Szilágyi Sándor szerk.: Erdélyi Országgyűlési Emlékek 15. 1669-1674 (Budapest, 1892)
29. fejezet: 1669-1674 - Törvények és okiratok
moyeniiant la somme de 40 mille livres par mois, dont le payement commanceroit an premier juillet. Qu'aussytost qu'on leveroit le masque. on envoyeroit des manifestes par toute la Hongrie. invitans la noblesse et villes libres a secouer le joug austrichien. ce qui causerat inevitablement une revolte du Royaume entier veu Je mecontentement general des peuples. Cependant qu'on avanceroit dans le pays saississant tous les revenus et domaines de 1'Empereur. Qu'011 se rendroit maitres d'abord de quelques villes atin d'avoir lieu d'assemblee et de retraite. principalenient de celles. qui sont vers les frontieres de Pologne coninic Zatmark. Cassaw. dans lesquelles le dit Teleky a ses intrigues atin de faciliter la communication du dit Rovaume a l'autre. Que pour la forme et considere l'engagement oii sont les Hongrois avec la Porte. ils faudroit parler au grand visir delicatement sur ce ehapitre, luy representant qu'il 11'y avoit rien en cela contre leur dessoin envers le grand seigneur et quils ne prendroient nulles liaisons avec la France qui pussent estre prejudiciables; que pour persuader de cela. ils fairoient solliciter aupres du grand visir quelque leger (?) secours pour faire voir leur dependence. Que le Roy de Pologne fairoit la paix avec les Turcs si l'on luy vouloit donner, que cependant il ne paraitroit point se mesler des affaires de Hongrie. mais que la paix faite. il fairoit semblant de congedier une partie de ses troupes. qui sous le commendement du Marquis de Bethune son beau frere passeroient en Hongrie avec quantite d'officiers frangois dont 011 augmenteroit le nombre autant que l'on pourroie. Que le dit Marquis de Bethune appuye de 1'argent de France et du voisinage du Roy de Pologne. s? gouverneroit en sorte qu'il gagneroit credit sur les Hongrois et se mettroit au point. de tout esperer de ce peuple. (Cet article est secret et cognu a peu). Que les affaires menees jusque a la et les Allemans ruines en Hongrie ou ils n ont plus (le force ny de credit, les Hongrois envoyeroient a la Porte protester de leur fidelite et deniender perniission a s'eslir 1111 Roy selon leur ancienne coustume moyennant un tribut a la Porte. sur quoy ils <lisent. que le grand visir s'est explique favorablement. (C. melleklet Kindsberg 1(375. juu. 17-diki jelentesehez, Becsi cs. es kir. udv. leveltarban. Turcica 1675.)