Domanovszky Sándor: József nádor iratai I. 1792-1804. (Budapest, 1925)

1799.

gehabt und nicht vom rußischen Kayser Stürme in unserem Anbetracht gehabt hast. Du kanst Dir recht Mühe geben, sie zu beschwören, denn nach dem betragen der rußischen Armee, die nichts mehr thuen zu wollen scheinet und nach dem Hang einer großen Parthey derselben, an deren Spitze der Großfürst 1 seyn soll, wünschen sie nach Hause ganz zu gehen und schieben die Schuld ihrer Unglücke auf Uns. Ich fürchte also, daß sie Gott weiß was alles dem Kayser berichten wer. den, Du kannst Dir alle Mühe geben, dem Kayser die wahre Laage der Sachen vorzustellen und ihm nach denen Instruktionen, die auch Kobenzl erhalten wird, zu stimmen, ohne jedoch ihm immer in allem nachzugeben. Ich rechne auf Deinen Eifer für die gute Sache und das Beste Meines Dienstes und bitte Dich überzeugt seyn zu wollen, wie sehr Ich zeitlebens seyn werde Wienn, den alten 8ber 1799 Dein bester Freund und Bruder Franz. 111. 1799 nov. 1. Gacsina. Cobenzl Lajos gr. pétervári követ jelentése Thugut bárónak a nádor esküvőjéről s az azt megelőzött tárgyalásokról és feszültségről. Ered. tiszt. : Russl. Rel. 1799. II. à S. E. Monsieur le Baron de Thugut. Monsieur le Baron. Je m'empresse d'expédier le présent Courier pour porter aux pieds de Sa Majesté la nouvelle du mariage de Son Altesse Royale Monseigneur l'Archiduc Joseph avec Madame la Grande Duchesse Alexandrine. Votre Excellence aura vu par mes dernières dépêches qu'à l'arrivée de l'archevêque de Leopol on étoit révenu à la résolution de fixer la cérémonie au 30/19 du mois vpassé. J'ai eu l'honneur de lui rendre compte également du moyen, que de concert avec monsieur le comte de Dietrichstein j'avois proposé pour que nous puissions nous prêter sans inconvénient à ce, dont il étoit impossible de faire revenir l'Empereur de Russie, c'est à dire que la cérémonie du rit grec précède celle du rit catholique. En conséquence j'ai remis au ministère de Sa Majesté Impériale le projet de déclaration ci-joint en copie en annonçant de nouveau, que c'étoit le seul moyen qui put nous permettre de nous prêter à ce qu'oü vouloit ici, que même je le prénois sur moi sans y être nullement authorisé, d'autant qu'on ne se seroit jamais figuré à Vienne, qu'il put y avoir la moindre diffî­1 Konstantin nagyherceg.

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