien dormi, quoique j’ai eu un accés de lassitude, encore en me couchant. je me porté assés bien, je ne s?ais pas ce qui en arrivera encore. Je regois dans le moment votre billet et ne suis nullement contente de votre solution, vous etes trop bonne de m’avoir ecrit vous merne, et pourvu que je sache bien exacte- ment de vos nouvelles, elles peuvent etre ecrites, par qui vous voudrés malgré le plaisir, que me font vos billets. J’aimerois cent fois mieux n’en pas recevoir que de vous fatiguer, et je suis touchée aux larmes de votre attention, adieu, chere Alte, je vous baise de toutes mes forces en attendant, que je vous puisse aller voir. Le bonjour ä la Vasquéss), je vous prie, et menagés vous, soyés bien sage. VII. 2. Bonjour, eher Coeur. Comment vous portés vous? pour moi je me porté toujours bien, je suis aussi tres curieuse de sgavoir, si vous me trouverés meilleur visage ou non. encore deux jours et je vous revoirai. j’en ai besoin, car je sens, que la tete me tournerait, si notre sparation durerait plus longtemps, en étant deja toute melancolique merne depuis le premier moment. Adieu, chere Soeur, je vous baise, aussi la Vasqués, et faites mes compliments ä vos Dames. La ErdödyD, j’imagine, se met ä vos pieds, je n’en s?ai cependant rien, car je ne l’ai pas encore vue. * 2 * 4 1) Die Trauung Josephs mit Isabella fand am 6. Oktober 1760 statt, der Almanach für 1761 zeigte auf einem Kupferstich die kaiserliche Familie bei diesem Anlaß. 2) Joseph. s) Maria Anna, verwittibte Gräfin von Vasquez, geb. Gräfin Kokorzowa, Obersthofmeisterin der Erzh. Marie Christine, bei Hof ,Koko‘ genannt. 4) Antonia, verwittibte Gräfin von Erdöd, geb. Gräfin von Batthyán, Obersthofmeisterin Isabellas. 14