Hajnal István: A Kossuth-emigráció Törökországban, I. kötet (Budapest, 1927)

IRATOK

quelques incidents imprévus ne viennent brouiller les cartes. Le Sultan, le grand visir, le Seraskier et le second beaufrére du Sul­tan le Grand Maitre d' Artillerie ont montré de la dignité et de la fermeté. Les autres ministres ont été obliges de suivre cette puissante impulsion. La Turquie ne reculait pas devant une guerre, e'est la Russie, qui a reculé. Un diplomate anglais a écrit de St. Pétersbourg: „La Russie ne déelarera pas la guerre sur la question des réfugiés. Elle sent la Turquie trop forte par la faveur de l'opinion publique et par l'appui de l'Occident, mais eile chercbera une autre occasion pour se venger de l'insulte qu'elle a re9ue, c'est une insulte non seulement ä l'Empereur, mais a la politique de la Russie." M. Canning se montre trés dispose a profiter de la presence de sa flotte, pour. arranger l'affaire Moldo- Valaque, c'est a dire de forcer les Russes ä l'évacuation et ä l'accomplissement de la con­vention de Balta-Liman. On ne sait s'il sera appuyé par L. Pal­merston et si la France voudra marcher d'accord avec l'Angleterre. On a fait courir le bruit que des croates ont été envoyés á Choumla pour assassiner Murád Pacha 1 et Kossuth. L'assassinat de Luschin donne une certaine gravité ä ce bruit. 2 L'assassinat de Wallenstein, des trois envoyés franeais au congrés de Rastadt, la mort inattendu du Due de Reichstadt font voir, que certains cabi­nets ne répugnent pas de pareils expedients. 3 La police turque est en alerte. 77. Sumla, 1849 december 25—28. Kossuth JBoelch őrnagynak, Halim pasa ellen és Jasmagy merénylő bandájáról. Sk. fogaim. N. M. Fast fürchte ich Ihre Güte zu misbrauchen, so oft körnt von mir Brief auf Brief. Ein Hauptmann der ungarischen Freiheits-Armee (62. Bat.) mit Namen Németh, hatt sich aus Ungarn gerettet und kam hier 1 Bern. 8 Olasz menekült. Konstantinápolyban késelés áldozata lett. 3 Czayka e napról Czartoryskihez intézett jelentése szerint Canning fejtegette ezt így ő előtte: „Mr. Metternich a persuade a ses éléves qu'il est permis de recourir aux pareils moyens, mais ce n'est pas ainsi que la chose doit étre vue par des honnétes gens." — „A szeraszkier", — folytatja Czayka, — „felszólított, óyjam Bemet, hogy figyeljen környezetére. Taná­csoltam, indítson vizsgálatot ez ügyben, hisz a nevek ismeretesek. A sze­raszkier hajlandó lenne erre, sőt a nagyvezér is, de Aali pasa visszatartotta őket e lépéstől, kímélni akarja Stümiert." (Czart. lt., kivonatok az ügynök­ségek jelenréseiből. 1504 -5. 1. Lengyelből fordítva.)

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